Carnet de bord de Novembre 2013 | Partager sur Facebook |
5h30, je suis réveillé, pipi fait, et clef de contact en place, à moi la montée sur Paname. Un arrêt technique pour me laver et boire le café à l’aire de Darvault, et j’arrive chez mon client pour virer mon cuivre, une fois délesté de cette charge, je vais à L’Hay les Roses pour mes palettes de pièces électrique, j’arrive à 11h15 chez eux, mais un porteur est en place et ils ont des soucis pour enlever l’armoire à bord, quand c’est bon, ça ne devient plus bon pour moi, le cariste part manger et revient à 13h, bon ben je vais manger en attendant ma salade et mon jambon cru.
A 13h je vais aux nouvelles, le cariste a fini de boire son café, et sans m’en offrir commence le déchargement. L’ambiance à l’air cool ici, et ce ne sont pas les cadences infernales qui prime d’abord…
Bon je dois virer mes consignes à Garonor, et je suis les panneaux annonçant Porte d’Italie, j’aurais mieux fait de retourner sur mes pas pour chopper l’A6, ça bouchonne à chaque feux rouges.
Une fois à quai à Garonor à 15h, je discute le bout de gras avec le chef de quai qui est fort sympathique, ça fait passer le temps, bon j’en ai pas beaucoup, car il va assez vite pour m’enlever mes cuves. Je récupère la 104, je n’ai pas confiance dans l’A3 à cette heure-là. Bien ou pas, j’ai droit à un fort ralentissement à hauteur du parc des expos, qu’est ce qui attire autant de voitures en ce moment ?
J’arrive à Coubert à 16h15, je peux même me mettre à quai dans la foulée, c’est ça de savoir qu’un des caristes à ses beaux-parents qui habitent à 3km de chez moi, ça créé des liens.
A 17h, je sors de chez eux, bon je dois livrer en principe à partir de 13h demain, mais je vais essayer de gagner du temps, et me pointer à 11h, dans le pire des cas je ferais une sieste.
Ce soir je m’arrête au relais N6 à la sortie Avallon, la serveuse à encore des étoiles dans les yeux de sa rencontre avec Pierre70, parait que c’est un gros coquin…