FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Novembre 2013 Partager sur Facebook
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  • Merci le préfet
    Cadeaux pour les CRS?
  • Jeudi 21 Novembre 2013
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    6h30 petit café avec le collègue qui n’a pas mis le webasto en marche, car ça vide ses batteries faiblardes, c’est dommage j’ai les câbles, et de plus, je les lui avais déjà filé l’autre lundi, mais il s’en rappelait plus, ça se voit qu’il a peu dormi.

    Au comptoir on apprend qu’il y a le préfet qu’il ne veut pas de nous sur les routes, ici c’est noir, la neige tombe à partir d’Epierre, on se tâte, on rebot un autre café, et on part, au rond-point il y a les bleus, merde on n’aura pas été loin, mais non, ils nous laissent passer ne nous disant que nous serons arrêté à Chambéry, toujours ça de pris. Arrivé au péage de Chignin,je tombe sur le traditionnel « mettez-vous sur le côté avec les autres, je lui dis que je vais à mon dépôt, et il me laisse passer, cool…

    J’arrive donc au dépôt, ou je vais pouvoir faire réparer 2/3 bricoles en attendant l’autorisation de rouler, même ici la route est noire.

    A 11h l’autorisation tombe, ce qui est con c’est que ceux qui ont essayé de passer, ont été parqués sur le parking du parc des expo, et ils seront les derniers libérés.

    Rien à signaler sur l’A46 ça roule bien, route bien noire, je cherche encore les raisons de l’interdiction de rouler, certainement la mise en place de la ceinture, des bretelles, et des surbretelles…

    Je traverse Fourvière et j’arrive chez le client à 13h10, pas de soucis pour entrer dans la cour, ils ne sont pas cons ici, ils savent que rester dans la rue c’est emmerder tout le monde, je me mets à quai et je profite des 15mn restant avant l’ouverture pour manger un bout de céleri rave.

    A 13h45 je laisse la place à un autre chauffeur, je vais me mettre dans un coin pour patienter, car je recharge un client à Arnas, mais pas avant 16h30, alors je patiente en bouquinant un magazine de voile..

    A 17h j’ai fini, je discute un bout avec le gars de cette boite de transport, il râle avec justesse, sur ces patrons qui gueulent à tout va sur la difficulté, sur le cabotage, mais qui samedi ne proposera à aucun de ses chauffeurs d’aller se promener dans l’opération escargot.

    Il ne me reste plus qu’à aller à Genay à la Petite rive, car demain je continue mes ramasse par Calberson qui est juste à 200m.