Carnet de bord de Septembre 2021 | Partager sur Facebook |
Comme prévu j’ai bien dormi. Mais lever à 6h, car c’est bien beau de faire le touriste, mais il manque du temps pour raconter tout ça. Temps toujours pareil, quoique plus gris, un peu moins lourd. Je déjeune de la baguette pas si mauvaise de la maison Mulliez Iberica SL et mets en route à 7h50. ça bouchonne un peu moins qu’hier, en 10 minutes tout juste je retrouve mes amis de la veille sans trop de convictions. Je ne me trompe pas pour le moment, car cette fois pas de mise à quai, on viendra me faire signe quand ok.
1h, 2h passent, toujours le même discours, l’ordre du client en France. Maryan est formel, on se barre à midi si rien ne bouge. A midi moins dix, on me fait signe de me mettre à quai, et puis non. 10 minutes passent, rien. Je remplis une cmr, la 2éme, qui est consécutive à celle déjà d’hier, et je me sauve enfin. Maryan m’envoie aussi sec un retour d’à peu près les mêmes quantités qui cohabiteront bien avec ma longueur. C’est à Santa Perpetua, chez Charles André Iberica. Il est midi 30 là bas, alors que j’avais déjà de mauvaises pensées quant au bon déroulement des opérations vu l’horaire qui sent bientôt celui du bocadillo, comme dirait Franck, et bien non, on me fait signe de me mettre à quai, mon assiette à peine finie. Le cariste est bien sympa, me charge sans moufter des big bag qui passent très juste contre la longueur puis des palettes de sacs jusqu’aux portes, il n’y avait rien de trop. Une bonne heure en tout, pas d’adr, bref c’est parfait. Je peut mettre les voiles sur l’AP7 proche direction le nord. Il fait des mega averses plus haut, c’était encore bien épargné sur Barcelone finalement. En sachant qu’il y a eu aussi des dégâts plus bas sur Alcanar où j’étais passé hier matin. Ma chérie m’a envoyé une vidéo d'inondations là bas.
Je stoppe à la Tortuga à la Jonquère pour la douche et un dernier sac de glaçons pour finir la semaine. Ici c’est encore blindé de bagnoles, la montée du Perthus village est tout au rouge. Rouge dont les usagers de l’autoroute ont droit également pendant 2 kms avant le péage du Boulou. ça roule ensuite, et sous le soleil. Mais alors que ma pause à faire se rapproche, je croise Niko 34 qui me dit que c’est bouché juste après à cause d’un accident avec une bagnole sur le toit, j’ai le temps de stopper à temps à l’aire de Georges Brassens pour les 30 minutes. Mais ces 30 minutes durent 1h, le temps que la circulation reparte sur l’A9, et encore ça merdoie encore bien 20 minutes. La cause, ça passait de 3 en 2 voies.. Enfin surtout à cause de ceux qui freinent franchement pour regarder..
Cette fois ci, la moyenne monte enfin, plus aucun grumeau sur le reste de l’A9 et A7. Si je visais mon client à Montbrison ce soir, ces ralentissements auront eu raison du contraire. Il manquera 1h. Je stoppe tranquillement à 22h30 à l’aire de St Rambert.