Carnet de bord de Juillet 2017 | Partager sur Facebook |
Ca n’a gêné personne que je passe la nuit ici. Je quitte cette micro zone à 7h15, A4 toujours.
Je m’arrête à la Total au niveau de Saverne pour la douche, mais déjà 2 personnes en liste d’attente, alors je continue. Je passe à travers, via la marchandepiscinestrasse, c’est à dire Wasselone Molsheim. Ça va quand même mieux que de se farcir les bouchons de Strasbourg du matin.
Je retente un arrêt lavage à la Leclerc du haut Koenigsbourg, où le parking à tout d’une annexe Primafrio. Pareil aux douches, 2 devants, mais peu d’attente car il y a le paquet de douches. Correct, 1€50 la douche, c’est peut être de la marque Repère. Et ils vendent du vrai pain. Vraiment, merci à ce bienfaiteur Michel Edouard.
J’arrive à Mulhouse vers 11h passé. Passage au guichet pour la suite du boulot et surtout un débriefing sur le Poissy de vendredi. Tels des politiciens, on conclut sur un « plus jamais ça » (jusque la prochaine fois).
Je vais vider au parc du ferrage le VE6, ça ne va jamais trop mal, vide à midi, je vais charger un petit mètre en mécanique, là c’est pas pareil, je passe presque au tant de temps que pour avoir vider le complet. J’ai quand même réussi à négocier pour passer avant le changement d’équipe, et sans me mettre à quai, pour 4 bacs, franchement.
Enfin, peu importe, la suite est à la réserve d’emballages, où ils sont de journée, donc en pause jusque 13h30. Comme ça je peux manger comme il faut. Déjà un camion était là.
Ça reprend difficilement à 35, et ça traîne assez. Je repars à 14h30 passé, vers la destination favorite de 2017, la Normandie, 2x27. La carte de fidélité doit être bientôt remplie. Mais je ne coure pas après mon voyage gratuit. Et le retour toujours pareil aussi, le Caen du 20h30.
Pour tuer l’ennui, je monte encore via Colmar et le Bonhomme, avec 16t ça passe crème.
Mais le coup de barre de l’aprèm me prend dans la montée, alors je m’arrête 30’ en haut pour siester à la fraîche.
On croise du bressaud qui rentre, les Rochatte et leurs blocs de granit de Senones. Ça va, ça ne fera pas trop tard.
Pour mon 1er 27, Gisors, 2 routes, Paris et la N14 et 15, ou bien la 44 et 31. J ‘y vais par cette dernière plus provinciale car sinon ça va encore faire passer Paris à 9h du matin.
Avec mon histoire caennaise de demain soir, faut que je redémarre le plus tard possible demain matin, vu que je ne pourrai jamais couper 9 h demain en journée. Et aussi boucler en 13h ce soir pour valider 11, alors je tente une petite zone au niveau de l’aérodrome de Sillery juste avant Reims. Il est 20h20, parfait. Déjà un Transalliance en pulvé est posé là, on bavarde un peu, il dort souvent là, jamais eu de souci.