Carnet de bord de Juin 2018 | Partager sur Facebook |
C’est bientôt l’été, il fait beau, pas de stress. Et pourtant si. Après avoir entrepris une charge des batteries ce weekend, l’une des 2 a perdu en tension, tombant à 11,5V. Donc ça démarre, mais assez mollement. Par contre c'est énervant, ces batteries datent de janvier. Décollage à 7h et je file d'abord vider à Laval sur Vologne car rdv à 8h. C'est la grosse papeterie qui fait un peu de tout, papier hygiénique ou pas. Là je livre du carton pour faire les mandrins pour le papier hygiénique, le pq quoi, faut appeler un chat un chat. Vidage à quai, mais faut quand même ouvrir tout pour dessangler, du moins juste les rideaux. Ça traine pas, mais je coupe quand même le moteur même si ça bombarde de message d'alerte que batteries faibles, recharger les batteries, bref, de l’algorithme Fhien… À la place j’appelle d’abord Laurent, le magasinier de Volvo St Nabord, vu que les batteries viennent de chez lui. Pas de soucis, je peux passer, il prévient l’atelier.
Vide à 9h, y a pas loin, et ça tombe bien puisque je dois recharger sur le 25.
Chez Volvo, une porte ouverte m’attend, et 2 batteries neuves, sans mégoter. Heureusement en même temps, même si l’autre affichait bien 12,8V. Ils n’ont même pas jeté un œil au testeur sur la défunte.
Je repars à 10h30, ça a été rapide. Enfin , changer des batteries, ils ont de l’expérience.
ADblue à la Total St Nabord, bref, c’est mort pour charger avant midi sur le pays de Montbéliard. Déjà cette fin de matinée, des mails tombent, le taf jusque jeudi matin est programmé.
En arrivant en Montbéliardie, sur le rond point à Sochaux, je vois des flashs crépiter, venus d’un camion vantant les mérites du chlore à domicile, c'est Pierre. Purée, je suis deg,j’ai pas dégainé l’apn assez vite. Et on s’est loupé de peu en vrai, il sort de table de la zi où je vais charger à Audincourt.
J’y suis à midi pile, chez le fabricant d’emballages et de remorques,j'arrive à choper quelqu’un qui part manger, il me montre de quoi il s’agit, et je mesure la hauteur, car on m’a vendu ça en 3m de haut.
En fait, faudra juste lever un côté. Y a le manger maintenant. Ça traine, à 13h20 un cariste arrive, sort ce qu’il y a à charger, et attend. Ça l’emballe pas de charger ça au fen, c'est 2 remorques pour atelier. Il aurait préféré carrément un porte char. Ça doit coûter sans doute trop char. Alors faut attendre le chef, décideur de cette solution au fen. Il ne revient qu’à 14h.. Il enfourche donc également un fen, et ils chargent à 2 de façon synchrone, c'est mieux, les fourches à chaque extrémité des remorques. Tout se passe bien, les remorques sont freinées façons pneumatique avec ressort comme du pl quoi. Pas de suspension, alors pas de soucis, juste 3 sangles par remorque, passées sur le plateau.
En faisant les papiers, le chefe donne une idée de prix de ces remorques, genre 3x fois une Schmitz rehaussable à fosse. On dirait pas comme ça. Je me sauve à 14h45, après hésitation à faire 3h, qui n’aurait pas été valide car bougé. Et puis je ne vais pas très loin, c'est du 74.
Alors rn dès Montbéliard sud, et le haut à Baumes les Dames. Comme tout lundi, qu’il soit 16h du matin ou 4h du soir, c'est dur, je fais une méga sieste sous les arbres à l’entrée de Nancray. C'était ça ou le décor.
Avec mes 5t2, ça avance plutôt, pas trop contraignant à doubler les camarades Mauffrey de Silésie ou même vosgiens sur la 83.
À Lons, direction le centre pour la route des vosgiens qui vont dans le 74, Orgelet tout ça. Enfin presque, maintenant on fait Vouglans, Moirans. Avant c'était par Arinthod Izernore.
Un peu d’ A40 même si je traverse Nantua. Je suis trop content de passer ici, un bail que c'était pas arrivé, c'est joli.
Je stoppe à 20h05 à Éloïse, pour valider 11h, je ne suis plus si loin de Rumilly.