FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Avril 2018 Partager sur Facebook
  • Photos
  • un peu de pub pour la N29
    Abbeville
    A28 liner
    petit chantier de fin de lundi
  • Lundi 23 Avril 2018
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    Démarrage de Cornimont à 3h05. Rien de compliqué, sortir en avant de ce trou à cette heure là,moins héroïque que d’y reculer un vendredi midi.

     

    Direction la N4 pour changer, mais jusque Vitry seulement, je vais en Normandie mais par la case Picardie, alors ça va.

     

    J'arrive sans trop de mal à la 1ere aire après le péage de Reims, il est 7h10.

     

    1h10 et une demi thermos descendue plus tard, retour sur A26. La flotte menace un peu, pas grave avec le beau weekend que l’on a eu. Je suis largement en avance, je quitte l'autobahn à St Quentin et fini par la N29 pour arriver chez les ricains à Boves à 10h25, soit 1h05 avant l’heure de rdv. Vaut mieux être en avance ici paraît il, mais là j’ai fait fort. Déjà une file devant l’entrée pour d'enregistrer et ça rentre assez vite au parking de l'intérieur pour un 2eme enregistrement. Là j’ai un bip, moins rassurant. Bah comme ça je peux me vautrer en couchette. À peine 1/2h après ça bipe, on ne peut pas roupiller tranquille. Bon c'est quasi à l’heure du rdv,ne pas se plaindre. Faut ensuite avancer jusque devant les quais, et attendre que quelqu'un nous prenne en charge. Bien 15’ plus tard, j'ai un quai où reculer, sous l’oeil d’un employé qui ne lâche pas d’une semelle. On lui donne la clé et faut le suivre à la salle d’attente le temps de l'opération. Ici, peu de français, beaucoup de camions polonais, et tout un paquet de Stobart,pas en GB mais en BG plutôt. Le seul français, le voisin de quai, roule en Belgique, chez Depaire. C'est un ch’ti en plus, donc super sympa. Sans parler qu’il est un inconditionnel des Vosges. Au point qu’il veut venir y habiter. Donc je ne trouve pas trop longue l’attente de 1h15 pour sortir les 9 palettes. Pareil pour quitter le quai, sous l’oeil du type du quai. Bref, ça rigole pas même si ils sont quand même sympathique. Je tâche de ne pas oublier ma barre d’arrimage, sans ça, ce serait un coup à la retrouver en vente en ligne. Je repars enfin à 12h45, faut filer. C’est bien des clients comme ça dés le lundi. Si les ricains n'étaient pas là je serais déjà vide à Abbeville. J'y fonce par l'autoroute, ça va vite, mais casse quand même une graine à la sortie d'autoroute. Le 2eme client, un stock de librairie, très proche du centre d’Abbeville est dans le cadre d'une vieille usine, les bureaux font très vintage avec de vieilles machines exposées, et des poutres béton apparentes. ça vide trés vite les palettes de papier, et re autoroute direction Rouen pour le dernier avec l’isolation. C'est un chantier, j'arrive à joindre la route qui est sur chantier, ils sont là jusque 17h, impec.

     

    C’est au bord de l’A151, d'où je vois le quartier résidentiel où une maison est extension. C’est juste après un pont à 4,10m, y a une petite place qui donne sur un cul de sac. On peut remercier l'inventeur de la suspension pneumatique, y a du devers dans la manœuvre. Ça vide de suite. C’est bien coquet ici, je ne serais pas étonné que des piscines alsaciennes soient livrées un jour par ici. Rien de spécial en taf dans l'immédiat, Pascale n’est pas là aujourd'hui, et de toute façon ça va coincer à 18h.

     

    J’attends un peu, ça tombe à 17h30, une foulée demain matin au départ de St Etienne du Rouvray et une redescente après. Alors autant que je reste ici maintenant, je sors du lotissement et vais me poser dans une petite za voisine, avec 9h01. Ah oui, je suis à la Vaupalière.