FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Mai 2019 Partager sur Facebook
  • Photos
  • Joli à Toutes Aures ou aux aurores
    A9 liner
    maintenant les Pyrénées
    Montréjeau
    repos!
  • Jeudi 23 Mai 2019
  •  

    Après une bonne douche et le petit dej en cuisine, c’est plus pratique qu’en cabine, je décolle en faisant le moins de bruit possible à 5h10. 

    35 minutes plus tard j’arrive à St Etienne de St Geoirs, déjà mon contact est là, ça ne traîne pas vu la mince quantité de marchandises à charger, c’est bien une urgence. Enfin je fais quand 16 minutes opportunément ,je repars il est 6h05.

    Avec 284 kg, je peux prendre la route conseillée par Yvan, via St Marcellin, ça coupe nettement. Et le col à passer est joli. Et c’est autorisé à Toutes Aures, contrairement au Bussang chez nous qui est nterdit la nuit.

    Il est encore tôt à Valence, c’est du vert aussi, très bien.

    Pilotage automatique, les 4h25 m’emmène à l’aire de Florensac, sur l’A9. 30 minutes le temps de faire couler un café, et enfiler un short, le 1er de l’année, ça commençait à se faire attendre.  

    Je n’ai pas d’horaire impératif, juste à prévenir le client, un chantier, de l’heure approximative. Je repasse à Carcassonne, ça fait 2 semaine de suite, c’est une règle dans le métier. Plus ça avance et plus on se rapproche des Pyrénées. Déjà le matin les Alpes, ce n’est que balade en ce moment. Toulouse du temps de midi, c’est parfait. Je casse une graine de l’autre côté, et y a encore une bonne heure, c’est de l’autre côté, après St Gaudens. 

    C’est à la sortie de la vallée d’Aran, y a la direction Lerida. On pousserait bien jusque là.

    La moyenne en prend un coup sur les derniers km, le bled, Gourdan Polignan, juste en dessous Montréjeau, est bien compliqué à atteindre à cause d’un pont à 3m à 100m de ma rue. Et ce matin, en voyant l’adresse, impasse de l’industrie, parallèle à la rue du même nom, j’étais un peu sûr de moi. Mais non, c’est bien la misère à y accéder. I n’y a rien d’industriel du tout, hormis des chemins pas larges. 

    J’arrive à une base de chantier, y a un peu de place, 2 types, mais c’est pas eux que ça concerne, les bons vont pas tarder vu que j’avais prévenu. Pas grave, faut que je traîne 30 minutes pour achever les heures ensuite. 

    On vide en 2 coups de manuscopique les 5 longueurs et 2 couronnes plus accessoires. Ils en ont bien besoin visiblement ils posent ça sur une remorque prête à partir. 

    Maxime m’a envoyé un retour pendant ce temps, cool encore, du 46 pour le 88, trop fort.

    Je fini les heures, 10, à Toulouse, à la Glacière. 

    Il fait bien chaud, encore plus quand on est pas habitués. Une douche fera du bien.