Carnet de bord de Janvier 2018 | Partager sur Facebook |
Je suis cool ce matin, comme souvent d’ailleurs, je décolle à 8h00. Cinq minutes plus tard je m’enregistre au poste de garde. La suite est simple, traverser les pistes et se rendre sous la grue fixe en faisant attention aux divers feux de signalisation installés un peu partout. La grue a pas mal de boulot avant de pouvoir me décharger, du coup je m’en vais regarder la levée d’une charpente par les grues mobiles, je prends quelques photos même si c'est interdit et je discute convoi avec un collègue qui vient d’arriver.
A 9h30 je quitte ces braves gens direction l'Allemagne. Je remonte d’abord vers Mulhouse par l’A35 pour ensuite prendre l’A36 direction de Freiburg pendant une heure. Je sors à Lahr pour rejoindre mon client par les petites routes. J’arrive à 11h30 mais le temps de faire la paperasse et de me mettre sous la grue, les ouvriers sont partis manger.
Ca mange vite un allemand, à 12h30 les hostilités commencent. Une fois chargé, je passe en mode Berliner pour arrimer correctement tout mon bazar. 21 sangles plus tard, soit vers 15h30, je m’en vais vers Paris sous un soleil radieux.
Traversée du Rhin pour rejoindre Strasbourg, direction Saint-Die-des-Vosges, Baccarat, Lunéville, gros ralentissement avant Nancy ou je perds une vingtaine de minutes. J’enchaîne avec la N4 en mode Samu. Coupure près de Pagny-sur-Meuse histoire de se restaurer puis je m’en vais terminer mes heures à l’arrache sur la bande d’arrêt d’urgence près de Roissy-en-Brie car tout les parkings étaient complètement saturés. 23h00 je tire les rideaux avec 15h05 !