FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Juin 2025 Partager sur Facebook
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  • 22h30 ici
    Les courses, c'est fait
    Aurel au reveil
    Les branches ! Meeeerde !!!!
    Sans lumière c'est la merdasse
  • Jeudi 12 Juin 2025
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    Objectif ce matin, glander. Il faut que je me recale sur un rythme de nuit, mais c'est plus facile à dire qu'à faire parfois. J'avais quelques courses à faire pour la maison, j'y vais avant qu'il fasse trop chaud, le tout ça fait bien 2km à pinces, j'en profite pour aller prendre la douche chez le client, je finis par faire une micro sieste, clim sur thermostat 18, je dors pas, mais je me repose quand même. Aurélien se lève à 13h, il paye son café, c'est un garçon généreux.

    Mon programme tombe à 14h30, j'ai une bonne mise en jambes avec le voyage que tout le monde s'arrache ici ; le complet Pusignan. C'est pas tout à fait prêt bien sûr, mais ça va, à 16h je suis chargé, du moins, il reste 4 palettes à prendre en route à Lansargues. J'ai tourné le plan dans tous les sens, averti le client, qui m'a redonné quelques explications et me suis souvenu que je connaissait déjà un peu le coin, j'avais déjà été à la ferme d'à côté il y a quelques années. En attendant, il me faut déjà galerer comme il faut pour sortir de Barcelone avec son lot de mous, de voitures en panne, de bouchons de curiosité parce qu'il y a une voiture en panne de l'autre coté, bref. Un rien peut provoquer des bouchons.

    J'ai laché l'affaire à Loupian que j'ai rejoint en 4h10, mais après coup je me susi dit que j'aurai été peut être mieux inspiré de pousser un peu plus loin. J'arrive sans mal à Lansargues, l'accès à la ferme est poussiereux à souhait et surtout les arbres, buissons, rien d'élagué. Fallait bien le rayer un jour ce frigo. Je prends 4 palettes de melons très parfumés. De là, je me suis cogné la traversée de Lunel, c'est déjà merdique comme ville, mais en plus il y a une déviation, j'étais soulagé une fois sorti quand même. De rétour sur l'A9 je fais parler les 500cv, faut rien lacher. Arrivé au portail à Pusignan, 4h25, ouf. 

    Une grosse demi heure pour vider, ça remet les compteurs à 0, et je me taille à St Etienne, ça roule cette nuit ! A 3h45, je suis au quai 23, je profite de la fraicheur relative pour roupiller un peu avec le bruit des plaques de quai, des fenwicks, la nuit sera courte.