Carnet de bord de Septembre 2024 | Partager sur Facebook |
C'est cool de dormir ici quand il y pas un cretin mental qui s'amuse à klaxonner quand il passe vers la centrale à béton de ses copains. S'il repassait j'avais prévu de lui jeter des pierres, et de lui demander son adresse perso pour que je vienne à 2 du matin klaxonner comme un con sous sa fenêtre, juste pour voir. Mais il est pas repassé, trou du cul. J'ai une ramasse à faire pas loin, mais entre midi et deux, ils veulent pas charger, on se file rencard pour 13h30.
C'est un Manuscopique plutôt balaise qui fait son poids, et avec la godet de 2m30, il faut viser juste pour rentrer, moi je suis bien trop nul pour piloter ça. Donc, le gars monte tranquillement, un pro. Machine au tablier, bien calée, et là c'est le drame, comment sortir de la machine la porte ne s'ouvrant pas suffisament. On allait tout annuler quant est arrivé le chauffeur de Labrosse avec une idée de génie, il y a une issue de secours. Le pauvre a dû se contortionner dans tous les sens, mais il est sorti en un seul morceau. De là, retour dare dare à Jarcieu, je dois charger pour du 81 et du 17. J'allais arriver à Valence quand j'ai eu deux lots à prendre au vol chez Gondrand, et c'est cool, comme ça je peux voir ma Corinne préférée.
A Jarcieu c'est Tim qui va se contortionner pour piloter la machine, vas y amigo, fais toi plaisir. Finalement je vais ni dans le 81, ni dans le 17, ni à Barcelone, mais juste en Maurienne pour demain. C'est pas grave, il faut que je laisse ma bien aimée remorque pour les mines, en échange je prends la Vivaplantes, le plus vieux frigo de la maison, il est nickel pour selon qu'il a fêté ses 16 ans la semaine passée. Le temps de prendre le bain et tout, il est déjà 18h30 quand je me sauve, l'avantage c'est que ça va bien passer à Grenoble. A 21h je me gare le long de la N6 à Epierre, fin d'une journée à mi temps, grosse nuit en vue, ça fait du bien aussi des fois.