Carnet de bord de Février 2023 | Partager sur Facebook |
Trois deux un Feurs c'est parti, il est 2h30. c'est pile poil la bonne heure et il n'y a pas une minute à perdre, comme hier, comme avant hier. Dans mon sens il y a personne sur la N7, et ça m'arrange vachement beaucoup, le FH peut bosser tranquille et moi aussi. Il y a bien un peu de brouillard, un peu de pluie mais rien de trop méchant, les parkings sont archi plein, et c'est vraiment une bonne chose pour moi. La rocade de Bourges est encore déserte quand je passe, je finis par arriver à 6h15 chez Mecachrome à Aubigny, ici ça bosse H24. C'est écrit en GROS sur mon BL et à l'entrée, reception 7h30. Mais voilà, c'est dans le rôle de l'abruti que je suis le meilleur, je suis tombé sur un cariste sympa, déchargé, papiers signés en 5 minutes, j'ai à peine eu le temps de finir mon café. Je traine pas, et profite qu'il est encore tôt, mais ça commence à se reveiller quand même, Gien passe come qui rigole, le tachy clignote de partout, je stoppe 45 minutes juste avant l'Autoroute.
Il fallait de la pluie, elle tombe bien finement ce matin sur l'A77, mais ça s'arrête quand j'arrive sur Paris capitale de la France. Un coucou en passant au KM42 de l'A6, vous pouvez en faire autant, Fred est toujours là, dans les champs avec son tracteur ;) C'est bien le bazar ce matin autour de Paris, pourtant ici c'est les vacances !? En ADR, j'ai pas le choix, il faut faire le tour par la 104, bien sûr ça bouchonne après Lesigny, pourquoi, mystère. Après, ça a été nettement mieux pour arriver sur la magnifique autoroute A1. Bien sûr arrêt obligatoire à la BP à Roye pour 45 minutes de Karsherisation du chauffeur. Je me suis rencardé sur les prix du parking, c'est du grand luxe, 2 balles de l'heure, repas non deductible. ça tape !!
J'ai pas trainé du coup, encore 100km pour arriver à Seclin. Je me pointe chez le transporteur en même temps qu'un espagnol pile pour la reprise à 13h30. Mais voilà, il faut attendre, il y a pas de courant et personne ne sait quand ça va revenir. Mais voilà, en temps qu'ancien légumier, j'ai toujours ma tôle speciale primeur dans le coffre à palettes. Du coup, je sors mes palettes et le gars du quai le reprend avec son double fourche, en 15 minutes c'était plié, et comme je suis pas completement egoiste, j'ai preté ma tôle à l'espagnol, il a pû charger ses 4 palettes.
Noel m'a trouvé un voyage de retour à Tilloy chez STAT, j'ai juste juste de quoi y aller, et comme Nono est prevoyant, je peux même couper à quai. A 15h pile je ferme la session, et je respire un grand coup avec mes 9h52. Je tombe sur Manu, un vieux de la vieille de chez STAT, un sous marin de FDR, on a eu le temps de faire connaissance, c'est toujours des bons moments.