Carnet de bord de Mars 2025 | Partager sur Facebook |
Le bel Angevin a froid ce matin, le pare-brise est givré, comme celui de la 208 tout à l'heure, je laisse chauffer pendant que je vais ranger la bagnole. Il est 7h15, en route.
Une petite demi-heure après je suis à Saône chez un revendeur pour les travaux publics, j'entre directement. J'ouvre les deux côtés et c'est le drame ! Petit drame faut pas exagérer, tout est mélangé. Vendredi en chargeant j'avais demandé au cariste où commence le lot de Pontarlier mais je ne suis pas tombé sur le couteau le plus affûté du tiroir : « ben je sais pas. » Si toi tu sais pas comment moi je peux savoir ? Je m'étais dit que les gars reconnaîtraient leurs enfants... C'est le cas. Sauf que comme les lots sont mélangés il me faut tirer les rideaux devant derrière devant... Heureusement que je les ai passé au WD40 la semaine dernière, ça roule tout seul. Quand le gars a pris ses bouts de béton je lui demande d'en remettre deux devant, c'est pas bien loin il ne neige pas mais c'est plus prudent.
A 10h et demi je suis à leur autre agence de Pontarlier, là c'est plus simple, il prend tout. C'était mélangé mais tous les produits y étaient. Ouf ! Un coup de balai et j'appelle Cyrille, on va recharger un chalet à Evans. Vu l'heure je m'arrête au pain à St Vit.
A midi moins le quart je suis chez Abris Co Bois. Le cariste propose de me charger tout de suite si ça m'arrange. Tu penses que ça m'arrange ! J'ouvre les deux côtés, on charge. Cette fois c'est pas un chalet, il paraît que c'est un abri de piscine. A midi et demi c'est fini, le gars part à la soupe, j'en fais autant mais moi je reste sur place.
Il fait beau la météo devrait tenir, je vais laver à Valentin. Quand c'est propre je vais au dépôt pour récupérer mon triporteur qui m'attend depuis 15 jours. Après c'est la route normale Vesoul Langres Chaumont St Dizier. J'appelle le client pour se cadrer demain, il me demande si je peux venir ce soir...Ben voyons ! Je termine la journée à Berry au Bac pile poil pour faire une 11. Quand j'entre dans le bar je vois Bata avec deux gars de chez Locavi dont un que je connais de longue date. On boit un coup, un seul pour moi, et on va à table.