Carnet de bord de Septembre 2023 | Partager sur Facebook |
Réveil 5h30 je vais déjeuner et me doucher. Je passe chez Jeantet, le portique est en panne mais la Karcher fonctionne, un pare-brise propre ça fait plus sérieux pour aller aux mines.
Un MAN de chantier a une contre-visite, j'ai le temps de grimper sur les sacs d'engrais pour « graisser » les roulettes de mes rideaux. Je dis graisser c'est pas de la graisse, la graisse fait coller la merde, ensuite ça ne roule plus du tout. Le Nico m'a filé une bombe de silicone.
Vient mon tour, je passe l'ensemble, il n'y a qu'un jour d'écart entre le tracteur et la semi. C'est au poil comme ça, je n'aurai plus à me faire chier, on passera tout en même temps. Je regarde les anciens contrôles, la première année contrôle à 60000km, la seconde on est à 120000 c'est régulier et avec moi on saute à 230000. 110000 dans l'année c'est pas un exploit, j'ai ce tracteur depuis 8 mois, on verra l'an prochain sur une année complète. Quoi qu'il en soit j'ai zéro défaut sur l'ensemble, juste un anti-brouillard fendu j'ai dû prendre un cailloux.
A 10h et quelques je me taille direction Émagny. C'est un gros revendeur de produits agricoles, bien sûr ils ont un téléscopique, je n'ouvre qu'un côté, je grimpe dans la semi pour passer les anses des sacs. Rien n'a bougé, aucun sac percé contre un poteau, faut dire que j'avais mis mes mousses au cas où.
Je repasse au dépôt, c'est à côté, pour compléter le plein et faire coucou. J'ai le temps je passe par la Haute Saône, je mange un bout là le long, à 14h30 je suis à Seppois.
Rémy termine, je prends la place. On perd un peu de temps avec une palette. Ils annoncent 23 mais je ne trouve que 22 colis. Sur le gros carton c'est raturé 16 puis 17...au final on ouvre et c'est 18. Le temps de faire valider par un chef... Ensuite le chargement est assez facile, normal quoi !
A 16h30 je pose le camion à Bourogne, bon week-end à tous, ce soir il y a match, « allez les petits ! ». Le ciel vous tienne en joie.