FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Avril 2019 Partager sur Facebook
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  • pause douche
    Catalogne
  • Vendredi 12 Avril 2019
  •  

    A 8h j'en ai marre, je me lève. Je vais déjeuner au bar de l'hôtel chicos juste à côté. 2€80 c'est le prix normal. Je me renseigne, il n'y a pas de douche, on verra plus loin.

    Sur les coups de 9h je vais directement voir mon cariste, il doit être plus ou moins chef de quai les autres viennent lui demander des trucs sans arrêt. Il me dit de me mettre au quai 8, el ultimo. Ne nous emballons pas, il va chercher les palettes au diable, les autres viennent lui causer, il n'arrête pas de s'arrêter du coup. Je me casse à 11h pétantes.

    J'enquille l'A2 jusqu'à Lleida, le bout où il y a 75% de réduction avec le télépéage pour les poids-lourds. Premier arrêt au Parador à Lleida pour la douche, un jeune pompiste vient me voir pour que je paye le parking. Non t'es gentil, je me douche et je me casse. Enfin après les 30 min. Il me pose deux trois questions sur les piscines et le chariot embarqué, il est sympa finalement ce gosse.Les compteurs sont remis à zéro, zou !

    Je mange un bout en 15 min à Gurb. J'adore ce nom, une dirait une onomatopée dans une BD, ou le nom d'une bestiole dans Star Wars. Il est 15h c'est l'heure de manger et surtout ça coupe la monotonie de la C25.

    Je pensais choper du monde dans le Perthus mais non ça roule, pas fort avec les travaux mais ça roule. Autre coup de bol, un mec a ruiné sa bagnole dans les glissières vers Montpellier, je passe juste ric-rac avant que ça merdoie.

    Séverine la chef d'exploitation m'appelle, elle veut me donner le bonjour d'un gars, le nom de famille ne me dit rien, je l'ai oublié depuis. Elle me dit qu'il est affréteur chez Gefco Gennevilliers. Ahhhh ok !!! Elle me raconte que Pascal a été adorable et qu'il l'a sortie d'une grosse galère. Nan ben tu crois pas que n'importe qui me passe le bonjour ?

    Je sors de l'autoroute à Piolenc, tous les restos de la vallée sont fermés. Tous sauf Donzère comme d'hab'. Heureusement qu'ils sont là.