FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Juillet 2019 Partager sur Facebook
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  • nous vlà prévenus
    Zaragoza
    tous les lotissements devraient être comme ça
  • Mercredi 17 Juillet 2019
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    Au réveil je vois que Julien est encore là, on va déjeuner ensemble en bas de la rue. C'est lui qui paye, il me dit que c'est moi qui ai payé le dernier coup à Alfajarin. Quelle mémoire !

    Comme d'hab' Béa m'ouvre la boutique, je me vide. Je lui demande pour ma piscine de Madrid, elle me dit que c'est Roman qui sera là. Parfait...

    Premier arrêt à La Panadella pour la douche, un café là-dessus, 23 minutes, et zou !

    Vers Lérida, dans l'autre sens heureusement, un porteur Premium a dévalé le terre-plein central, rien de méchant visiblement mais la dépanneuse occupe la voie de gauche. Je vous dis pas le bouchon derrière ! Les Mossos font sortir les bagnoles à la sortie d'avant et ils entassent les camions sur deux files, big merdier !

    Comme l'autre fois les 4h30 de volant m'amènent après Saragosse dans le Morata, la station est destroy mais je m'en fous j'ai juste besoin d'un parking et d'une poubelle. Je me bois mon petit cortado de l'après-midi au km 77. Il y a tellement de troquets sur cette route que je ne les connais pas tous, ici ça paye pas de mine mais c'est nickel propre avec des douches, faudra que je pense à revenir.

    J'attaque Madrid à 17h30 mais ça roule nickel, à 6h et quart je retrouve mon compañero à Las Rozas de Madrid. C'est la proche banlieue chic au nord de la capitale. Je suis garé à 100m, au poil. D'entrée je demande à Roman ce qu'il fait là, ici c'est le secteur d'Isidoro. Bé Isidoro a été viré il y a deux semaines. A la calle ! Et avec Enrique, le chef, allez hop ! Tu m'étonnes que ce matin Beatrix ne m'a pas donné d'explications. Je comprends aussi pourquoi Isidoro n'a pas lu mon whatsapp. Putain la vente c'est un monde dur. C'est le jeu ma pôv Lucette, il y a des objectifs, ça va pas tu dégages, et en Espagne avec la déréglementation c'est encore plus facile. Je vide, on range tout dans l'entrée du garage et en partant Roman me dit en rigolant : espero reverte. J'espère te revoir. Moi aussi, moi aussi. Je ne suis pas inquiet, lui il vend.

    Comme toujours Laurence m'a envoyé mon retour, on recharge en Navarre. Je retraverse donc Madrid, ça freinouille à peine sur la M40, rien de méchant. Par tranquilité d'esprit je mets 100 l de gasoil à Torremocha, ce rouge clignotant sur la jauge ça me fatigue.

    Je finis mes heures à Medinaceli, super resto, sanitaires refaits à neuf. 10h05, 845 km ça suffit comme ça.