FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Avril 2024 Partager sur Facebook
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  • je sais où il va
    la récap pour Mich
  • Vendredi 19 Avril 2024
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    Réveil 5h, par politesse je vais boire un grand crème, c'est la patronne qui est là, déjà hier soir son mari était attablé à boire des canons, elle, elle bossait, il pousse le bouchon Maurice je trouve.

    Je roule jusqu'à Donzère pour déjeuner et me doucher, le tout en 20 minutes histoire que ça me compte une coupure.

    Au rond-point de Montélimar sud je retrouve la PDG des transports Isabelle Rousset, je lui file vite fait le tabac qu'elle m'avait demandé et zou !

    Je suis à Lyon vers 8h et demi je pensais que ça allait chier un peu mais rien du tout, sur le vieux périph faut juste freiner devant les radars, un pur bonheur. Les 4h15 sonnent un peu avant Lons, inutile de faire tirer sur le nouveau contournement il n'y a rien pour se garer, sur le parking après Beaufort je dors une demi-heure, fin bien.

    Avant d'arriver à Mulhouse je rattrape un gars de chez Blondel, complet en conteneurs Peugeot, je le double ? C'est pas sport, je sais très bien où il va, tant pis je reste derrière. A l'entrée de l'usine il tire tout droit, il doit avoir un badge permanent, moi faut que je passe par la réception. J'ai bien fait de ne pas le gratter. Personne à l'enregistrement, c'est pas la vieille taupe de l'autre fois, c'est un jeune gars bien sympa. Au parc à emballages je me gare derrière le Blondel, ce n'est d'ailleurs plus Blondel c'est le groupe Brun, Blondel à Thann c'est eux qui ont roulé avec des 111 jusque très tard. Bref, le chauffeur a déjà enlevé ses sangles, un cariste le fait entrer, il me fait signe de suivre. Le temps que j'ouvre l'autre a fini. Moi 8 piles ça va vite, à 14h30 je suis vide. Incroyable !

    Le croissant de Donzère est loin, je me serre sur un bout de terrain vague pour manger un morceau, la borne de sortie avale mon badge. Merci pour tout.

    A 15h30 je suis à Seppois pour rendez-vous 16h je suis pas trop mal, s'il y avait eu du monde chez Peugeot je me voyais déjà téléphoner à Fabrice pour qu'il m'attende, ouf, rien de tout ça.

    Dans le quart d'heure Laurent me laisse la place, j'enfile un pull, avec la pluie ça caille c'est affreux sous ce truc alors que le week-end dernier c'était l'été, il n'y a plus de saisons ma pôv dame ! La semi est bien chargée mais tout passe au sol, un dernier café et je file.

    A 17h30 je pose le camion à Bourogne, bon week à toutes, le ciel vous tienne en joie.