FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Mai 2019 Partager sur Facebook
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  • Arles sur Tech 66
    Alella 08
    idem
  • Mardi 21 Mai 2019
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    C'est la reine des desserts, que je préfère à la reine des neiges d'ailleurs, qui fait l'ouverture ce matin. Un double café, une douche et zou !

    Je sors de l'autoroute à Sète, Mèze se traverse encore facilement à cette saison...c'est bientôt fini. Je commence à Pomérols dans un chemin sans issue, tout doucement j'arrive à faire demi-tour sans rien casser, un miracle. Le portail est mal fichu, je ne peux entrer avec le chariot, faut dépoter. La cliente est toute petite femme toute menue, elle me dit : « je suis petite mais musclée, je peux porter les plaques. » Tu parles, elle fait 32 kg avec les rangers, à la deuxième tôle elle n'en peut plus. Elle appelle un gars, on finit les deux.

    Ensuite je vais à Narbonne pour une rénovation-margelles. Je connais le coin, c'est un peu interdit aux PL mais je sais que ça passe, je suis venu cet hiver. Avant midi c'est fini.

    Je devais faire une petite piscine à Perpignan mais elle a été reportée ou annulée j'en sais rien, heureusement ça s'est décidé avant de charger, elle est restée à l'usine. J'appelle donc mon client suivant à Arles sur Tech, je m'annonce en avance. Il est ok. C'est le bordel intégral dans la montée du Perthus, le bouchon refoule jusque bien avant le péage du Boulou. Je vois ma sortie, mais je suis bloqué là, on paume un bon quart d'heure. Les 4h30 sonnent dans la montée, je mange un morceau.

    A Arles sur Tech je suis garé dans un virage, c'est pas terrible, je ne m'éternise pas.

    Je pensais que le bouchon dans le Perthus serait un peu résorbé, mon cul Paul, ça ne monte que sur une file, l'enfer ! Nestor m'appelle, on se cale pour 17h. Il m'envoie un lien Maps. Nickel.

    A Alella je l'appelle la rue est étroite, je roule sur la terre, il me dit que non. Ben si ! Il vient à ma rencontre, on compare nos téléphones, il m'a envoyé une conneries. Faut que je recule. Putain et l'heure tourne. On revient dans le bon lotissement, ça grimpe sec sur une colline. Au bout on passe dans une rue étroite, je sers au max à gauche et c'est le drame, j'entends un bruit de tôle. Ils ont élagué des arbres mais ils ont laissé une branche de 10cm de diamètre dans le feuillage, j'ai fait trois déchirures dans le toit !!! Putain de merde. Dégoûté. Je laisse le camion un peu plus loin. Je finis avec le chariot, deux voyages. Il est tard je laisse Raul et ses gars se débrouiller. Et pour repartir je fais comment ? Je nique le toit de l'autre côté ? On fait le tour du quartier en bagnole, il y a une alternative par un chemin de terre, c'est la journée. Une dernière merde pour finir, un rond-point à la con, à l'allée c'est tout droit, au retour il faut enrouler autour d'un truc en béton, je descends trois fois pour voir, manquerait plus que j'accroche. Barça, ça me saoule !

    Je finis la journée au Llevant Park, j'espérais valider ma deuxième 11h pour être tranquille mais avec tout ce temps perdu il manque 4 minutes. Quand ça veut pas, ça veut pas.