Carnet de bord de Mars 2024 | Partager sur Facebook |
Quatre jours et demi de week-end ça aurait dû être le top mais en plus du bras douloureux j'ai chopé un genre de gastro dégueu, à grelotter sous la couette pas loin des chiottes, on peut pas dire que j'en ai profité.
Faut avouer, ce matin ça va bien mieux, l'osthéo m'a dit de ne surtout pas forcer, mouais on verra.
A 8h je démarre de Bourogne, j'arrive à Seppois avec une heure d'avance et surprise il n'y avait pas de camion à 8h !!! Je vais râler au bureau évidemment, que Fabrice me charge à 8 ou 9h ça ne change pas sa quantité de travail, c'est quoi l'argument ? Christine me dit qu'elle a reçu des ordres. Au final mon premier client à Mâcon est reporté semaine 17, du coup je ne suis plus trop pressé, je râlerai à nouveau une autre fois. J'ai pas mal de bazar mais avec une piscine de moins c'est plus light fatalement. A 10h je me sauve. Je passe à Devecey pour les pleins, rendre les papiers et donner un signe de vie. Pas une preuve de vie, on ne m'a pas assis sur une chaise et pris en photo avec l'édition du jour de L'Est Républicain édition de Belfort en main.
Je ne vais plus tourner à Mâcon, je descends direct à Bourg, j'ai le temps de faire un banquet tout seul dans ma cabine.
Sur la 83 au rond-point qui donne vers l'autoroute à Bersaillin un convoi de chez Laso a perdu un transfo, il y a de l'huile partout, ça patauge dans le gras. En fait il ne l'a pas perdu, le truc est tombé d'une machine et l'a traîné par les câbles électriques. Un petit coup de peinture, le plein d'huile et c'est reparti...
A 4h et demi je suis dans la plaine de l'Ain, les lieux sont conformes à ce que j'avais vu sur Maps, je m'enfile dans le lotissement en marche arrière, 300m c'est pas quoi et de toutes façons fallait les faire dans un sens ou dans l'autre. Pas de bol, la pluie arrive juste quand je commence. Je suis un peu en avance, je me prépare tranquille quand un gars en bagnole s'arrête, c'est bien sûr mon client qui rentre du taf. En 5 minutes il a troqué le petit pantalon et la cravate pour un jogging vintage. Il me demande si je peux déposer au fond du jardin, oui, il pleut mais le terrain porte. Quand c'est fini il fait péter le café, tout bien.
Demain j'ai deux assistances avec Isabelle la transporteure de la Drôme, on se cadre pour début d'après-midi.
A 19h15 je suis au Gaulois à Ternay, fin de cette petite journée de reprise.