Carnet de bord de Octobre 2019 | Partager sur Facebook |
Afin d’essayer de faire mieux que la veille, au réveil à 7h, j’enfile le jeans, car il ne fait que 16 degrés, et file de nouveau à la plage pour tenter d’assister au lever du soleil.
Je suis dans les temps, et j’ai même de la marge grâce aux nuages bas.
je ne suis pas le seul à avoir eu cette idée, les gens décampent de leur camping qui a l’air toujours blindés, des famille avec enfants, hollandais, anglais d’après les langues parlées. Ils vont à l’école quand les jeunes?
En tous cas c’est bien joli. Je ne m’attarde pas, et j’ai bien fait, Stéphane me dit de commencer à remonter. C’est paradoxal, la semaine dernière sous la flotte à Lockerbie je suis resté jusque presque midi sur place pour attendre du taf, là il fait beau, on se croirait en vacances et il faut déjà décamper!
Ici, le caña est servi avec couverts, contrairement à Cambrils. Mais les douches sont un peu moins bien. Enfin, dans l’ensemble, c’est du haut niveau espagnol, vaste, H24, convivial, bref tout ce qu’on aime dans ce pays, et ça fait du bien.
Je décolle à 8h30 direction AP7 et mon complément tombe avant Barça, ce sera du côté français. La circulation est déjà repassée au vert ici, et le Montserrat est plus dégagé que mardi.
Je prends le temps de faire un break petit shopping à la Jonquera, à la Tortue, une adresse devenue vintage, ça a déjà bien 20 ans passé ici. Les énormes trucs m’attirent peu.
Quitte à traîner un peu, j’en profite pour prendre un bocadillo au bar.
Je complète à Cases de pène, au nord de Perpignan. Pareil déjà chargé là dans le passé, mais très ancien, puisque période Sceta. Cette semaine m’aura permi de revisiter toutes mes années 90, ne manquait plus qu’à estampiller mon volant d’un losange. ici, ça a l’air de charger toujours aussi bien, et à quai, je n’avais pas de mauvais souvenir. Je n’en repars à 15h, et cette fois j’ai mon poids.
Je garde quand même la N9 jusque Narbonne, nineties power toujours, et c’est une bien belle route. A part le vent.
Je fais une bonne trente à Mornas et j’aurai juste assez pour arriver à la zone sécurisée de Jarcieu.
Personne, pas de soleil, pas de vent, et surtout un camion sale, toutes les conditions sont réunies pour un bon lavage, il est 21H
J’ai bien fait de pousser jusqu’ici, il reste un peu de pizzas ravioles, on déguste ça avec Adrien et la Quenelle.