Carnet de bord de Avril 2020 | Partager sur Facebook |
Le vendredi c’est encore plus repos, le but est de démarrer le plus tard possible.
8h30, c’est le bon compromis et j’ai eu le temps de faire un bon ménage, du pschupschutt derrière les sièges et tout .*
Je vais à mon client pas loin de là en 5 minutes, et vide en 15 les caisses de Gondrand UK.
Go sur le 73 il a dit Lucas avec un des broyeurs.
Je ne sais pas où prendre la douche, la station après Bourgoin a l’air archi neuve et pas encore ouverte en fait. Tant pis, je passe Chambéry, qui passe tout seul forcément, et fait 20 minutes à l’aire de Chignin, une BP où il n’y a pas un chat et où la douche a l’air correcte.
Je sors juste après, Chignin également, et mon client est sur la vieille N6 avant Montmélian. Un gros marchand et garage d’espaces verts. Utile ou pas utile d’ouvrir ça. Si quand même, les arbres ne sont pas en confinement, ils ne s'arrêtent pas de pousser. Ils chopent leur broyeur avec élingue par l’arrière, 15 minutes. On voit que ça bosse un peu là haut dans le vignoble local.
Y a plus qu’à go sur Voreppe, Grenoble passe au taquet aussi, c’est trop agréable, on peut admirer les Alpes proches encore bien enneigées. On ne peut pas aller au ski, mais c’est pas grave du tout, on n’en meurt pas. Je croise le collègue montpelliérain Nico dans le secteur grenoblois, j’arrive à louper la photo.
J’arrive à la petite usine chimique de Voreppe, qui me nourrit tant en Elland et autre Liverpool. Mais là pour vider 2 petits palettes. Il est midi moins dix, le temps que le gardien sache où ça va, il est midi 5 et donc ce sera 13h15.
Je casse la graine, ce sera fait et balance la photo de Nico en plein dans le panneau sur les réseaux sociaux.
Malgré la totale des epi à porter, ça va assez vite et sans histoire pour vider ces 2 palettes avec 4 5 pauvres bidons qui sont apparement des échantillons.
à 13h25 je suis ressorti, Lucas me dit de rentrer à quai.
Une heure plus tard, je revois déjà Nico, il n’a pas traîné à Voreppe lui, il est bientôt chargé.
J’ai vite un quai que Vanvan s’empresse de me libérer. Je vide mes 2 derniers lots de 13, dont un broyeur et recharge un beau petit voyage assez simple, un complet de fût et un petit lot derrière. Un truc peu métré mais par contre bien borné. ça changera!
On charge vite fait avec l’aide de Arthur et Nico. Je me mets en file pour laver derrière Antho, j’ai le temps de sangler mes quelques fûts sangler avec l’aide de Yvan qui lui est en week end dans pas longtemps pour une fois. Ce qui explique peut être qu’il m’a paru radieux. En fait tout le monde que j’ai croisé l’était, le printemps sans doute, qui arrive a défier le confinement.
Du coup je lave comme il faut, j’ai le temps, l’amplitude ne me presse pas trop, et surtout quand on sait comment se traverse Lyon, ça détend vraiment.
ça ne loupe pas, périf tranquille à même pas 18h. Petit bouchon quand même au péage de Villefranche, juste 2 ou 3 caisses d’ouvertes, mais c’est pour la bonne cause, ça contrôle toutes les voitures, des fois que des vacanciers oseraient partir, ils en sont capables.
Je trace tranquille à 84, j’ai du poids, et le temps.
Cassage de graine en 30 minutes après Til Chatel. Je croise Adrien un eu après, peut être on se recroisera semaine prochaine.
Je me pose à mon parking il est 22h30.
La 504 break démarre, impec, car ce n’est pas la batterie que je charge, mais le coffre!