Carnet de bord de Novembre 2020 | Partager sur Facebook |
On ne déborde pas ce matin ou très peu, c’est vendredi, 6h35 c’est reparti. Il veut faire beau on dirait, le Ventoux se montre un peu, c’est toujours géant depuis l’A9. Je voulais m’arrêter à Montélimar pour une douche mais comme un imbécile j’ai loupé le parking pl après les pompes, j’ai zappé qu’il fallait passer sous les pompes. Je n'y connais rien au département 26.. Du coup je reporte la douche à l’aire de Saulce. ça fera l’affaire, il y a une Brioche Dorée, je n’ai rien contre à reprendre un chausson aux pommes, un peu plus gourmant que mes secs et cassants aussi Wasa du matin.
J’arrive sans difficultés à Meyzieu via A46. Je suis à quai de suite chez le client de cuivre, et ça vide plutôt vite fait, ça tranche avec hier. Vide à 11h et quelques, je peux aller faire une zone courte avant de rentrer au bercail de Jarcieu. Un petit inter trédi de St Vulbas à Salaise. J’arrive sur le site du 01 à midi moins 5, c’est mort, faut attendre 13h, et ressortir. Je fais un tour de boutique pour aller me garer dans une rue du PIPA et casser la figure à une boîte de sardines achetée la veille. Ici ça pue moins qu’à Salaise mais ils n’ont pas de parking pl devant l’entrée. A 13h, je tombe sur la queue à la bascule, mais suis vite en place. Le cariste m’a l’air bien sympa, ça ne traîne pas à charger des IBC peu remplis, au transpal ça va très bien.45 minutes contrôle des équipements adr inclus. Il y a juste que les papiers prennent presque plus de temps, il y a 3 types de déchets différents. J ‘en repars à 14h45, ça va être chaud pour être au rdv de 16h à Salaise. Je passe comme à l’aller par Loyettes, Chavanoz et Meyzieu, ça m’ennuie moins que de monter rechercher l’A42.
Heureusement ça roule à peu près. Même à Chanas où tonton Moriaud se retrouve en même temps que moi au péage en arrivant du sud. Et il tourne à droite aussi vers Salaise. Il va aussi à trédi, à rdv 16h également. On y arrive à 16h15, les 2 en retard ça fait plus sérieux. Heureusement, il a la 1ere entrée à faire dans un 1er temps. Moi je vais au fond, mais j’aurai 3 pesées vu qu’il y 3 bons. Ils sont bien braves, de la fille de la bascule qui a essayé de négocier en haut lieu une seule pesée, aux caristes. Et il n’y a plus foule pour se bagarrer la bascule le vendredi à l’heure là. Oncle Philippe me rejoint, je lui laisse la place avant de boucler ma dernière pesée. Faut pas qu’il rentre trop tard, le pâté ça n’attend pas.
J’arrive à Jarcieu à la nuit tombée. Quai 2 ou 3, c’est selon, avec Thomas qui a une bonne partie de mon chargement que je prends. C’est pas la foule de copains qui manquent pour prêter main forte. Je n’ai que 2 lots, c’est très bien, mais 2 lots que tout oppose! Dans l’équipe, y a copain 26 qui a enfourché un transpal aussi, et qui en plus ne compte pas laver, ce qui me motive du coup à me mettre dans la file. Il est presque 20h quand je repars propre, juste bon pour finir mon amplitude. Je passe Lyon et échoue à Villefranche, comme ça demain ce sera d’une traite assurée.