Carnet de bord de Février 2020 | Partager sur Facebook |
Je vais au Pitstop, resto à côté pour la douche et le pain beurre. C’est tout qro ici.
Je démarre à 7h55 pour faire 2 ou 3 kms à un dépôt logistique forcément.
Un type ne trouve pas ce que je dois charger. Et il faudrait un n° de commande pour aider.
SMS à Jarcieu pour demander. ça ne vient pas. A défaut de n° de commande, je reçois un message de Stéphane avec une autre ramasse que je peux éventuellement faire en attendant vu que le fameux n° de commande n’arrivera que vers 10h, ça doit arriver d’angleterre dixit Jean No.
Il est 9h passé, je file donc à la ramasse en question à Oullins. ça roule bien, une bonne demi heure. C’est dans une cour de petites boîtes, derrière Arkema. 2 pal pour Londres, que je garderai. Je retourne sur SQF. Rien de neuf là bas, hormis que j’ai un n° de commande maintenant,et que ici ils viennent de l’avoir seulement aussi, donc c’est pas prêt naturellement. Je suis à quai un peu avant midi. Je peux tout ressortir ce que j’ai, heureusement encore, car ici je prend du vrac que je garderai aussi, donc au tablier. Je suis enfin chargé à 12h45.
La suite pas loin à Vaulx Milieu, pour les célèbres Stone et Machinford. Là c’est 14h30, jamais avant. Je mange une bricole et attaque une petite marche autour de l’immense entrepôt logistique car mon pote stéphanois Juju y charge de l’autre côté.
J’attends qu’il termine et on papote un peu et il me ramène, histoire que je fasse une courte balade en MP4.
Je charge vite à 14h30, 6 pal seulement.
Retour à la casbah de Jarcieu, à travers bien sûr. Et en arrivant de Vaulx Milieu, on arrive pile sur la boulangerie Lafayette à Diémoz, donc un stop baguette car je sens que j’en aurai besoin ce soir, l’après midi n’est pas terminée.
Ici à travers, impossible de se lasser de la vue, du massif alpin de l’est au sud jusqu’au Pilat à l’ouest.
Pas de quai immédiatement disponible, y a du peuple et de la marchandise cet aprem, et de toute façon il en manque un petit bout dans mon groupage bien garni aujourd’hui.
ça ne traine tout de même guère à prendre un quai et aujourd’hui c’est mon chef ami Yvan qui m’assiste dans mon chargement, ça faisait longtemps.
Fabien arrive avec le chaînon ouest londonien manquant juste quand on y arrive au milieu de la semi.
Rien de compliqué, ni un métrage délirant, mais une belle semi quand même.
Bon, belle semi, c’est au sens figuré, et pas au sens propre justement, car ce n’est pas encore aujourd’hui que je vais laver, il est déjà tard quand je repars et j’ai passé l’âge de faire la queue pour laver un camion. Limite j’aurais préféré aller déguster le fameux boudin grillé à Jarcieu convié par le chef, mais me dire qu’il n’y en avait que pour un 1/4h, j’y ai pas cru là!
Il est 18h, c’est plus sâge d’attaquer la remontada.
Naïvement je file sur Chanas sans checker maps, vu que je repartais à la même heure que la semaine passée, mais là c’est rouge de partout, des 18 minutes de retard. Ah oui c’est les vacances scolaires déjà. Tant pis, on y va tranquille, de toute façon c’est mort pour rentrer ce soir.
Pour changer j’enquille l’A42 et A39. Je ne tire pas les heures et stop à la sortie Choisey, il est 21h45. Il m’aurait manqué 1h en amplitude pour la maison.