Carnet de bord de Juillet 2020 | Partager sur Facebook |
Douche, café et démarrage à 7h10, en même temps que tonton Philippe Moriaud qui m’ouvre la route jusque Chanas pour chauffer la mécanique.
Ce matin je découvre un autre boulot mythique de la maison, Total Givors > St Clair du Rhône. ça commence déjà par les joies de stationner au parking pl de Givors dont la rue d’accès est en travaux, et ce parking squatté par des voitures naturellement. Mais ça va , à 8h je suis posé. Enregistrement puis port des epi dans la totalité (ave combinaison) et prise de température, je peux rentrer charger un complet de carburant par un côté. ça va bien vite, ressortie, et re-parking pour les papiers. ça c’est un peu plus long. Le temps que ça se fasse, des bagnoles se sont garées encore n’importe comment. Je ne peux même pas sortir. Une bagnole à gauche, une camionnette à droite, où un n° de tel est marqué, j’appelle et puis c’est tout. La dame au bout de fil me dit que son employé est sur le site Total, si je peux éventuellement aller le trouver...et puis quoi encore, elle ne peux pas le joindre?? Mais en face, la voiture encore plus mal garée se barre, et ça passe.Je lui dit qu’il ne faut pas se garer, c’est un parking pl, c’est même marqué interdit aux autres véhicules. Désolée, il n’y a pas de place à Givors me dit sa conductrice.
Aller je me barre et retrouve un peu la quiétude de la 86 qui fait du bien jusqu'à Chavanay. J’arrive de l’autre côté à St Clair du Rhône vers 10h15. AU poste de garde, on m’annonce pas mal d’attente. Y a Aurélien à l’intérieur qui a un chargement à multiples références qui prend du temps. Je rentre il est 11h passée. ça vide assez vite.
J’ai pas un grand bout à faire pour recharger, 200m, chez Prayon. Là je rentre assez vite, et cette fois c’est Nicolas que je vois au poste de garde, en plein dans ces navettes Roussillon.
Je suis à quai aussitôt, à côté d’un traco Bert avec un Magnum encore bien propre.Là c’est changement d’équipe, ils ne doivent pas se croiser, donc le balai prend pas loin d’une heure. C’est bien long à charger, un autre Bert arrive, un petit jeune bien sympa qui m’a sauvé la mise en prenant mon ticket de pesée que j’avais zappé à l’entrée. Je lui paye son coca au distributeur et on papote bien le temps du chargement.
Je ressors de là à 14h avec un complet 2 clients nord angleterre, je peux remonter au quai 1 de Jarcieu. Là on ne touche rien, juste on rajoute 2 palettes pour le même secteur, vers Liverpool. Ma semi est déjà chargée pour semaine prochaine, je peux passer au lavage, et avec le temps de fignoler un peu, ça ne fait pas de mal de temps en temps. C’est le calme plat sur le quai ce milieu d’aprèm à Jarcieu, Célestin termine de balayer le quai bien vide.
Mais une rafale de camions arrive un peu après, et le balai de transpals s’activent pour remplir les diverses travées, de boissons, de carburant et de fret divers. On ne s’ennuis plus. Surtout que tonton Moriaud rapplique. Aymen prend un bon groupage catalogne, pour vendredi, il est content. J’ai mon boulot pour demain avec un autre semi. Je prends une douche, détele ma semi et repars à presque 19h30. D‘abord un peu de gazole à la Total Salaise et passage au Carrefour pour trouver du pain, en solo c’est fastoche. Puis je monte au dépôt Duarig à Roussillon, pour atteler la semi à la pub Sud Est Façade. Je continue à monter au nord, via Vienne. Il fait encore bien chaud, plus de 30 à 21h. Je passe le périf et vais me poser à côté de mon client dans la zi de Genay, bien pratique pour garer. Il est l’heure d’attaque la baguette céréale made in grande distribution qui ma foi est bien bonne.