Carnet de bord de Juillet 2020 | Partager sur Facebook |
La clim autonome m’ a bien aidé pour dormir cette nuit, comme quoi tout n’est pas à jeter sur ce FH4. Il fait encore ou déjà 21 degrés à 7h ce matin.
Après un coup de balai dans la Schmitz “SEF”, j’avance au client de produit chimique à 8h.
C’est assez détendu, on charge 22 IBC de bioéthanol, à quai, tranquille. Il faudrait sangler si je n’avais pas 2 barres d’arrimage. Je n’en voyais qu’une dans la semi, mais heureusement en commençant à chercher des sangles dans le coffre à palettes, je suis tombé sur une 2éme barre qui était caché dedans. Je me disais bien, c’est rare qu’il manque des équipements dans les semi Duarig.
A 9h et quelques je repars direction Romans. La circulation commence déjà à se tirer un peu. Il n’en sera pas de même cet aprèm. J’arrive à Romans à un petit labo, que j’ai déjà fait, c’était en retour de mon tout 1er tour de Catalogne chez Duarig, en août 2018, le temps passe vite.
Ici aussi c’est décontracté, on vide au transpal, et électrique, le bon boulot. Juste faire gaffe pour les manoeuvres de l’engin aux 1er IBC à sortir, ça doit faire du bruit un transpal comme ça qui tombe par terre qu’on se dit avec le cariste, surtout qu’il est tout neuf. Le pompon, je recharge sur place 44 ibc vides, un vrai boulot de vendredi.
Mais à la fin, lorsque le cariste redescend le transpal, le voilà qu’il tourne la tête pour regarder un camion qui arrive, et que l’engin glisse des fourches et se retourne… les batteris sortent de leur logement et se vident… C’est un peu carnage...Mais ça n’a pas l’air de perturber ce brave cariste.. Je repars de là à midi 30 passées, retour Jarcieu. J’aurai le temps de casser la graine en route, mais je suis déjà en panne de pain, la délicieuse baguette aux graines n’a pas fait de reste ce matin au petit dej. A Romans ce n’est pas un problème, il y a le Marie Blachère et de quoi garer pas loin.
Je monte à travers, Marges, Hauterives, où les visites du Palais du Facteur Cheval ont l’air d’avoir repris vu le peuple dans les alentours. Je m’arrête plus loin, sur les hauteurs, près des éoliennes, avec vue sur le Pilat de l’autre côté.
Je reviens à Jarcieu pas très tard, et c’est facile à garer la SEF, ce n’est pas la place qui manque. Mais je fais ma manoeuvre au mieux, car le chef de parc Célestin observe l’opération alors qu’il a l’air débordé de travail.. Je reprends ma vieille bleue et repose les papiers et cmr au bureau. Mais ne je peu pas me filer comme ça, Stéphane me propose une palette pour le 62 lundi. Bon d’accord, je prends! J’ouvre un côté, et Célestin amène un panneau sur ces fourches et son co-équipier de quai la fameuse palette de menuiserie.
Une sangle là dessus, je referme. J’ai transpiré mine de rien, je passe faire un tour sous la douche, dit salut aux camarade Adrian et Ludo radieux qui s’en revient d’Autriche, il peut.
je ne pars pas trop tard, passe Lyon encore pas trop mal dans mon sens, à l’inverse c’est la cata en face. Ils sont fous. Est ce bien indispensable de partir à tout prix en vacances cette année.
Une petite pause vers Dijon, et à 21h je suis garé à Perrenot Transvallées. Ah oui, c’est pas chez Volvo ce week end, ça change quand il n'y a plus rien qui clignote au tableau de bord. Et la marque remonte en plus dans mon estime, puisque la demoiselle V40 démarre au quart de tour après une longue période de stand by.
Doc le week end commence bien!