FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Mars 2021 Partager sur Facebook
  • Photos
  • les autochtones d'abord
    c'est la Tophe à Condrieu
    les caïds de la maison à Chavanay
    Antho est tout près de la maison, il peut discuter minutes
    old school
  • Jeudi 18 Mars 2021
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    Là encore, faut pas louper le réveil, je mets en route à 4h40. Faut être à midi chez les 43. Melun passe bien à cette heure matinale, pareil Fontainebleau. Un peu d’A6 puis A77 où je peux terminer la nuit tranquille au vu du calme qui règne sur cet axe. 

    Une fois de plus je ne fais que passer à 500m de chez ma soeur sans m’y arrêter. Le petit dej en famille d’accord, mais le rdv 43 d’abord.

    Je m’arrête quand même à la Leclerc de Moulins pour mettre du gazole, et du pas cher de nos jours, 1.369€,  tout en validant 15 minutes. Et guère plus loin je valide 30 en passant sous la douche au cr de Toulon sur Allier. En même temps, on a pas envie d’y passer plus de temps. La moyenne se maintient, ça devrait aller pour le rdv chez les plasticiens. Même derrière Villars ça roule, c’est dire. Enfin dans ce sens c’est moins pire en général. Juste une baisse de moyenne une fois la limite 42 43 franchie avec les l’apparition des 1ers dénivelés, et sans VEB. J’arrive tout de même avec 5 minutes d’avance sur le rdv de 12h avec plein d’assurance. Mais le type poivre et sel qui me reçoit me dit que c’est rdv 13h30, et non sans assurance. Du coup je réplique non moins sans assurance avec mon mail de Lucas truffé de références à l’anglaise. Mais l’anglais c’est de l’étranger ici, tout comme le vosgien, et je sens bien que c’est inutile de discuter J'en informe Lucas, et je casse la graine en observant les autochtones rentrer ressortir. C’est le protectionnisme altiligérien, c’est comme ça. Le pire dans tout ça, c’est que je mange sans pain, je ne voulais pas perdre une minute à un stop bread, ma bonté me perdra. Je me mets en place à 13h30 quand même, mais ça ne bouge que bien 40 minutes plus tard, c’est bien pénible. J’ai une ramasse sur le feu depuis ce matin. Comme c’est parti ça sera la seule, shit. J’en repars enfin à 14h45, presque passé 3h. Je file donc à ma ramasse côté 42, à Roche la Molière, le long de la rocade ouest de Sainté. Je charge vite une caisse pour la Catalogne. Il est 15h35, la journée est déjà faite grâce à nos amis du proche 43. Je peux revenir tranquille sur Givors. Je reçois en route une ramasse à Chavanay côté 42, chez ceux qui bossent quoi. Après mettre payé un bout de 86 où ce n’est pas vraiment la tophe avec du bouchon à Condrieu, j’arrive chez notre client découpeur de tôle à presque 17h, en faisant la file presque sur la 86. De loin, je vois Antho, Ph Cancade et Stéphane du 34, et il y a encore bien 3 ou 4 autres camions. ça promet. Mais en fait ça avance vite, on fait tous nos papiers avant de charger, on prend tous de faibles quantités, et en une bonne heure c’est réglé. Bref, on est bien loin de Monistrol ici. Et en plus j’ai eu le temps d’aller au pain derrière le Leclerc, de quoi bien finir la semaine. Je n’ai rien chargé pour chez Zinin mais j’ai 2 lots quand même, du 21 et 53. Je remonte à Jarcieu via Serrière Chanas. Il est presque 18h quand j’ouvre mon côté. Ptitdud attend après un de mes colis de tôle, il va livrer ça en montant en GB pour le week end, le courageux, et Aymen me prend le lot d’hier du 62. Du coup Christophe est sollicité pour tout sortir en extérieur. Comme ça il est fin prêt pour son 1er printemps dans la boîte. Ma journée se termine sous les rouleaux, enfin plutôt avec les brosses, un moteur du portique a grillé. J’y passe largement plus d’une heure à tout frotter à la brosse, comme dans ma jeunesse. Sans soleil, donc sans le produit qui sèche, c’est pas déplaisant et ça fait du bon boulot. ça a pris du temps, mais au moins ça m’aura épargné une bonne partie du petit apéro de presque tous les chefs, mais néanmoins sans le plus grand et le plus illustre d’entre eux. C’est bien ce qui me semblait que je n’entendais plus une palette bouger.