Carnet de bord de Aout 2021 | Partager sur Facebook |
Je vais juste payer mon parking à 5h30 et mets en route à 5h45, go vers le Port. Je bénéficie d’une bonne zone verte dans les feux tricolores de Douvres, je suis au guichet de la P&O à 6h. D’après les horaires de l’appli, il y a un ferry à 6h50, il n’y a pas foule, malgré quelques touristes encore, je suis bien booké pour celui ci, ouf. Donc ça embarque peu de temps après, je file à la douche, et coup de bol, c’est le Spirit of Britain, il y a une vingtaine de douches, et assez spacieuses pour du ferry. Un breakfast là dessus avec sur l’écran la bonne nouvelle de ma plaque affichée en vert. A 9h20 à Calais, ça ira très bien pour choper un complément à Lucas sur Roncq avant midi. C'est au CIT, chez les verts. Une longueur, enfin radiateur de 2m80 de long pour St Vulbas, que le cariste me gerbe sans hésiter sur le chargement lourd de batteries. Résultat j’ai toujours de la place aux portes. On va attendre un peu un complément alors. Je traverse la rue et vais au CR pour mettre un peu de gazole et adblue à la Access. Puis je me gare et vais me boire un café au Mille Pattes à côté. Il est bientôt midi, mais j’ai à peine digéré mon breakfast, je ne vais pas m’envoyer un menu complet ici. Je retourne au camion attendre, ça va être mort du temps de midi. Je me mange une dernière tomate qui traine avec un vieux bout de fromage pour achever ma baguette trouvée avant hier en montant. J’entame une bonne sieste que Julie envoie une suite vers 14h. Encore une longueur pour le 07. Cette fois il faudra bouger des palettes sur un côté. C’est bon il le feront au chargement, à la maison De Backer, sur Lille. Finalement on pousse les palettes uniques du tablier sur un côté et la longueur trouve place devant. La suite, toujours chez ce même transporteur aux bons vieux Volvo aux couleurs si atypiques, mais à Sequedin, à l’ouest de Lille. Là c’est juste un colis qui accompagne la longueur de bois. Je peux rentrer comme ça, il est 15h45 quand je quitte la métropole du nord, et pour une fois ça roule plutôt bien en direction du sud. C’est sûr, là, la proximité de la Belgique, c’est pas trop la région d'où des hordes de vacanciers en reviennent. Je suis vite sur l’A26 où ça trace sous le soleil, et la 44 à Reims. Je fais 30 minutes avant la descente de Gravelines, pas de temps à perdre si je ne veux pas grignoter l’amplitude. Il refait bien beau par ici, si ça pouvait durer tout le week end. 2 petites heures plus tard, je retrouve mon parking ouest vosgien. La Volvo démarre. C’était reprise tranquille.