Carnet de bord de Janvier 2020 | Partager sur Facebook |
Pas la meilleure nuit de semaine encore. Pas de touriste mais ça roule pas mal, et vers 4h, 2 trous du cul ont fait la course entre les 2 rond points après avoir ronflé les turbos visiblement modifiés. Je démarre assez tôt, vers 6h30 pour tenter une route à travers par la bridoire, St Béron, j’avais cru lire St Béton, faut vraiment que je chausse plus souvent mes lunettes de lecture de près. Et St Geoire en Valdaine côté Isère. Ma foi, routes départementales pas mauvaises, hormis un pont étroit à la frontière de la Savoie et de l’Isère. ça fait arriver sur la 75 au nord de Voiron et donc économiser un bon paquet d’autoroute généralement chère. Je continue à l’économie en sortant à Moirans, Voreppe, je voulais voir si je pouvais choper le service de Voreppe pour la douche, mais non, impossible, alors je continue par la natio qui va à Valence. C’est autorisé, et je vois un resto routier en face Vinay, mais là fermé. Je pourrai pas prendre de douche, c’est vraiment casse noix par ici.
J’arrive à St Marcellin, au client de luminaires en bord de rue principale, peu de temps avant l’ouverture. Le tpe sympa m’assiste pour reculer depuis la route et on vide en peu de temps les palettes de Harlow.
Bip à Julie qui m’envoie vider la suite et fin en Ardèche. ça faisait longtemps que j’avais pas visiter le Rhône Alpes en long et à travers, ce n’est pas pour me déplaire.
En route je croise mon pote Juju du 42 qui lui vient d’Ardèche, du client où je vais et va à St Marcellin!! C’est comme ça.
Je sors à Loriol et monte depuis le Pouzin vers les quelques 1éres usines Ardèchoises pas loin de là. C’est déjà joli en tous cas. J’y suis venu dans l’une d’entre elle l’an passé en retour de Catalogne.
Je vide en quai en peu de temps et en ayant signaler honnêtement le coup de cutter dans le carton. Ils ne relèvent pas, y a pas de mal faut dire. D’ailleurs à ce sujet, je m’avance du quai et m’astreins à enfin réparer ces coupures désormais hebdomadaires. A vide c’est plus simple. J’y passe encore bien plus d’une demi heure. ça ne vaut sans doute pas une vraie réparation, mais ça tient quand même avec le temps, c’est pas plus voyant, économique( quoique le rouleau de pvc utilisé n’était pas donné), et pratique.
Après ça, je suis paré pour aller recharger. Ce sera Jarcieu direct, mais tranquillement il a dit le chef.
J’y arrive vers midi 30. Emeric est bien occupé au lavage, l’Autriche, le veinard, ça salit bien aussi, mais moins que la GB quand même.
J’ai un complet à prendre dans une semi que je mets à quai. Amoi de la trouver sur le parc par l’immat que Stéphane m’a donnée. Et le mulet qui va avec. On a fait pire comme mulet, c’est l’ancien 106 à Emeric. J’étais monté dans ça, c’est que ça a l’air de bien se conduire aussi, boîte manu, le top.
Un stagiaire à Arthur transvase avec moi le complet Prayon dans ma semi, en laissant une petite place pour une palette que Guy doit ramener en utilitaire.
C’est pas maintenant, alors je suis convié par Arthur pour aller manger, en 30 minutes garanties, avec ses 2 rases moquettes. Ils font la grimace, lundi, ils retournent aux Catalins, déjà que là Arthur les trimballent dans le coffre de sa 206 commerciale pour aller à la cantine Duarig à Jarcieu.
13h30, on n’est pas à la bourre, puisque le chef et Magali s’attable seulement.Donc on se marre un peu mais on est bien revenu pour 14h05 au dépôt.
y a du monde qui est arrivé entre temps, et pas des moindres, Vanvan, à qui je n’avais pas dit bonne année de visu.
Guy ne tarde pas, je pose ma dernière palette et file au lavage, c’est exceptionnellement. Je décrète que c’est bien justifié aujourd’hui. Je tape encore un peu de la discute avec pas mal de collègues, ça monte beaucoup en GB semaine prochaine, alors ça cause de sabots, de coup de cutter, de parking....
15h45, il est largement temps que je me sauve si je veux tenter ma chance de rentrer ce soir, mais ça va être tendu. D’autant plus que mon autre chef arrive arrive à ce moment là. Bon c’est salut vite fait, ça tombe bien, j’ai rien n’a lui raconter de spécial, il ne va pas en GB lui.
Je me lance pas Lyon, je suis fou, mais faut je fasse du gazole sans crochet, à Bron quoi. Pour y arriver, ça va. Le temps de l’adblue, des pré paiement et tout le tintouin,j’arrive à boucler 30. Là il est 17h15, le périf et quasi à l’arrêt. C’est vraiment chaud pour rentrer avant 21h30. ça merdoie encore un peu sur le début d’A42 et après à nous la libertée. Pas de plaque orange, mais du poids, c’est bien aussi.
Je me tire un peu la bourre avec un XF en solo bubu dans les bosses de Langres, mais bon joueur le gars des balkans, il reste parfois derrière en haut des faux plats. tout ceci fait arriver à la sortie Chatenois à 21h28.
A 21h33, fin des opération, ouf. Cool, 3 dodos à la maison à venir!