FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Avril 2020 Partager sur Facebook
  • Photos
  • enfin il se montre
    fini les asperges d'Alsace
    Jonage
    avec un FH on ne traƮne pas
    mode express
  • Vendredi 24 Avril 2020
  •  

    J’ai loupé le lever de soleil sur les chaine des pyrénnées à 7h. Mierda.

    Ouf je ne loupe pas la douche à la place. Je petit déjeune et fais un tour au supermercat Padrosa qui est ouvert avant de payer le parking pour partir à 8h15.

    Il fait beau ce matin sur le Canigou de part et d’autre de la frontière. Enfin donc pour une fois depuis 2 semaines que je squatte le quartier. Mais le gris revient vite après Narbonne, on se croirait déjà en route pour la GB, chose qui va bien finir par arriver. 

    Le beau temps revient plus haut, et la moyenne qui était bonne jusque la sortie Remoulins où j'aperçois un vendeur d’asperges. J’y fais un stop de 5 minutes pour acheter une cagette.  De retour avec un tel colis à la maison demain ça va bicher, surtout avec le Serrano. Puis c’est la traversée de Avignon par sa rocade qui achève de faire chuter les compteurs. Guère de différence avec une période de non confinement sur ce boulevard interminable. J’arrive de l’autre côté chez les drômois amerloc du Pontet à midi 15 avec une mise à quai immédiate et un déchargement tout aussi spontanée. J’ai à peine pu valider une 15 minutes. Ils sont bien sympas ici, déjà fait depuis Andrézieux une fois. Je refile plus loin, sur l’A7 pour boucler la 30 à Mornas et casser la graine.

    Je continue dans la même lignée que ce matin et arrive sans grumeau aucun Jonage à 16h et quelque. Quai assez rapidement après un passage obligatoire des mains au gel et réception d’un masque obligatoire par un gars d’astreinte à cette tâche. Le déchargement ne traine pas mais le pointage sans doute interminable fait bien attendre les papiers plus de 30 minutes.  Peu importe, vu l’heure, je ne vais plus ramasser grand chose, je suis bon pour rentrer au quai 4 à Jarcieu, en 1 bonne heure de route. Je croise Fabien vers Chanas, je vais encore être le dernier qu’on attend j’ai l’impression.  

    Mais malgré tout, dés que j’arrive à 18h40, Stéphane me dit la fierté qu’il éprouve envers moi, je ne fais pas le coup du 21h30 tous les vendredi. Il pourra aller au lit plus tôt comme ça.

    Il y a Julie qui était de retour pour cette semaine passée et qui a concocté ma montée, peu compliquée, heureusement à cette heure.

    Et une bonne troupe de 3 bonhommes menés par Yvan m’attend pour me charger 2 lots UK. A 19h15 je repars, un record de temps minimum passé ici un vendredi.  

    Je passe Lyon à fond, on profite du truc une dernière ou avant dernière fois et arrive au péage de Belleville à 20h50.