Carnet de bord de Avril 2020 | Partager sur Facebook |
Impossible de manquer le réveil avec le raffût occasionné par divers relayeurs ou décroche raccroche sur le matin au péage. Je ne démarre quand même qu’à 6h15.
Pas foule sur l’A6, hormis quelques camions, dont des français, du certaine maison du 38, d’abord Christophe, Ludo, Pete puis plus haut, Aymen le montpelliérain qui s’en rentre de gb. On n’est jamais seul à rentrer le samedi au moins.
Je n’ai pas lavé hier soir, mais une bonne averse vers Beaune se charge de nettoyer un peu le pare brise. Le soleil est retrouvé pour l’arrivée à mon parking 3h15 plus tard. La 45 heures peut démarrer. La 508 démarre après cette longue période de stand by, tant mieux. Comme ça j’ai le temps de passer chez le beau frère pas loin pour le café, avec des pâtés lorrain, mais made in Châtenois, il parait qu’ils ont une recette différente. On ausculte tout ça, faut vraiment chinoiser pour relever la nuance.
Je ne traine pas quand même, on attend après les asperges promises à la maison.