Carnet de bord de Septembre 2020 | Partager sur Facebook |
On dort bien, on est presque réveillé par le frais, les batteries sont à peine remise de la canicule qu’on va déjà les solliciter à nouveau pour le chauffage.
Douche pas terrible et après un peu de patience suite à l’italien devant qui a bien trainé 40 minutes sous la flotte, pénible. Et en plus il allait aller encore à la machine à café tranquille avant de reposer la clé à la caisse. Je l’ai chopé.
J’arrive quand même démarrer à 8h50, pas pour un grand bout, sortie à Dôle Choisey pour aller au gazole à Cora. Là encore, ce fût d’un pratique avec la pompe qui coupe à 118€.. bref, déjà 15 minutes validées.
Re A39 jusque la sortie Sellières et go par le haut Jura pour retrouver le 74. Montaigu Orgelet, Vouglans, et Oyonnax, la bonne ballade quoi. Et l’A40 plus loin, pareil, c’est agréable par ici.
Annemasse c’est moins rigolo, et la route jusque Thonon, non plus, et on voit à peine le Léman et les Alpes suisses. J’arrive vers 13h au 1er de l’autre côté de Thonon, pour vider les palettes de Rayleigh, ça ne traine pas, je boucle quand même 30 en cassant une graine vite fait. L’autre est juste après, à Publier, près de l’usine Evian. Le beau frère charge là bas, il m’a expliqué pour éviter une hauteur limité pour rejoindre la papeterie où je vais, juste près de Evian. Mais il a chargé tellement vite qu’on se loupe de peu. Moi à la papet, ça ne se passe pas pareil, j’y ai passé 1h pour la caisse de 450 kgs du Port de Lille. Entre le gardien occupé au téléphone et ses blagues et ceux du magasin général de l’usine qui ne savaient pas où allaient cetre caisse. Je repars de là à 15h bien sonné, le prochain est au sud de Chambéry, je suis encore bien dans le cas de ne pas le vider ce jour, et ils sont injoignables.
Cette fois je coupe par une petite RD pour rejoindre l’A40 qui évite Douvaines, et je tombe derrière Dridri qui se promène un peu ici indépendamment de sa volonté. Il a vidé à Martigny en CH et recharge à Megève, et il est obligé de faire ce grand tour car le passage frontière à la Forclaz est interdit aux PL.
Je trace sur Annecy, Chambéry, ça roule, heureusement. J’arrive tout juste vers 17h au client dans une drôle de ZI à Francin. Le mec va se barrer, ouf, il me vide ses 2 pal de Paddock Wood. J’ai eu chaud sur ce coup. Et vraiment je ne sais pas où j'aurais tanqué dans ses rues bizarres.
ça change la donne, le stress redescend, la suite c’est demain à St Marcellin. La traversée de Grenoble est bien pénible, je perds bien 20 minutes. Je finis par la N532 et me dégotte un petit resto tranquille au pied du Vercors, mangé dehors, le top.