FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Avril 2025 Partager sur Facebook
  • Photos
  • Mardi 1 Avril 2025
  •  

    Repos, enfin repos, ce lundi a été un peu dur. Ce qui s'est passé en Andalousie, reste en Andalousie.

  • Photos
  • Ca bouchonne à Parthenay
    La rocade de Parthenay
    Dernière pause de la journée
  • Mardi 1 Avril 2025
  •  

    Je fais moins le malin ce matin en jetant les sacs dans la voiture. La fête c'est bien, mais ça laisse quelques traces.

    Je suis a 7H00 au dépôt, et je vois bien Valentino seul au milieu du pars, mais je ne vois pas ma remorque. Hier, j'ai bien échangé avec Virgile mais il ne m'a rein écrit sur un changement de programme, seulement que je devais récupéré mes clefs au garage ; la révision du Berliet a été faite. Lionel m'indique que ma remorque est dans le parc  d'à côté. Bizarre, on laisse des châssis trainer pendant des semaines, mais une bâchée, pas plus d'une journée ; ok. 

    On discute un peu, puis il me propose de m'assister pour accrocher ma remorque. A priori, j'ai quelques poches sous les yeux qui l'inquiètent….en fait, à part positionner le tracteur sous la remorque, il fera tout : les flexibles, les béquilles et je ne descendrais pas du camion, juste pour boire le café avec lui dans son petit bureau. Merci Lionel.

    Allez, c'est parti pour une semaine de quatre jours. Direction La Ferrière en Vendée, comme très souvent en début de semaine. Mes trois bobines ont été chargées jeudi par mes soins, et je n'ai pas vérifier si elles étaient toujours là. Pas sérieux, Baloo! Dudu si tu me lis….désolé.

    Je perds un peu de temps dans les travaux sur l'A47 ; la faute à Dam's 42, car il faut un fautif, puis dans Saint Etienne. Idem au rond point de Roanne, où je tombe sur des non réveillés, qui ne savent plus trouver le chemin du bureau, un peu comme l'équipe des soixantenaires à Malaga à la sortie d'un pub, qui ne savEnt plus où est leur hôtel, ni le nom. Tout ressemblance avec des personnages existants ou ayant existé, ne serait que purement fortuite, n'est ce pas. Je suis un peu dans le dur désormais, mais j'arrive tout de même au chalet avant Varennes sur Allier, pour un grand café et une bonne prise d'air frais.

    Ca va de suite mieux après cette pause. Je m'arrêterais vers Nouhant pour une petite salade de carottes râpées et avocat, oui que du light cette semaine. Je ne suis pas monté sur la balance, car j'ai eu pitié d'elle, mais je sens bien que mon jean a rétrécit. Sans doute un lavage avec un peu trop de chaleur. Je ferais une remarque à ma lavandière ce weekend.

    Je trouve que la circulation est plus dense que ces dernières semaines. Dans le contournement de Bellac, je rejoins un convoi avec une gros engin de chantier. Je perdrais encore pas mal de minutes à le suivre jusqu' à la 2 X 2 voies un peu avant Poitiers. Comme je souhaite monter à La Ferrière, full nationale, il me faut un petit 9H40 de route. Les grumeaux : ça suffit. Mais non, à peine Poitiers passé, que c'est le jour de sortie de Mamy avec sa vieille Twingo. Purée 70 km/h dans les bouts droits. C'est le premier avril ou quoi? Ah ben oui, c'est ça.

    Après Cerizay, c'est une déviation pour travaux, puis un tracteur vers la Chataigneraie. Purée, j'ai grillé toutes mes cartouches, et c'est finalement avec 2 mn de dépassement que je me gare devant le client.

    Pierre, notre pisciniste n'est as très loin, mais nous n'avons pas pu nous rejoindre pour casser la croute ensemble, ; dommage, j'aurais eu un mot d'excuses.