Carnet de bord de Aout 2022 | Partager sur Facebook |
A la fin de mes 11, je quitte mon idyllique lieu de villégiature, direction Marignane. Avec mon avion bleu no pb, frérot. Une petite halte à la boulangerie pour un café croissant, et je peux accéder à Véolia, aidé pour celà par un troupeau de cochons wietnamiens (d'après Jambon). Même si la jeune femme n'est pas très sympa, elle est efficace. Elle non plus ne tombe pas sous mon charme, pas de chance au réveil ces derniers temps. Avec un énorme chargeur, je suis chargé en
3 fois de balles de papier recyclés, direction Anneyron.
La montée est sans problème, et c'est sous un soleil beaucoup trop chaud et sur un parking saturé que j'arrive à destination. Sans doute pas loin de 10 chauffeurs sont en attente devant la guérite d'accueil. Il est temps de passer à la bascule, puis au contôle, puis de décharger. Je tombe sur un gars souriant (une première ici) qui me vide très rapidement, si bien qu'une fois la bâche remise et la semie balayée, j'attends bien 5 mn avant de redémarrer. La sorite se passe mieux, car moins de monde, et j'y croise mon patron Alain en pleine discution avec une chauffeure (je n'aime pas le terme chauffeuse!). Quelques minutes d'échanges, sans dire du mal de Dudu, et je reçois consigne d'aller charger à Andrézieux.
Un bouchon s'est formé dans la descente de Vienne, si bien que je sors à Vienne pour une traversée de la ville et reprise de l'A7 à Chasse; pas sûr que j'ai gangé du temps, pas perdu non plus. Bref, un orage m'accueille sur les derniers kms vers Andrézieux; les lyonnais sont toujours mal accueilis ici. Jérémy de chez Duarig est derrière moi. Dans la traversée de sT Etienne, nous avons croisé aussi Emeric. 16 H à quai, j'en repartirais guère avant 17H30.
Il me reste 3H30 à rouler (de mémoire), je suis tendu pour arriver destination, et je ne sais que faire. Tenter le coup, mais je ne sais pas trop si je pourrais trouver une place "convenable" pour la nuit, ou m'arrêter dans un relais avec moins de 50 Kms à faire le lendemain. Et si je rendais visite à Lagaffe dans son Ephad de la semaine à Donzère? Et si je descendais jusqu'à Orange? Tout le trajet j'hésite. J'avoue que même si j'ai pris ma douche à Andrézieux, l'idée de passer une soirée sympa et autour d'une table me plairiat bien ; j'opte donc quand je suis à Montélimar de soritr et de rejoindre Papy Lagaffe. A 20H11, je cloture ma journée; réveillé depuis 3 H du matin, j'en ai un peu ma claque, mais c'est vrais que j'aurais pu descendre plus bas.
Apéro, repas, et dijo en terrasse, le relais de Donzère est bien sympathique mais ce n'est pas l'adresse du siècle. Il a l'avantage d'ouvrir à 4h45, et ca me va bien pour demain.