Carnet de bord de Juin 2024 | Partager sur Facebook |
Je vise d'arriver vers 7H00 ua dépôt afin de pouvoir être déchargé, ranger mes sangles et l'ensemble de mes équerres, puis décrocher tranquillement ma remorque avant d'aller chercher les consignes auprès de Bechir, le resp des chauffeurs la partie container. Ce matin, il manque des caristes à l'appel, et j'ai le sentiment que c'est un peu le bronx!! Quand on voit la liste des transferts à faire, je pense que la journée sera agitée. Ah!! Je ne pourrais donc pas être vider comme je le pensais, mais il faut que je décroche tout de même ma remorque au plus près du hall à tôles, afin qu'elle soit vidée. Je n'aime pas ne pas y assister, surtout pour tous les accessoires, tels que le équerres et protections que je peux mettre sur les fardeaux. J'avertis Béchir, que je préfère ranger mon matos moi même, mais attention à ne rien laisser trainer. Il commence à me connaitre, j'éspère que le message passera. J'envoie un SMS à Cindy.
Mon squelette est chargé par Jean Marc, et j'hérite donc d'un container rose. Voyons donc la vie de cette couleur. Déjà, le soleil est vraiment de retour, il fait presque chaud à 8H00.
Un petit voyage jusqu'à SQF, où je loupe l'entrée du client, et je suis point pour une belle manoeuvre afin de me sortir de l'impasse, au sens propre....
J'ai un quai de suite, mais je vois bien que les gars sur place n'ont pas eu la livraison du courage ce matin. Ils sont plutôt en mode "vaz y cool".
J'attauque par me faire couler un café, puis c'est rangement de la cabine et dépoussièrage. Portes grand ouvertes, je fait l'intérieur de mes portes. Les deux premières heures passent ainsi. C'est l'intérêt du container : tu ne peux pas avoir une cabine sale et mal rangée ; ce n'est pas possible.
Vers 11H30, je passe à table, et suis même content de laisser quelques miettes glisser au sol ; chouette du boulot pour les prochaines minutes.
Juste avant les trois heures "légaels", je suis enfin vide. Sincèrement, je n'ai pas compris pourquoi autant de temps. Les matériels étaeint sur des palettes, oui mais non EUR. Et pour vider mon container, ils rentraient une palette EUR, pour transférer le matériel dessus!!! Alors, ok, ils ont le "droit" de mobiliser le container trois heures ; mais si ils déchargeaint tout simplement, puis une fois à quai, ils pouraient réaliser le transfert sur les bonnes palettes, non? Enfin.
Je pars déposer mon container au PEH, chez Arnal, puis je passe prendre un nouveau container vide chez Star Container. Star, c'est que le nom, on est bien d'accord. J'y suis arrivé en plaine sieste, et j'ai dû attendre le réveil....si si.
Retour au dépôt, pour déposer mon container et hériter d'un "chargé" à vider demain à St Vulbas, et un RDV à 5H45. Vu l(heure de la journée, je n'ai pas trop envie d'y monter ce soir, mais j'hésite un peu Alors pour m'aider dans la réflexion, je pars ranger mes affaires dans ma taut, puisque j'ai appris par Jonathan, qu'elle était vide, puisque c'est lui qui s'en ai chargé. Ca me rassure un peu, ce n'est pas qu'il soit très soigneux, mais ce n'est pas le plus brutal. Et ça va, toutes les sangles sont d'un côté, et les équerres sont au tablier.
Je range, et pendant ce temps là, ma femme me textote ; pas mal de fraises au jardin. Bon, ben, mon choix est fait : go maison.