Carnet de bord de Janvier 2024 | Partager sur Facebook |
On ne s'affole pas ce matin ; logiquement, je n'ai RDV qu'à 10H00 à Andrézieux. J'ai décidé d'y aller bien avant 9h00, et de me présenter au dépôt qui est référencé. On ne s'occupe pas de l'adresse ni du nom de la zone industrielle. Et bonne pioche, c'est bien ici. Peu de camion à quai, alors, on m'accepte immédiatement. Cool ça, non. En 20/30 mn c'est réglé, alors go direction le dépôt de Loire pour y charger mes bobines.
Je ne rencontrerais aucun chauffeur au dépôt, si bien que je suis chargé immédiatement. Je fais décaller le seconde bobine sur les essieux de la remorque. Passage au stand pour un complément de GO à la hauteur de 250 l ; on ne sait jamais. En fait, je ne remplis que le réservoir de droite. Cindy m'indique que nous sommes trois à monter sur Montaigu, mais mes collègues n'ont qu'une seule bobine chacun, mais très lourde.
Je file dès les formalités remplies. Les températures sont plutôt clémentes sur le secteur, et parfois le ciel est mêm ensoleillé, sauf sur le Roannais, où des nappes de brouillard font leur apparition.
Je stope pour mes 45 à l'aire de l'Allier, et je vois le camion de Najib, rideaux tirés. En sortant de l'aire, un Renault de la boite lancé sur la file de gauche me dépasse. C'est Olivier. On se suit jusque sur la RCEA, mais après il fait parler le couple du Renault dans les faux plats. J'ai pourtant 2 T de moins et dans chaque faux plats, il me dépose.
A Bellac, direction Confolens, puis Pressac, Civray, Melle, et en 9H30, je peux me poser au sud de Niort, à quelques enjambées de mon premier client.
Une fois posé, je regarde mon programme qui est arrivé. Oulah, trois ramasses pour descendre, et toutes dans des petites zones industrielles. Trois ramasses entre le 85, 37 et 36.