Carnet de bord de Mars 2025 | Partager sur Facebook |
La nuit é été très bonne, ainsi que la soirée. Avec Jean, nous étions à table avec deux chauffeurs, et nous n'avons pas parlé camion, mais d'Espagne.
Jean vient me rejoindre alors que je suis bien en avance sur l'heure que nous avions décidé hier soir. On se descend un café supplémentaire, histoire de passer le temps. Le relais du Cheval Blanc à Bournezeau est une bonne adresse : parking hyper calme, patrons super sympas, et plutôt bien mangé avec trois plats au choix. Moi, ca me va. De plus dans le village, il est un petite supérette à 500/600 m du parking ; intéressant pour compléter le frigo en cours de semaine.
Allez, c'est parti, direction Ste Hermine par la nationale. A la base, nous avions RDV en fin de matinée tous les deux. A l'arrivée chez le client, nous n'apercevons qu'un seul camion en zone de chargement. Mais est ce que la came est réellement prête? Super, c'est prêt, et pas de remarque désobligeante sur notre heure d'arrivée. Toujours le sourire ici, c'est super, ne changez rien. Et toujours, la charmante cariste avec son beau sourire. Et toujours aussi rapide, car bien avant 9H00, nous franchissons le portail de sortie. Pas belle la vie.
Jean ne connaissait pas la route Niort Melle, Confolens, Bellac. Et il la trouve sympa à rouler. Comme il trouve le Ford très nerveux et puissant. Il a roulé en Volvo avant d'arriver chez nous, et il pense que l'Américo-Turc marche vraiment bien. Rassurez vous, il lui trouve déjà de gros défaut, et globalement les défauts que je lui trouvais, moi aussi.
Nous coupons à l'aire de la Vache rouge (c'est le nom que je lui donne), à proximité de Pressac. Un petit quart d'heure, histoire de marcher un peu, puis nous filerons au dépôt de Saint Pourçain, pour compléter notre coupure. Je présente les installations à Jean et les zones pour garer le soir.
Je livre Portes les Valence, Jean Villefranche sur Saône, ce qui fait que nous nous séparons après Roanne.
La journée a été bien tranquille, et je stoppe au dépôt de Veauche. A la base, je visais le relais d'Albon, mais j'étais limite en heure, et pourquoi se presser, alors que mon programme ne sera pas tendu demain.