Carnet de bord de Aout 2024 | Partager sur Facebook |
J'ai mal dormi bien sûr. Je craignais qu'au lever le genou soit vraiment raide. J'ai du mal à le plier, c'est clair et il est bien enflé. Deux hématomes sont apparus, sur le côté du genou, ainsi que sur la partie faciale de la cuisse.
Je suis tout de même à l'heure du RDV avec Olivier. Je lui prends sa remorque et il me glisse "ne la mets pas parterre". La route vers SQF passe aussi bien qu'hier, et c'est avec plus d'une heure d'avance que j'arrive sur place, où, j'apprendrais que je serais prioritaire. AH bon, personne chez nous était au courant ; je suis donc à quai dans les minutes qui suivent, après une mise à quai à contre main. Quinze minutes plus tard, je pars faire signer mes papiers. Je prendrais le temps d'un pdj au camion, avant de reprendre la route.
Au dépôt, je n'attelle pas directement, et je pars acheter des compresses, car on était un peu juste à la maison.
L'heure du repas sonne, puis celle de la sieste. Je ne dors pas mais je décompresse un peu dans la couchette. La déclaration d'accident est faite, c'est bon, on passe à autre chose. Désormais, je referais ce que j'ai toujours fait en décrochant : un coup de le bouton poussoir pour bloquer les freins.
Vers 14H30, alors que j'étais en train de placer des poteaux d'arrêt dans ma fosse, Véro m'appelle : l'astreinte est déclenchée. Go SQF pour le chargement. Je n'en sais pas plus à mon départ. Dans la traversée de Vienne, Véro m'envoie un SMS avec le numéro de commande, et la destination : Montbartier F82. Je n'ai aucune idée où cela se trouve, on verra plus tard. C'est une plate forme, alors je ne doute pas un instant qu'elle soit proche de Montauban, et sur le route de Toulouse.
Comme ce matin, mais là ca se comprend mieux, je suis prioritaire. Quai immédiat, et tout comme ce matin, c'est torché en quinze minutes. Entre temps, j'ai regardé où se trouvait ma destination, et c'est bien au sud de Montauban. Je prendrais donc cette bonne N88. Le RDV est fixé à 13H00 demain, c'est bien cool.
Ce qui est moins cool, c'est les deux accidents sur l'A47 à la hauteur du CC Givors qui se sont produits quelques minutes avant que j'arrive sur Communay. Je couperais 45 mn dans la descente et perdrais plus d'une heure trente. Dès que les véhicules sont dégagés, on passe à la régule devant le CC. Je visais Bonsecours, au pire Mende ce soir, mais je finis par me rabattre à la Fourchette Auvergnate ; il me restait moins d'une heure, et j'en avais ma claque. D'ici, je devrais passer en moins de 6h00.