FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Mars 2025 Partager sur Facebook
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  • Le jour se lève sur le nord de la Bourgogne
    Réau, le paradis des lapins
    Posé pour la nuit. Déja?
  • Lundi 24 Mars 2025
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    Hier, j'ai fêté mes trois ans de permis SPL. Et oui, déjà trois ans

    Après un bon weekend où j'ai passé pas mal de temps chez ma seconde fille pour fignoler son nouvel appartement, il est temps de renfiler le bleu de chauffe. Je déteste, mais je vous l'ai déjà dit, démarrer vers 1 ou 2h00 du matin ; qui plus est pour monter sur la région parisienne, et la Courneuve pour être très précis.

    A 2H20, je lance Valentino, qui lui aussi, serait bien resté au lit. Pas de chance pour traverser Givors, je me prends tous les feux, et au rond point, je tombe sur celui qui ne sait pas où il va. 

    C'est bien tranquille sur le contournement de Lyon et le début de l'A6, trop tranquille? Même à la descente, il y a peu de circulation :fin de mois, et activité en baisse?

    Je profit du passage au péage pour envoyer un SMS à Nico72, qui lui aussi a pris la route de bonne heure. On finit par se téléphoner et in restera plus d'une heure à parler de tout et de rien, mais surtout d'une feignasse de sudiste….il se reconnaitra, hi hi.

    Je prends un grand café à l'aire en haut du Bessey ; juste un petit quart d'heure, histoire de prendre l'air, très frais sur le secteur. Au redémarrage, pas plus de circulation. Ma femme me contacte, comme très souvent lorsque je pars dans la nuit. Elle est toujours en souci. Lors de ma prochaine pause, je filerais dans la couchette, sans trouver le sommeil.

    L'A6 à l'entrée de la région parisienne est bien écarlate, mais de mon côté, par la Francilienne, ca passe bien, même plutôt bien. Vers Montereau, je crois Yaya, qui a chargé dans l'Oise. Il s'en va sur Villette d'Anthon. Pour ma part, j'arrive avec 7H00 de volant sur le parking du client. Ce matin, je passerais une heure quarante cinq à attendre mon tour, alors que j'étais à l'heure. Putain, se lever à 1H30, pour respecter ses engagements, et attendre autant….

    On me vide dans une zone pas prévu à ce type de job, en plein passage de camion, mais au moins, on me vide. Après je passe en zone de chargement, et ce sera un peu plus long, car le service qualité du site vient assister au chargement. En effet, pas de bol pour moi, je vide sur une plate forme entièrement automatisé qui vient d'ouvrir, et les palettes doivent être au cordeau. Elle est franchement sympathique cette jeune femme de la qualité, mais elle craint que chaque petit bout de bois soient contraignants. Si c'est ça ma p'tite dame, c'est pas gagné. Elle finit par lâcher un peu de leste. Les caristes en rigolaient, moi aussi au début. Après vingt minutes, un peu moins.

    Pour repartir, je reprends le même chemin qu'à l'aller. Avec 8H30 de volant, je m'arrête au parking sécurisé de Réau. Je file direct dans la couchette, pour un bon somme de trente minutes.