FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Octobre 2024 Partager sur Facebook
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  • Au petit matin
    Le bordel pour sortir de cette "impasse"
    La campagne Nivernaise
    Au soleil
  • Mardi 29 Octobre 2024
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    Hier, j'ai hésité pour me garer. Je me suis garé devant une imprimerie, et elle semblait fermée (j'entends par là : plus d'activité). Bien m'en a pris puisqu' à partir de 5h00, les gars arrivent et viennent se garer. Je suis bien sur la route… Enfin, bien, ce matin, Valentino me joue des tours. Il ne démarre pas. J'ai beau appuyer sur le bouton "START / STOP" : rien, nada. Bien entendu, j'utile le coupe circuit pour réinitialiser le système : rien n'y fait. Je finis par laisser le coupe circuit plus de 2 ou 3 mn, et eurêka, ça démarre. Notre mécano m'apprendra dans la matinée que quelques T ont des problèmes avec les boutons et qu'il faut prévoir de passer en concession…..à suivre.

    Mon client n'ouvre qu'à 8H00, et j'ai pour bien 2H15 de route encore ce matin, ce qui me fait partir à 5h40. J'avais prévu un départ à 5H30, mais les soucis électriques, voir électronique, ont occasionné ce retard.

    Toujours un peu de brouillard ce matin, je suis donc assez prudent, car même si j'ai déjà fait cette route, de nuit, ça change un peu, et de plus, les petites boites grises pullulent un peu le long. 

    Une petite déviation, la première de la journée, me fera à nouveau qq minutes, et c'est donc à 8H05, que je tire le frein de parc, derrière deux camions déjà là. Camions espagnols, je suis certains qu'ils étaient là hier soir. La personne qui s'occupent de décharger les bobines vient à me rencontre et m'annonce qu'il faudra attendre bien une heure. Alors, pause café / camion, avant d'aller retirer mon sanglage. 

    Vers 9H30, j'ai enfin accès au hall. En moins de dix minutes, c'est torché! 

    Lorsque j'arrive dans la zone mi commerciale, mi industrielle, je prends ma route habituelle, en suivant un camion. Je ne remarque rien, mais la route est "normalement" coupée à 500 m. Mais le panneau, on le verra en sortant trente minutes plus tard, est derrière, un massif d'arbustes, au lieu d'être sur la chaussée, ou sur le trottoir. On se retrouve huit camions à s'être engagés, avec aucune possibilité de faire demi tour, et avec beaucoup d'automobilistes. Une vraie galère. Moi qui suis vide, j'entre en marche arrière dans une boite (j'avais demandé l'autorisation), en expliquant que j'étais vide, car ils craignaient les dégâts ; c'était fin, mais c'est passé. En repartant, j'ai mis le panneau sur la route, empêchant les camions de s'y aventurer, mais laissant libre accès au véhicules plus léger.

    Sur ce, c'est avec 2H30 de retard que je m'inscris. Mais franchement, cette base, citons la ; ID Logistics, les gars y sont super serviables et arrangeant. J'attendrais bien une petite heure, mais rien à redire, puisque un fois à quai, en 20 mn, c'est réglé.

    Alors go Satolas, enfin en direction, car je n'aurais pas assez d'heures pour atteindre ma destination dès ce soir. 

    Nouvelle déviation juste avant de rejoindre l'A77, que je trouve assez chargée, autoroute où habituellement la circulation n'est pas très dense. Je couperais sur une des aires avant Nevers, me semble t-il, puis, je finis mes 4H30 à Lapalisse. J'aurais aimé aller jusqu'à Roanne, mais reprendre le volant après une coupure pour 45 mn, ce n'est pas très intéressant, surtout que je clôture tout de même ma journée en moins de treize heures ; on va pouvoir placer une onze ce soir.