Carnet de bord de Mars 2023 | Partager sur Facebook |
Bien le bonjour à tous
Me revoilà sur les routes après mon épisode en regional chez COQUELLE, j'ai repris un volant en ZL chez COMBRONDE, au départ de Loire sur Rhone.
Je reprends donc ma plume électronique pour vous faire partager mon quotidien.
J'ai attaqué le 20 février par un A/R avec un chauffeur sur Marseille, puis le lendemain, j'ai été mis dans le grand bain.
Voilà désormais 3 semaines que je roule donc.
Ce lundi, c'est un départ matinal, car j'ai un RDV sur le secteur Bordelais à 13H30. Etant à 30 mn du dépôt, je suis debout vers 3h45, et sors du parking, légèrement avant 5 H. Je croise Eric, un chauffeur qui roule aussi en bâché comme moi. Nopus sommes 17 de mémoire à rouler en bâché depuis ce dépôt, dont quelques affrétés, et 25 en containers, dont quelques un affrété aussi.
Il me faut un peu moins d'un quart d'heures pour rejoindre l'A47, bien calme à cette heure. Philippe le resp d'exploitation m'a dit "full autoroute" au regard du programme de la journée. Donc acte. Je dois recharger au sud ouest de Bordeaux, et j'aimerais aussi bien sortir de la ville et prendre la direction d'Angoulème dès ce soir même. En effet, mon chargement est pour le secteur de Montbéliard.
L'autoroute déroule tranquillement, je suis chargé pas trop lourd, mais tout de même 22 T. Avec le DAF, je ne suis pas averti lorsque je suis en sur-vitesse, ou du moins il m'avertit quand c'est trop tard. Contrairement au Renault, où l'on a environ 15 s pour se mettre en règle. Si bien que dans quelques faux plats, je me retrouve avec 2 excès inscrits.
Je stope à l'aire de repos de la Corrèze, pour soulager ma vessie, bien entendu, mais aussi pour me caféiner. Je profite aussi pour réaliser des étirements car ce weekend, j'ai eu très mal au dos, et j'étais quasi bloqué. Je craints pour cette semaine, je la joue donc prudent.
Le compteur est remis à zéro. L'A80 n'est pas très chargée non plus, et au grè des pauses de chacun, on joue au chat et à la souris avec un LTR et un Colombet, hein...
En approchant de Bordeaux, et de ce côté rien de Graves sur MAPS, si bien que j'arrive à 13 h 15 chez mon dépositaire en carrelage. Il n'ouvre qu'à 13H30, et j'ai bien fait de venir y stationner, car un Foulon arrive quelques minutes après moi. A 13H30, des camionnettes d'artisan arrivent dans tous les sens ; il est impossible pour nous PL de bouger et de toute façon, les clients sont servis en premier. Je devrais bouger le camion une fois afin de pouvoir être vider du côté droit. Le chauffeur de chez Foulon est un "délocalisé" et roule pour Foulon depuis 2014, et tire sa révérence à 64 ans, à la fin de l'année. On échange un peu et me dit qu'il coupera sans doute "au pressoir" en direction d'Angoulème et que c'est une très bonne adresse.
1H30 après, je peux prendre la direction de mon chargement à moins de 15 kms de là, plus à l'ouest. La rocade bordelaise est nickel, je trouve difficlement le client, car il y a 4 sites sur des communes avoisinnantes. Avec l'aide de Cindy, ma charmante dispatch, je repère le lcient, mais je préfère aller voir à pied, car situé dans une sorte d'impasse.
J'y entre ne marche avant, car je pourrais manoeuvrer dans la cour, c'est étroit mais ça devrait le faire. Personnel super sympa. Je charge des radars de chantiers qui ont souffert grâce à de mauvaises rencontres. Ils partent pour une cure de jouvance. Le chargement est assez rapide, deux sangles sur chacun d'eux et sur les palettes d'accessoires. Moins de 45 s plus tard, je suis sur la rocade, o^je donnerais par deux fois un coup de frein.
Vers 17 H, le frein à main est tiré Près de 650 Kms pour 12 h et des brouettes d'amplitude. Mieux que sur le plan.
Le pressoir s'avèrera une excellente adresse, et j'y retrouve le chauffeur de chez Foulon, aisni que 3 collègues de Mauve mais de la Mayenne. Le seul hic du pressoir est sa proximité avec la N10 qui roule énormément la nuit!!!.
La nuit n'a pas été très bonne, alors je fait l'ouverture à 5h30. J'ai pris un pdj avant au camion, puisque réveillé, mais je prednrais tout de même un autre grand café au relais. Vers 6H20, je peux sortir du parking (oui, j'atais bloqué par un camion qui devait partir à 6H). Contrairement à hier matin, ici il y a du monde, alors je me cale dans le flot. Cindy m'avait annoncé que j'étais en ADR, mais en fait je suis en quantité limitée. Ce n'est pas que celà change grand chose pour la vitesse sur la nationale, mais celà évite peut être certaines interdictions.
Je monte, ou du mions traverse le France d'ouest en est, mar la route des Galiciens (d'ailleurs nombreux). Angoulème, Confolens, Bellac, Guéret. Au niveau de Guéret, une 3008 de la gendarmerie me double en mattant les gyros à ma hauteur, se place devant moi et mets son clignotant de droite. Merde qu'est ce que j'ai fait. Je mets mon cligotant et ralentit en même temps qu'eux. Le chauffeur de la 3008 me fait signe "non" avec sa main et de continuer.....ouf. En fait, il se mette derrière un Patinter qui roule à très basse vitesse car il a éclaté une roue sur sa remorque. J'étais serein, mais limite...
Un stop à l'aire des verités de Montmarrault. Je voulais prednre un café en cabine, mais le fusible de l'allume cigare 24 V en a décidé autrement. Ce sera café à la station. J'avais fait 15, chépluou, je ne fais donc que 30 ici. Je vois que notre ami Greg le frogoriste est dans les environs, je 'appelle donc. Pour rappel, Greg est mon premier FDR que j'ai pu rencontrer, il y bien longtemps. Je roulais alors en costard-cravate et en voiture allemande, mais avec la marque du peuple.
Je n'ai qu'à rouler ce jour, car ma livraison n'est prévue que demain. J'appelle tout de même le client qui me confirme qu'au delà de 16H30, woualouh, et ouverture 8H20 le matin. Depuis ce matin, j'alterne entre essuie glace, feux de route et lunettes de soleil. C'est chiant....Depuis que j'ai rejoint la RCEA, le traffic est bien calme.
Une pause casse croute au rond point du Creusot ; il y a bien longtemps que je n'y étais pas passé. Je casse la gueule à un avocat (avec un peu de sel : j'adore ça, une tomate, danette au caramel, et un café à la station. J'ai voulu changé le fusible, mais il n'a pas cramé!! J'ai donc supposé que je n'étais pas sur le bon fusible. On verra ça plus tard.
Chaolon sud, pour la direction Dole-Tavaux. Contrôle des 3.5 T des pays de l'est dans un rond point. Je me faisais la réflexion dans la journée "je trouve qu'il y a moins de 3.5 T que l'année dernière. Et vous quand pensez vous?
A Dole, je prends l'A36. Douche à l'aire de Dole Chepaquoi, les 30 sont faites. J'irais couper chez Pierrette à 15 kms du client demain. La coupure sera bonne.
Nuit correcte, et surtout bien moins bruyante que la nuit précédente. Hier soir, le client m'a annoncé "réception à partir de 8h20" ; je quitte le parking 35/40 mn avant. Peu de ralentissments, et chose incroyable sur un passage de 2 à 1 voies avant d'accéder à la voie rapide, personne ne gruge, cela ralementit et chacun trouve sa place natuellement, et c'est d'un fluide : à montrer chez tous les grands nerveux du matin.
Client facile à trouver. Hier soir, j'avais hésité à couper dans la ZI, mais les images MAPS ne sont très récentes (ZI en construction), et j'avais craint de ne pouvoir m'y garer. C'est bon à savoir, il y a qq places, pas grand chose, mais ca peut dépanner. Je m'installe en marche arrière dans la cour du client et décroche mes deux grands malades et mon grand brulé. A 9H00 les papiers sont faits, on peut se rendre dans la scierie pour charger du bois pour le port de Villefranche en foulée. Personnel sympa, et la scierie se trouve à vol d'oiseaux très proche d'une de mes dernières affaires en éoliennes, avec un parc mis en service sans doute au début de l'année 2020. Mon sanglage est certifié par Chris42 (2 sangles qui tirent d'un côté, et la troisième dans l'autre sens, je peux donc rouler tranquille sur la capitale des Gaulles. Non stop, jusqu'à Villefranche où je craignais quelques mouvements d'humeur ; mais Villefranche n'est pas Marseille ou PSL. Le passage en bascule me confirme que j'étais bien limite sur le poids (pour ne pas dire autre chose) ; je l'avais bien remarqué avec le ralentisseur sur la première descente en rejoignant l'autoroute.
Vidé en 30 mn, tout bien. Je n'enroule pas les sangles car je préfère traverser Lyon rapidement pour pouvoir charger à notre dépôt des tôles pour Marignane. Un peu plus d'une heure plus tard, je retouche aux bâches (4° fois de la journée.....). Chargement rapide par Gaby qui m'aide à tirer mes sangles. Photos prises, je peux prendre la direction du sud. Je rejoins l'A7 en traversant le Rhone à Vienne, c'est encore la bonne heure. Au regard de mon programme de demain, je décide de ne rouler que 2 h ce soir, et me pose à "Mon relais" à Donzère. A 19H45, il reste encore deux places au fond, les places les plus tranquille.
Pour assurer d'être vers 8 H à Marignane, je démarre vers 6H00 en rejoignant l'A7 au sud de Piolenc. Une petite frayeur avant d'arriver au péage de Lançon de Provence, car qq manifestants s'y installent, mais je ne perdrais que qq minutes. Une fois à la sortie de l'A7, c'est pénible que de rejoindre Marignane : entre les ronds points et les petits centres villes à traverser, c'est un peu stressant. Le Marseillais n 'étant pas terès à l'aise avec le code de la route, ni avec les bonnes manières, et sans doute pas heureux d'aller bosser.
A 8h05, je franchis le portail du client, et suis accueilli par une charmante brune. A remplissage du protocole de sécurité, je peux me rendre dans leur hall pour vider. Vidage au pont, c'est d'un cool, surtout que mon toit fonctionne parfaitement. Les deux zozos qui me vident sont bien sympas, mais pas des plus nerveux, et profitent des instants passés dans le remorque pour réellment tirer au flan. C'est simple pour me vider, 3 piles de tôles, ils ont fait 4 voyages au pont, et durant ce temps là, j'ai pu enrouler mes 10 sangles. Je reste sous le hall pour tout ranger.
Direction Salon de Provence pour 4 palettes pour Carrefour Supply Chain, entrepôt surgelé. Les confrères frigoristes sur le parking ont les yeux qui leur sortent des orbites en me voyant avec mon bâché ; l'un d'eux me signalant que le sec "ce n'est pas là". Oui, mais non, je suis bien attendu ici. Ils font franchement la gueule quand 10 mn après mon arrivée je franchis le portail d'accès. Idem, sur les quais. Je vide moi même afin de gagner du temps, et il est l'heure de ma rendre dans le secteur d'Avingnon pour un complet de 33 palettes pour SQF, foulée. Il me reste 1H10 à rouler. 1H03 parès, je suis garé chez mon client. Je pars m'inscrire en espérant pouvoir poser une 30 et profiter aussi pour remplir un peu mon estomac qui crie famine. Tout bien, 40 mn après coup de tél, je peux entrer. Pas belle la vie et en avance par rapport à mon heure de RDV.
On débâche des deux côtés. Rapide à charer, surtout avec 2 caristes bien adroits.
Pour rejoindre l'A7 vers Vedène, j'ai à peine de mémoire 12 kms. Je mettrais plus de 30 mn pour arriver au péage. Je pense qu'il y a 15 ronds points à passer, tous plus petits les uns que les autres, et des quartier résidentiels, et des dos d'âne.....50 sans doute ou pas loin...une horreur, surtout chargé lourd. La boite à vitesses du Daf ne me remercie pas. Remontée ventée sur la vallée du Rhone par A7 jusqu'au centre vielle de Vienne, puis je bifurque en direction en direction de Diemoz afin d'éviter le rush de l'A46 de fin d'après midi. J'arrive avec pr_s de 45 mn d'avance sur mon heure de RDV, mais j'ai un quai immédiatement et suis déchargé très rapidemet, si bien que je rejoins la Maison Blanche vers 18h30 en ne faisint que la traversée de BJ par l'A43. Je ferais connaissance d'un chauffeur "DUPOUX" dans la soirée. La patronne avertit les chauffeurs que dans la semaine il y a eu des problèmes de vol de GO et de marchandises. Etant vide, avant de rentrer dans la cabine, j'ouvre une de mes portes, sait-on jamais.
A 3h30, klaxon, cris...réveil un peu bruque tout de même. Vol de GO sur un camion, tentative de vol d'huile hydraulique sur un autre. Une bonne animation dont tout le monde se serait bien passé. Difficile de retrouver le sommeil après.
Mission ce matin, récolter des déchets sur le pôle technologique de Crolles. Mais non, arrivé sur place, il y a eu confusion de la part de notre donneur d'ordre. On tergiverse un peu, puis j'ai ordre de rejoindre un collègue du 63 qui remonte du 84 avec une palette pour Tignieu, qu'il ne pourra aller vider ou alors il bloquera vendredi soir. Par contre, j'ai moi même un impératif à Vourles avant 15h30. Je sens mal l'affaire car le collègue ne pourra être sur Lyon guère avant 11h.
Le client de Tignieu fermant entre 12 et 13h30....Les emmmerdes aiment sont assez solidaires, la palette fait 2.5 m, tout facile à transférer! Mions, Heyrieux, SQF, Tignieu, où je me point dans une usine de recyclage bien crade, le portail est ouvert, mais l'accès est bien hard. J'y accède en marche arrière, près à repartir. Je tente de trouver âme qui vive. Ils sont à la soupe, mais par de pb, un gars se propose de me vide; "tu vas pas attendre 45 mn pour une palette, elle est pour notre patron". Débâchage, vidage remerciache, départ. Ouf, Vourles à 14h45 à quai. A l'approche de Lyon, certains ont pu remarquer que leur téléphone n'avait pas de réseau ; j'apprendrais en soirée, que les réseaux ont été coupés volontairement..grgr.
Il me reste à rejoindre le dépôt pour charger mes toles pour le 44. Je conserve mes 13 palettes de Vourles pour l'ouest nantais. Malheuresement, je suis chargé "à lenvers". Décision prise : rentres, on avise lundi dans la journée.
A 17 H, je sors la catte du tachy.
Un beau tour cette semaine encore, légèrement moins kilométrée que la semaine précédente, mais avec 2900 kms tout de même.
Désolé pour le nombre de photo. J'adore la dent de Crolles, en me jurant de la faire, et j'étais idéalement placé. Mais, je suis une buse en photo.
Bon week end à tous.
Bonjour à tous,
Après un weekend ardéchois, à nettoyer le petit jardin, débroussailer les berges et nettoyer la maison, il est temps de reprendre la volant ce lundi matin
Ce jour, je n'ai qu'à rouler. Etant réveillé assez tôt, je décide de me lever afin de lancer deux sangles sur mon lot de palettes chargées à l'arrière de la remorque. Je ne croise personne au dépôt, je lâche donc le frein à main à 5h50. Au fait, ma direction est le pays nantais pour mardi matin : Carquefou à 6H00 pour mes tôles, puis 8H30 pour mes palettes. Je monte un maximum par la nationale N7, bifurcation via St Pourçain car je le peux, moi! Sur Montmarrault, il est temps de faire une pause café. Une 15 passe rapidement, un bout de l'A71 jusqu'à Montluçon. La route est bien tranquille depuis le départ, et une fois la RCEA atteinte, c'est limite désertique.
A l'aire de Parsac, je coupe 30 afin de remettre le compteur à zéro. Je range mes affaires dans les coffres et la coupure est ainsi faite. Bellac, puis Poitiers. Si ma mémoire est bonne, je coupe avant Parthenay pour me restaurer avec un avocat et des dates, biscuit de la mère Poulard avec mon petit café, et zou. Partenay, Bressuire. Je regarde sur Truckfly où je pourrais couper. Tim a coupé aux prairies à Cholet. Au début, je vise ce resto, puis je vois qu'il existe un resto le long de la nationale juste après Cholet. Je gagne 15 mn pour demain, et je peux l'atteindre sans dépasser mes 9H00. 8H49 de route, 645 Kms, tout bien quoi.
J'ai croisé Chouchen qui m'a snobé; il roulait avec 3 camions en bungalow.
Je contrôle mes sangles ; rien n'est détendu, rien n'a bougé.
Je suis parti avec la crève, je suis bien cassé en arrivant au parking. Après mon contrôle, je glisse dans la couchette. Je m'endors assez facilement, mais je serais réveillé 20/30 mn plus tard par mon voisin !! Dommage.
Je ne ferais pas de vieux os ce soir. Sous la douche, j'avais la tremblote. Un dolipran, puis au lit.
Nuit correcte, car le parking est assez éloigné de la nationale.
Je n'ai que 40 kms maxi à faire pour me rendre à Carquefou, mais je libère les chevaux à 5H05. Je trouve le client facilement. Malgré mon RDV à 6H00, je ne serais pris en charge guère avant 6h30. Je rentre pour être déchargé au pont, puis non, on déchargera par les côtés, donc je ressors du hall....
Ca va tout de même assez vite pour me vider. Je n'enroule pas toutes les sangles, mais j'en fait bien la moitié. Je ne veux pas risquer d'arriver en retard à la plate forme logistique Leclerc. J'avais RDV à 8H30, et en fait, c'est l'heure à laquelle j'en pars. Tout bien jusque là, mais c'est après que celà se gâte. Je mettrais 1H30 pour faire les 50 kms qui me sépare de Puceul, où je recharge des grands bigs bags de plastique broyé pour le 71.
Client facile à trouver, mais son entrée est assez étroite et on tourne autour du site pour se garer dans une cour. Il y a des bigs bags dans tous les sens. Comme le dit Pierre, j'ai rien touché : un miracle (j'ai le droit de te citer Pierrot?). A midi, je peux sortir. Je galère bien 15 mn pour refermer les portes. La cour du client n'était pas parfaite et une fois chargé lourd et jusqu'aux portes, c'est bien galère pour que tout se raligne. En avançant, reculant, on joue de la suspension, on y arrive. Mais putain, me suis fait chier.
Il n'y a plus qu'à rouler désormais. Je prends ma même route. Je suis plus lourd qu'à l'aller, et j'y fais cool dans les ronds points. Malgré les sangles sur les bigs bags, je n'aime pas ce type de chargement, car le c'est trop mou, et les sangles se détendent rapidement.
RAS sur le trajet. Quelques pauses réglementaires et sanitaires plus tard, je pense couper à nouveau à Montmarrault, mais je reçois un appel de Jean Paul, un chauffeur de mon dépôt que je ne connais pas encore et qui va couper au relais des Tartasses au nord de Montamarault.Parait que c'est top, ma foi, on va essayer. Malheuresement, je grillerais pour 5 mn, une 10. Au regard de mon programme pour le reste de la semaine, celà ne devrait pas être un souci, enfin espérons.
C'est d'un calme là bas. Je conseille ce resto; il n'y a pas de choix dans le menu, mais c'est vraiment top.
C'est le bagne... encore un départ après 5h00, bon là, c'est à 5H50. Je suis totalement à la ramasse ce matin. Si bien que je ne verrais pas Dedieu au péage des Deux Chaises. Bon, il fait encore un peu nuit aussi, ok.
A la bifurcation A71/RCEA, on se prend le soleil en pleine face, c'est franchement impressionnant. Dires qu'il y a qq temps c'était une voie de chaque côté... on comprend mieux certaines choses. Je loupe l'entrée du client, un petit tour du rond point, puis passage en bascule. Personnel très sympa. Bon, il faut débâcher des deux côtés, c'est un bon réveil musculaire. A 9H30, je prends la porte de sortie, après avoir enrouler mes 12 sangles.
De là, ma mission suivante est de me rendre à Dagneux. A Chalon, je prends la N6 jusqu'à Macon ; je n'ai RDV qu'à 13H.J'y serais à 12H30, Mais je ne serais à quai qu'à 13h30, pour une heure de chargement. Je me permets de sangler deux palettes assez haute, et bien bencal.
Je rejoins l'A89 par le nord de Lyon. Au regard de mon programme, je décide de faire le fayot et de m'arrêter au siège de la boite à Thiers. L'idée est de refaire le niveau de GO, malgré que je puisse tenir la fin de semaine, et de vérifier la pression de mes pneus. A Loire, le mano a été cassé récemment. Entre temps, j'ai appris qu'un docteur en pneu, passerait tous les samedis : à vérifier.
A 17H30, je suis garé face au batiment administratif de la boite. Je fais le tour du propriétaire. Vers le garage, un Ford est garé, il est ouvert. Bon, bien je monte dedans. La position a l 'air pas mal, les sièges sont sympas, les sièges de couleur claire. Les coffres au dessus du pare brise ne sont pas très grand ; heureusement, il y a ces 3 petits coffres au dessus des couchettes. Couchette qui parait large et accueillante.
Excptionnellement, ce soir ce sera repas tiré du sac. Le frigo se retrouve ainsi presque aussi sec que les stations services marseillaises. Lecture et papotage avec "Lolo", un chauffeur de la région de Bordeaux qui n'a pu charger ce jour à cause des mouvements sociaux dans une entreprise et qui ne charge que demain sur Thiers.
Grasse mat ce matin. J'ai enfin trouvé le bon fusible de ma prise 24V; donc c'est café au camion avec le reste de la mère Poulard, 2 dattes et une banane. Un peu avant 7H00, je franchis le portail du dépôt : direction la capitale du pneu français. Impec pour trouver le client, mais comme je le redoutais après avoir regardé Maps, l'accès en marche arrière sera no easy. Le route est assez etroite, et un poteau d'éclairage publique est postionné juste au niveau de l'endroit où je casse l'ensemble. Bon, je descends vérifier, ca passe. Etant rentré pratiquement avec l'ensemble à 90°, il me faut me raligner par séquence, mais ca le fait.
A nouveau un réveil musculaire : débâchage des deux côtes, on vire toutes les planches, les 3 sangles que j'avais mis pour les colis les plus fous. Mon cariste est bien sympa, mais pas dés plus nerveux. Avec lui, j'apprends à "piloter" le fen, car il décrit absolument toutes ses manoeuvres. Il est calme, c'est déjà ça. Entre temps, je vais saluer Dylan de chez Duarig qui a vider à moins de 200 m de moi.
Je peux prendre la direction d'Ennezat, pour aller récupérer des déchets. A ma sortie de mon péage, c'est bien le brin. Je n'ai rien vu, mais la charmante gendarmette aux yeux bleux et avec une grande capacité pulmonaire (Pierrot : je t'envoie les royalties), m'a bien confirmé la présence de manifestation. Je ne pense pas avoir perdu plus de 11 mn dans l'affaire.
Le cleint se voit de loin ; je trouve don facilememnt l'entrée, mais c'est après que celà se gête, car je n'ai pas assez d'éléments à fournir à l'accueil. Qq coups de fil avec Cindy, et c'est réglé.
Et allez, vas y mon Baloo, bâches des 2 côtés, planches. Et tu peux sortir tes sangles et 12 ou 13, parce que tu as 18 GRV à sangler et 5 octobins de grande hauteur. 2H00 plus tard, je peux jouer avec Track Déchets. On loupe une croisure avec Chris42, qui stationne chez Bibbendum (ca s'écrit comme ça?).
Prendre l'A75 avec 25 T dans la caravanne signifie que tu ne regardes pas tes performances de consommation, ni de moyenne horaire ; on est bien d'accord. Mais toujours un régal cette route. Entre le Larzac, les Causses, Garabit ou Millau, la nature ou les exploits technologiques, les pupilles prennent grave. Perso, je suis fanatique des oeuvres tesl que les ponts. De réeelles prouesses. J'aurais dû travailler dans le TP.
En arrivant depuis l'A75; et me dirigeant vers Sète demain, mes possibilités sont, soit le 7/7 soit le resto situé près du port de Sète. J'hésité à y aller, malgré que sur Maps, il n'y a rien de noté. Allez on stoppe au 7/7. Ce n'est pas l'adresse du siècle, que se soit pour les douches (petites) ou le repas, mais je fais service minimum afin de rejoindre le camion assez tôt : lecture et CDB.
Réveillé tôt comme d'hab, alors je me fais couler un café au camion, tout en préparant le sac pour ce soir. Rangement du camion, je fais le point sur ce qu'il faut que je prenne ce weekend, remets un rideau dans le bon sens, puis pdj au relais. Les chicos sont rafraichies, le bonhomme aussi, qq photos du parking bien désert à cette heure. Il ne me reste tout juste à faire 10 kms pour arriver chez SUEZ à Sète.
Vers le dépôt pétrolier, il y a une grande file de camions, et je parviens tout de même à passer in-extremist, avant qu"une citerne vienne bloquer le rond point. D'après mes éléments internes, j'ai RDV à 8H00, mais non, c'est 9H00; qui se transformeront en 9h15, avec un premier passage en bascule. Allez petit Baloo, débâche, déssangle, et cours. Le premier lot des 5 octobins est vidé en 20 mn, re-passage en bascule, ru marche arrière dans la zone de déchargement, re-Bâches, RE-planches, RE-sangles, etc...Et on enroule les sangles. Cette semaine, mes sangles commencent à me sortir par les oreilles.
A 10H30, je franchis le portail. Au bureau, un pain au chocolat m'a été offert. C'est sympa.
On prend à nouveau la direction de l'A75, mais pour qq kms seulement. J'e m'arrête à Paulhan, pour charger du matériel d'irrigation pour St Clair du Rhône. Trante minutes parès, je franchis un nouveau portail. Très bon accuail, et je donne directement sur la personne qui va me charger. Il remplit la cabane par le côté. J'ai juste le temps de positionner 4 sangles avant que mon chargeur arrivé avec un premier lot de typaux longs de 7 m. Il rajoutera dessus un lot identique, puis des pneus agricoles et finiras par des traverses, ainsi que par des coudes isolés que je devrais caler, voir sangler. Il charge rapidement, puis va au bureau faire les papiers. J'ai le temps de fixer mes cliquets et faire la tension sur la moitie environ de mes sangles. Après avec "la quincaillerie" c'est un peu le merdier. Rien n'est pareil, ni en longueur, ni en poids.
Après ces efforts, je coupe 15 mn pour me restaurer, qui finiront un 25.
Je rejoins l'A9 en passant à nouveau devant le 7/7. L'autoroute n'est pas très chargée. Vers Pierrelatte, un petit bouchon s'est crée suite à un accident. J'y croise Manolo, vu à la dernière minute. Je ne sais pas si il a vu mes appels de phare. Il m'est nécessaire de couper à nouveau 30 mn avant de rejoindre le dépôt de Loire Je ne croiserais qu'un seul chauffeur en train de faire son plein Dans l'attente, je prends mes affaires pour les installer dans la Nissan, retourne compléter mes réservoirs, et retour à la maison vers 19H00.
Une bonne semaine, légèrement moins kilométrée que la semaine précédente. Pas de tôles en début de semaine prochaine, j'espère faire un tour en bobines sur la seconde partie.
Bon weekend à tous.
Bonjour à tous,
Sans 49.3, mais avec la majorité des voix, je reprends la chemin des grands écoliers. Il me faut livrer mes équipements d'irrigation pour une ferme basée à St prim, mais qui possède un hangar agricole accessible par un PL sur la commune de St Claire du Rhône. Je jette vulgairement les affaires dans la cabine, et range mon frigo, puis vavaroum. La traversée de Vienne passe crème à 6H30; après avoir laissé le péage de Reventin qui parait en travaux, je coupe en direction de St Clair.
Petit coup de téléphone auprès de mon interlocuteur pour lui confirmer mon arrivée : tout est ok. Enfin, ca ne va pas durer! A 7H05, j'entreprends de rentrer unen mrche arrière sur le terrais, afin d'avoir le côté gauche accessible pour défaire toutes les sangles. Je descends à deux fois afin de verifier si je ne tape pas le coffret de racordement électrique, mais aussi si je ne mets pas les roues dans le fossé. Heuresement , l'entrée est assez large et il faut bien tout ça.
Garé, j'entreprends de ranger mes affaires, et de rappeler mon interlocuteur. Aie : sur répondeur. 7H30 , il rappelle : il arrive dit il en raccrochant. Je le sens mal. En fait, il arrivera à 8H15 avec le Manitou de location. Bon, ce n'est pas de sa faute, mais du loueur.
Bref, on commence le déchargement ; il faudra bien 1h15 pour vider toute la quincaillerie. J'ai bien le temps d'enrouler et ranger mes coffres.
On prend la direction de SQF, pour mon RDV de 10h30. Précis telle une horloge Suisse, j'entre dans les bureaux pour m'inscrire au 4° top des 10h30. Allez Baloo, il faut débâcher des deux côtés "tu sais comment faire, non?".
11H30, papiers faits, direction Paname. Je passe par St Exupéry et Meyzieu, pour rejoindre l'A46. En jettant un oeil furtif sur Maps, je vois que Pierre n'est pas bien moi, mais de qq mn, nous loupons la croisure. Phil et Dudu sont au sud de Lyon. Sera t-il possible de voir ces deux cheuvelus? On va suivre sur Maps.
A6 jusqu'à Chalon nord, puis Rochepot en cette bonne N6. Je fais 15 mn au départ afin de me restaurer sur les coups des 13h de mémoire. Phil et Dudu restent sur l'A6!! Quand je suis sur le point de reprendre l'A6 à Avallon, je vois les rois de l'événementiel arrêtés à l'aire de repos juste avant.... Je dois couper 30 mn, je les fais à la première aire de repos.
Coup de fil à Dudu, ils attendent qq consignes de leur client avant de s'engager afin de choisir leur lieu de villégiature pour ce soir. Pour moi, je vise Garono, mais en m'pprochant, je m'aperçois que la 104 et la 86 sur l'est sont au rouge vif. Connaissant mon programme pour demain et mercredi, je décide de stopper à Reau, au parking sécurisé.
J'ai bien fait, car en allant en traversant le parking vers 19h00, n'est ce pas l'unique, l'invraissemblable, l'immense Thomas 26 qui est sur le pont de franchir la grille d'entrée. Génial.
Thomas galère bien pour trouver une place, mais ca le fait quand même. Ce ne sera pas de même pour son père qui devait aussi couper ici, et qui s'enfuira vers la ZI toute proche : plus de place!
Bonne soirée avec Thomas. Grand plaisir à le revoir comme cela à l'improviste.
Bonjour à tous,
Sans 49.3, mais avec la majorité des voix, je reprends la chemin des grands écoliers. Il me faut livrer mes équipements d'irrigation pour une ferme basée à St prim, mais qui possède un hangar agricole accessible par un PL sur la commune de St Claire du Rhône. Je jette vulgairement les affaires dans la cabine, et range mon frigo, puis vavaroum. La traversée de Vienne passe crème à 6H30; après avoir laissé le péage de Reventin qui parait en travaux, je coupe en direction de St Clair.
Petit coup de téléphone auprès de mon interlocuteur pour lui confirmer mon arrivée : tout est ok. Enfin, ca ne va pas durer! A 7H05, j'entreprends de rentrer unen marche arrière sur le terrais, afin d'avoir le côté gauche accessible pour défaire toutes les sangles. Je descends à deux fois afin de verifier si je ne tape pas le coffret de racordement électrique, mais aussi si je ne mets pas les roues dans le fossé. Heureusement , l'entrée est assez large et il faut bien tout ça.
Garé, j'entreprends de ranger mes affaires, et de rappeler mon interlocuteur. Aie : sur répondeur. 7H30 , il rappelle : il arrive dit il en raccrochant. Je le sens mal. En fait, il arrivera à 8H15 avec le Manitou de location. Bon, ce n'est pas de sa faute, mais du loueur.
Bref, on commence le déchargement ; il faudra bien 1h15 pour vider toute la quincaillerie. J'ai bien le temps d'enrouler et ranger mes coffres.
On prend la direction de SQF, pour mon RDV de 10h30. Précis telle une horloge Suisse, j'entre dans les bureaux pour m'inscrire au 4° top des 10h30. Allez Baloo, il faut débâcher des deux côtés "tu sais comment faire, non?".
11H30, papiers faits, direction Paname. Je passe par St Exupéry et Meyzieu, pour rejoindre l'A46. En jettant un oeil furtif sur Maps, je vois que Pierre n'est pas bien moi, mais de qq mn, nous loupons la croisure. Phil et Dudu sont au sud de Lyon. Sera t-il possible de voir ces deux cheuvelus? On va suivre sur Maps.
A6 jusqu'à Chalon nord, puis Rochepot en cette bonne N6. Je fais 15 mn au départ afin de me restaurer sur les coups des 13h de mémoire. Phil et Dudu restent sur l'A6!! Quand je suis sur le point de reprendre l'A6 à Avallon, je vois les rois de l'événementiel arrêtés à l'aire de repos juste avant.... Je dois couper 30 mn, je les fais à la première aire de repos.
Coup de fil à Dudu, ils attendent qq consignes de leur client avant de s'engager afin de choisir leur lieu de villégiature pour ce soir. Pour moi, je vise Garonor, mais en m'pprochant, je m'aperçois que la 104 et la 86 sur l'est sont au rouge vif. Connaissant mon programme pour demain et mercredi, je décide de stopper à Reau, au parking sécurisé.
J'ai bien fait, car en traversant le parking vers 19h00, n'est ce pas l'unique, l'invraissemblable, l'immense Thomas 26 qui est sur le pont de franchir la grille d'entrée. Génial.
Thomas galère bien pour trouver une place, mais ca le fait quand même. Ce ne sera pas de même pour son père qui devait aussi couper ici, et qui s'enfuira vers la ZI toute proche : plus de place!
Bonne soirée avec Thomas. Grand plaisir à le revoir comme cela à l'improviste.
Nuit correcte, mais il faut aller affronter la RP. RDV à la Courneuve à 7H30, je lâche mes petis mulets du matin à 5H30. Tout se passe bien et en roulant tranquille, j'arrive à 6H45 devant la grille du client. Il y a pas mal de monde. J'ai le temps de me faire couler un café et de couper 45 avant que mon téléphone recoive consigne de m'envoyer au déchargement.
Une heure plus tard, je peux faire 200 m pour me rendre au chargement après avoir tout ranger. On resort tout le bazar. Les palettes doivent être sanglées, mais pas sur place, mais sur les parkings à la sortie. Donc, on met les planches on ferme vite fait les bâches er re 200 m pour sangler. 30 mn plus tard, les papiers sont signés. Maps me m'indique rien de catastrophique pour sortir de la RP, Ce sera la Francilienne par l'est pour rejoindre l'autoroute pour la direction de Nantes.
Autoroute jusqu'au Mans où je sortirais de l'autoroute en direction de La Flèche. Re A11 pour Angers - Cholet puis départementales pour rejoindre le Relax.
Demain, j'ai sans doute une journée de merde, car je n'ai RDV pour décharger qu'à 13H00. On va essayer d'avancer mais rien n'est moins sur. Je recharge chez des pénibles pour St Pieere de Chandieu.
Nuit correcte, mais il faut aller affronter la RP. RDV à la Courneuve à 7H30, je lâche mes petis mulets du matin à 5H30. Tout se passe bien et en roulant tranquille, j'arrive à 6H45 devant la grille du client. Il y a pas mal de monde. J'ai le temps de me faire couler un café et de couper 45 avant que mon téléphone recoive consigne de m'envoyer au déchargement.
Une heure plus tard, je peux faire 200 m pour me rendre au chargement après avoir tout ranger. On ressort tout le bazar. Les palettes doivent être sanglées, mais pas sur place, mais sur les parkings à la sortie. Donc, on met les planches on ferme vite fait les bâches et re 200 m pour sangler. 30 mn plus tard, les papiers sont signés. Maps me m'indique rien de catastrophique pour sortir de la RP, Ce sera la Francilienne par l'est pour rejoindre l'autoroute pour la direction de Nantes.
Autoroute jusqu'au Mans où je sortirais de l'autoroute en direction de La Flèche. Re A11 pour Angers - Cholet puis départementales pour rejoindre le Relax.
Demain, j'ai sans doute une journée de merde, car je n'ai RDV pour décharger qu'à 13H00. On va essayer d'avancer mais rien n'est moins sur. Je recharge chez des pénibles pour St Pierre de Chandieu.
Le relais est tout proche d'un de nos clients; hier, j'ai fait une bonne marche digestive après manger. Ce matin, i n'y a pas d'urgence. J'ai convenu avec Cindy de ne démarrer la journée qu'à 9h00, et de tenter ma chance pour être déchargé au plus tôt. Lorsque j'arrive un camion est à quai, un porteur en attente. Dans la guérite , le chef de quai ne me calcule, pas (on pose les bases!), malgré mes deux bonjours, puis il finit par me répondre que ce ne sera pas avant 13h00, et pis c'est tout. Demi tour droite réglementaire, retour en cabine. J'avais tout fait bien : gilet, chaussire de sécu, gants en vue, casquette de sécu. Que néni, coucouche panier du moins cabine. J'avertis l'exploitation qui tente aussi, mais non. Il y aura bien un moment vers 11h00 o^ù aucun camion n'est à quai, mais en l'approchant les deux caristes vus haussent gentiment les épaules puis regardent leurs belles chaussures Ils ont l'air navré.....moi aussi .A quai à 13h03. Une heure pour vider. Des réserves sur deux packs de canette que j'ai dû péter en sanglant, malgré les équerres mises. Je me retrouve à les avoir en cabine. Je ne bois pas de soda. Celà finira sans doute dans le frigo du dépôt.
Go La Mothe-Achard ; pour les habitués, vous avez compris : PRB. On m'a prévenu que je pouvais y passer 4 à 5 heures et faire plusieurs halls. J'en ferais 3 et n'y passerais que deux heures Un très bon score là bas Hervé, un collègue y a passé jusqu'à 5H.
Entre la Roche et Poitiers, mon programme tombe et à sa lecture, je vois que celà ne va pas passer. Il me faut livrer demain matin St Pierre de Chandieu (pas possible), charger à St priest pour Cagnes, aller en Italie et remonter à lyon. Coupd de fil à Cindy qui s'aperçoit que ce ne passe pas non plus; avec l'assistance de Philippe, ils vont chercher une solution. 30 mn après, la solution est trouvé. Je vais bien à St Priest mais pour Marseille et Toulon, puis je récupère la remorque chargée en Italie par un collègue, Guillaume, chauffeur délocalisé vers les Arcs.
Ok, ca me va. Un retour tardif vendredi, mais vendredi.
Déchargement, et chargement sans encombre, si bien que je suis lancé tel un frelon sur l'A7 avant 15h00. Il me reste 3h30 à rouler au départ de St Priest, je suis léger je vais tenter Lançon de Provence. J'y arriverai avec 12 mn de marge, tout bien. En route, croisure du S500 piloté par notre très cher "Pépère", tonton Pierre.
Au relais je passe le repas avec Laurent un chauffeur de Thiers qui roule avec la nouvelle version du XF.
Le relais est tout proche d'un de nos clients; hier, j'ai fait une bonne marche digestive après manger. Ce matin, il n'y a pas d'urgence. J'ai convenu avec Cindy de ne démarrer la journée qu'à 9h00, et de tenter ma chance pour être déchargé au plus tôt. Lorsque j'arrive un camion est à quai, un porteur en attente. Dans la guérite , le chef de quai ne me calcule, pas (on pose les bases!), malgré mes deux bonjours, puis il finit par me répondre que ce ne sera pas avant 13h00, et pis c'est tout. Demi tour droite réglementaire, retour en cabine. J'avais tout fait bien : gilet, chaussures de sécu, gants en vue, casquette de sécu. Que néni, coucouche panier du moins cabine. J'avertis l'exploitation qui tente aussi, mais non. Il y aura bien un moment vers 11h00 où aucun camion n'est à quai, mais en m'approchant les deux caristes vus haussent gentiment les épaules puis regardent leurs belles chaussures Ils ont l'air navré.....moi aussi . A quai à 13h03. Une heure pour vider. Des réserves sur deux packs de canette que j'ai dû péter en sanglant, malgré les équerres mises. Je me retrouve à les avoir en cabine. Je ne bois pas de soda. Celà finira sans doute dans le frigo du dépôt.
Go La Mothe-Achard ; pour les habitués, vous avez compris : PRB. On m'a prévenu que je pouvais y passer 4 à 5 heures et faire plusieurs halls. J'en ferais 3 et n'y passerais que deux heures Un très bon score là bas Hervé, un collègue y a passé jusqu'à 5H.
Entre la Roche et Poitiers, mon programme tombe et à sa lecture, je vois que celà ne va pas passer. Il me faut livrer demain matin St Pierre de Chandieu (pas possible), charger à St Priest pour Cagnes, aller en Italie et remonter à lyon. Coupd de fil à Cindy qui s'aperçoit que ce ne passe pas non plus; avec l'assistance de Philippe, ils vont chercher une solution. 30 mn après, la solution est trouvée. Je vais bien à St Priest mais pour Marseille et Toulon, puis je récupère la remorque chargée en Italie par un collègue, Guillaume, chauffeur délocalisé vers les Arcs.
Ok, ca me va. Un retour tardif vendredi, mais vendredi.
Je stoppe à Bussière Poitevine vers 21h00 où je retouve Jean Paul et Hervé deux chauffeurs de Loire; j'y rencontre aussi Tonin.
Départ après mes 9h00 de coupure. Je roule jusqu'au dépôt de St Pourçain pour y couper 20 mn et refaire mes pleins de GO. Retour sur la N7, avec à nouveau 30 pour casser une graine à la sortie de Roanne. J'arrive à St Pierre pendant la pause de midi-13h00, mais le portail est ouvert, je rentre donc me poser sur la zone de déchargement.
Déchargement, et chargement sans encombre, si bien que je suis lancé tel un frelon sur l'A7 avant 15h00. Il me reste 3h30 à rouler au départ de St Priest, je suis léger je vais tenter Lançon de Provence. J'y arriverai avec 12 mn de marge, tout bien. En route, croisure du S500 piloté par notre très cher "Pépère", tonton Pierre.
Au relais je passe le repas avec Laurent un chauffeur de Thiers qui roule avec la nouvelle version du XF.
Je sais que je vais attendre entre 2 et 3H, la remorque qui vient d'Italie, donc ne pas commencer trop tôt, MAIS, je dois livrer Marseille quartier nord avant que ce soit Marseille quoi. J'opte pour un départ à 6H45. J'ai 40 KMs à faire en prenant l'A7, sortie Le Canet (Chouchen me l'avait bien précisé). Une fois à la sortie 35 donc, j'ai 1 kms a faire au milieu des voitures mal garées; j'atteinds non sans mal l'entrée du client bien sombre et je ne vois par une petite barre de fer sur la droite, trop occupé que j'étais à vérifier que je n'emportais pas une voiture avec mon tablier côté gauche. La bâche est marquée et 3 tendeurs abimés. Une fois sur place, personne ne vient te guider, bien content d'assister au spectacle, tout en espérant que je puisse accorcher de nouveau. Je prends mon temps et je me paie un gaillard qui me dit d'apprendre à conduire. Je lui explique la vie fermement : il ferme sa gueule. Pour repartir, ils sont encore à l'entrée da magasin avec d'autres cafés. D'autres camionnettes sont males garées. Putain, qu'est ce qu'il y a comme prix Nobels dans cette ville.
Heureusement, il y a désormais l'A507 pour traverser Marseille, on peut vite sortir de ce merdier. Ironie du sort, je vais avenue de Draguignan, juste en face de l'ancienne site TRANSFIX pour lequel j'ai travaillé durant 17 ans : mes meilleurs souvenirs pros. Toujours resté en contact avec des collègues rencontrés là bas. L'un d'eux Christophe, viendra boire le café avec moi à la sortie de ma livraison.
Un moment passé trop vite. Direction la plate forme des Arcs où je dois attendre Guillaume qui remonte le voyage d'Italie que j'aurais dû faire. Dans cette attente, revue de détail de la cabines, des carreaux, du niveau de lavec glace, etc, sans oublier de faire les sacs pour ce soir, car j'ai les petits fils à la maison. Les retours tardifs tombent toujours mal..grgrgr.
Guillaume arrive avec sa remorque "open-box". Et merde!!! Il passe bien 20 mn à m'expliquer comment l'ouvrir, je la manipule un peu, car pour lui recharger je devrais l'ouvrir.
Départ des Arcs à 15H30. L'amplitude ca va, et j'espère pouvoir passer en 4h30. Je suis léger, ca devrait le faire.
C'est donc pied dans la tole que je remonte. L'A8 et l'A7 ne sont pas chargées. Vers Canas, les PMV iniquent que la sortie 11 VIENNE est fermée...........merde, je suis obligé de passer par Chasse et Givors. A l'aire de la grande Borne, je stoppe, car il me reste 26 mn à rouler. Putain, suis poissard.
45mn et 3 sec plus tard, je repars pour prendre la sortie 11..............ouverte. Putain de bordel de merde. J'arrivais avec 3 mn de marge sur le parking.....
21H30 à la maison, les petits fils ont été repris par ma belle fille qui a finit sa journée.....
Lundi, je démarre tard : RDV 12 h Chaponnay.
Bon weekend à tous.