TDL Transports du Léon

Dans la série entreprise discrete, voici une galerie qui va vous plaire, les Transport du Léon, TDL, en 50 photos.
Reconnaissable entre 1000, toujours propres on les croise régulièrement entre le nord bretagne, le Benelux, l’Allemagne et parfois même en Suède.
Fortement impliqués dans leur région, beaucoup de remorques ventent les mérites de leur belle région !

https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/1413

Transports Caudete

En 1967, 4 amis, anciens chauffeurs des transports Salfras de Gandia, banlieue sud de Valencia, décident de se lancer dans la bataille en créant leur entreprise de transports.

En hommage à leur ville d’origine, ils nomment leur société CAUDETE qui est une petite ville de la province d’Albacete, sur la route qui mène de Valencia à Murcia.

A force de sacrifices et de serieux, le nombre de véhicules croit rapidement, toutes les marques y sont présentes, leur premier camion fût un Berliet 6 roues, puis, virent les Pegaso, Volvo, Scania, et logiquement aujourd’hui essentielement des IVECO.

On trouve principalement des CAUDETE entre le sud de l’Espagne et le Royaume-Uni. Merci à Francisco, Graham, David et bien d’autres contributeurs ! Bon visionnage, bon partages en cliquant ici pour découvrir ces 312 magnifiques photos !

https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/1354

Transports Atkins

En 1926 Mr Bernard Atkins et son epouse Hilda fondent les transports F.B ATKINS AND SONS à Derby au nord est de Birmingham.
Tout au long de son existence, l’entreprise restera familiale, et proche de ses conducteurs. Les trafics se font vers une grande partie de l’Europe.
L’entreprise prend fin en 1988 avec la vente à la British International de Southampton.
Michel 50 y a passé 10 merveilleuses années, il a été le premier chauffeur français de la société, embauché en 1977.
Voici un florilège de photos, coupures de presse, passionnés de camions, Atkins ont aussi fait concourir des camions de tous les jours en course au Mans, et possedé l’une des plus grande flotte d’IVECO Special Le Mans.
Découvrez les 95 photos ici : https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/1398

Transports Alain Foulon

Alain Foulon est fils et petit fils de transporteur de la banlieue nancéenne, Champigneulles exactement.

Là où a été brassé pendant des décennies la fameuse Grande blonde, la bière blonde.

En 1987/1988, Alain possède quelques ensembles de marque Volvo, du F10 et F12 et Renault G290 pour Intermarché.

Ces ensembles sont garés sur la parking du port de Champigneulles.

L’entretien se fait soit dans la cour familiale, soit dans la rue, soit au port.

Une semi au couleur de la place Stanislas vient agrandir le parc et fait beaucoup d’effet par son originalité et convoitise beaucoup de curiosité

1990, l’activité augmente ainsi que le parc.

Il a un dépot dans la zone d’activité de Champigneulles.

Beaucoup plus facile pour le stationnement et surtout pour l’entretien, un garage et fosse facilitent bien des choses.

Les premiers Scania arrivent avec la couleur personnalisée de l’entreprise.

Bleu lagon pour cabines des tracteurs et chassis remorques, baches brunes.

La couleur des baches a été toujours brunes mais les tracteurs étaient blanc avant

2000, changement de siècle et de dépot.

Il fait construire son prope dépot, toujours à Champigneulles mais dans la nouvelle zone d’activité qui est en pleine essort.

Le nombre de carte grise augmente ainsi que la diversité de transport.

Contenair, benne.

Une station de lavage est construite aussi.

C’est vrai que le parc est toujours propre.

Un garage et cabine de peinture sont présent aussi

2019, agrandissement du dépot et création d’un nouveau parking

Les Transports Transak de Sarreguemines

Frédéric, dit Moustique57, authentique mordu du V8 Scania, a passé une grande partie de sa carrière de chauffeur routier au sein de la société TRANSAK de Sarreguemines en Moselle. Par le biais du site www.fierdetreroutier.com il a fait le choix de nous confier une partie des ses photos personnelles, afin de rendre hommage à son ancienne entreprise aujourd’hui disparue.

Crée en 1974 par Michel Akhverdoff, la société aura jeté l’éponge en 2000, il est a noter, que les V8 Scania de l’époque, étaient déjà en echapement libre….

Pilote de rallyes automobiles amateur, Michel Akhverdoff troque son Alpine Renault berlinette contre un Saviem SM 260 et crée à 57 Grosbliederstroff son entreprise tout d’abord spécialisée dans le transport de glissières d’autoroute, il se diversifiera ensuite vers les marchandises générales. L’entreprise s’agrandira en faisant l’acquisition d’un Berliet TR280, d’un Volvo F89 et N12 de Scania LB 140 et 141 v8, de deux Mercedes 1932 v10 ainsi que de Daf 2805.

Fidèle aux Scania v8 141 et 142 au départ, ce ne sera qu’au millieu des années 80 que Volvo s’imposera majoritairement dans l’entreprise avec un parc de F12 Globetrotter, apres avoir eu trois Renault R310. La société va alors s’installer dans la Z.I. de 57 Sarreguemines en Moselle. A l’époque, les gros clients sont : les caillebotis Goettmann, les enduits Solor-VPI , les pneus Continental, le contre plaqué Agepan et les piéces auto en retour.

Et c’est l’apparition des Volvo F16.470 et F12.400 de deuxième génération. Il y aura aussi un Mercedes 1948 v8, deux magnifiques Scania 143.470 Jubilé, deux 143.500 v8 , quatre Renault AE 500 v8 Magnum ainsi que d’autre véhicules. Suite à des campagnes publicitaires choc ,l’entreprise acquièrera de nombreux marchés dans toute l’europe en particulier en Scandinavie, dans les pays de l’est (d’ou nous rapporteront de la porcelaine et des C.D), en Italie et Espagne entre autre. . Apres avoir racheté Straumann à Colmar le transport exeptionnel, Davotrans et Viking les spécialistes de la scandinavie, Henry les déménagements et Sarrat pour le vrac, de nouvelles sociétés se constitueront tel que Pac-Inter sur le 77, Aktrade, Transak-Sud à Nimes, Transka pour la RFA, et enfin Transak Trutnow en Tchéquie. De plus, l’entreprise optiendra un tres gros contrat en benne T.P. avec les mines H.B.L. pour vider les bassins de décantation de plusieurs millions de m3. de schlam. Ce travail durera de nombreuses années et sera effectué avec des tracteurs Mercedes 2636 v10 , véhicule inexistant en France, ils sont d’ordinaire prévus pour l’export vers l’Afrique, la Russie ou le Moyen-Orient.

Avec l’apparition des Volvo FH16.520 et FH12.420 carrénés et équipé finition niveau 3 ( siéges cuir et ronce de noyer ) , la flotte ak adoptera dès le début , les pneus larges à l’avant ( 385/65 X 22,5 ) alors qu’à l’époque tous les fabricants de pneus et les transporteurs le déconseillent et en rigole. Il y eut aussi une vingtaine de M.B actros 1843 méga-space mais qui ne firent pas de vieux os. Ce furent les plus belles années de transak.

Malheuresement les bonnes choses ont une fin et ce fut le cas pour transak qui jeta l’éponge en septembre 2000. Le négoce poids-lourds occasion ne marche plus car tout le monde achéte du neuf, la réglementation et la durée de travail deviennent de plus en plus draconiène, certains de nos gros clients ferment et il y eu certainement trop de « chefs et sous-chefs  » qui coutèrent cher à l’entreprise. Méme si les temps furent difficiles parfois, la majorité d’entre nous en garderont un tres bon souvenir .

Les transports MUNSTER du 42, prirent la relève sur certaines lignes, mais trés peu de chauffeurs ont suivi cette société.

Transak était une entreprise ou l’ambiance fut tres bonne et conviviale pour la plus part d’entre nous. Il y avait un coin cuisine ou patron et salariés se cotoyait dans une bonne humeur , méme parfois chaude. De nombreuses sorties ou fétes organisées et payées par l’entreprise, des stages de karting, de F3 à Magny-Cours. Le patron nous prétait les véhicules pour célébrer des mariages, pour les défilés et les trucker-festival, ou méme les véhicules pour des travaux privés à domicile ! Les plus fervants d’entre nous assistaient chaque année aux Grands-Prix camion du Castellet, du Mans, de Nogaro et Dijon-Prénois en France, et au Nurburgring en RFA ou Zolder en Belgique . De plus, Lutz Bernau avec son M.A.N de compétition courra un moment aux couleurs de transak . Mais l’une des plus belle fétes fut certainement celle des 20 ans de transak, avec l’édition d’un super C.D. Heureusement que nous avons encore les photos de cette époque et maintenant un site comme « fierdetreroutier » pour péréniser tous ces moments là.

Les transports Levoye de Vieux Berquin 59

Voici quelques photos de Bruno dit le GAINS 59 pour faire revivre les Transports PIERRE LEVOYE de Vieux Berquin dans le Nord.

« partout on le voit ».

Aîné de cette famille de 6 enfants Gains59 tenait à faire hommage à son père décédé le 25 novembre 1985 à l’âge de 52 ans

Album de famille

Transports LUBAC – Montéleger 26

Au début des années 80, Robert Lubac profite de ses nombreux contacts aux abattoirs de Valence dans la Drôme ou il est employé pour créer sa société de transports, spécialisé dans le transport de viandes bien sûr. Familiale l’entreprise se développe tranquillement avec ses plus proches amis. Le parc est assez hétéroclite, on y trouve côte à côte des Volvo F12 Globetrotter, Renault R, Pegaso et DAF.

En parralèle les transports Lubac se développe sur le secteur du primeur avec les nombreux petits expéditeurs de fruits dont regorge la région. Très vite, l’entreprise propose des publicités sur les frigos, Noix de Grenoble, Ville, Sicoly, du plus bel effet. Avec le départ de l’un des chauffeurs qui monte son entreprise avec des clients en viandes, l’activité se recentre essentielement sur le primeurs qui est surtout saisonnière, et régionale. Lubac est très présent sur l’axe Vallée du Rhône – Toulouse – Bordeaux, mais aussi Marseille, Lyon.

A la fin des années 90, Provence Dauphiné s’associe avec Lubac qui prend en charge les transports du groupe, ainsi que les anciens chauffeurs devenus Transport Lubac. La desserte des plates formes du groupe est plus régulière, tous les jours des départs se font de Perpignan ou Barbentane vers Valence, Grenoble, Annecy, Sallanches, Thonon, Annemasse. Aux périodes de vacances aux sports d’hivers les camions sont archi blindés. Dans le même temps, beaucoup de transports se font au départ de Barbentane vers le marché de Milan ou Munich.

La plateforme historique de Portes Lès Valence avec ses 5 quais montre vite ses limites, les transports LUBAC s’implantent alors sur un grand terrain proche de la rocade de Valence à Montéléger. Les transports Lubac se developpent beaucoup sur le Val de Saone, avec plusieurs tours de ramasse qui sont ensuite regroupés à Valence, les délais de livraisons vers certaines centrales du sud ouest sont ultras tendus. Quelques affrétés permanents viennent épauler l’équipe. Transfun, TFD, Almeida, Bellagambi. Lubac réalise aussi beaucoup de logistique en préparant les ramasses pour Leible, Gartner vers l’Allemagne. Le groupe CEMOI fait aussi parti des clients au départ d’Arras, Chateauneuf/Loire, Macon vers le sud, avec des complets ou des lots qui sont intégrés aux tournées de groupage primeurs.

A Montéléger, sur le terrain voisin se monte une plateforme jumelle dédiée aux supermarchés ATTAC, puis un dépôt à Feillens pour se rapprocher un peu plus des producteurs du Val de Saone.

En 2012, Robert Lubac vend sa société à Primeale qui crée Lubac groupe Transaveur. En 2015, le groupe fusionne entièrement avec Inter-Légumes.

De toute cette époque, il reste heureusement quelques photos :

Quelques camions évidemment, Volvo à toujours representé le gros contingent du parc, voici les FH12, Globetrotter, GlobetrotterXL et l’unique FH16 :

Quelques VOLVO FH phase 2 et 3, il n’y aura jamais eu de phase 4 chez Lubac !

Les photos du seul et unique SCANIA Lubac, un R580 pour le regretté Jeannot…

Mercedes, Renault, DAF et divers

Mais une entreprise ne serait rien sans ses employés, chauffeurs, caristes, mécanos, beaucoup sont sur cette galerie, d’autres pas, on a pas retrouvé de photos !!

Des affrétés aussi !!

Quelques photos chez les clients, toujours le sourire !

Transports Giraud – Sonnay

Les photos proviennent des collections de Mr Cros, Alain Paon, Patrick Baule, Le Gitan80, Hervé Charreton, Philippe Cancade, Wim Herstein, Graham Hamey, Philippe Giraud, Yannick Panon.

Au sortir de la seconde guerre mondiale, Marc Giraud alors agriculteur et spécialisé dans le matériel agricole crée les « Transports Giraud ». Les camions opèrent alors localement, et quelques autocars Giraud réalisent des tournées de ramassage des ouvriers vers les usines de la zone de Salaise et Roussillon.

Avec la première génération de chauffeur des transports Marc Giraud !! Dessus y figurent Yves Giraud, son frère Robert et Midol. Clichés réalisés aux alentours des années 57 58 :

En 1975, Michel Giraud prend alors les rênes de la société qui compte alors 8 employés et seulement 5 véhicules. L’entreprise implantée autour de la maison familiale ne cessera alors de croitre, les premières destinations internationales se font vers la Grande Bretagne. Comme d’autres entreprises de la région rhodanienne, la croissance est fulgurante puisqu’au milieu des années 80, le parc compte 60 attelages.

Un peu partout en Europe des agences sont ouvertes, Italie, Espagne, Portugal et bien sûr Angleterre. Les camions sont présents sur toute l’Europe mais aussi la Yougoslavie, la Pologne. Les transports Giraud réalisent alors des transports dans tous les domaines d’activité, bachés, frigo, benne, plateau et comptent dans leurs clients les plus grands noms des industriels de l’époque, Pechiney, Rhône Poulenc, Atochem, Sibille, Lafarge, Total, British Petroleum.

Au débût des années 2000 un bureau est ouvert en Tunisie, pendant 2 années, Eric livre et recharge les remorques qui débarquent non accompagnées au port de Rades.

L’ascension des transports Giraud se termine en fevrier 2004. L’entreprise compte alors 200 employés,150 tracteurs et 380 remorques, laissant un goût amer à beaucoup d’employés qui croyaient dans l’esprit resté familial de l’entreprise. Michel Giraud disparait tragiquement en même temps que l’entreprise dont la partie vrac est reprise par les transports Chazot du 42.

Le slogan Giraud était: « l’énergie qui vous transporte », pour devenir à la fin : « l’énergie qui vous transporte … à l’ANPE…  »

Les photos d’Alain Paon :

Les photos de Philippe Giraud :

Les photos de Patrick Baule :

 

Les photos de Yannick Panon :

 

Photos d’Hervé Charreton :

Photos de Gitan 80 :

Divers :

Lecteur vidéo

 

Transports Mortas (26) L’Ecancière

Un dossier signé Joel !!

En 1970, Aimé Mortas crée une société de négoce de volaille, « Les volailles de la Drôme Mortas ».

Il les achète aux abattoirs de la région et les revends aux petits commercants.

Il prends donc des petits porteurs frigorifiques afin de pouvoir les transporter par ses propres moyens.

Pour compléter l’activité, il passe l’attestation de capacité en Mars 1975 et se diversifie un peu en faisant du transport régional. Les principales destinations sont la Savoie, la Haute-Savoie, la Drôme et l’Isère. Les Transports Aimé Mortas voient ainsi le jour.

Quelques chauffeurs viennent grossir les rangs de ce nouveau transporteur, qui officiera exclusivement dans le domaine frigorifique. C’est toujours le cas aujourd’hui.

En 1988, André a envie de rouler encore plus, d’aller encore plus loin. Il rêve de continuer à faire du frigo, mais en primeurs, et avec le camion de sa propre entreprise qu’il voudrait créer. Son souhait se réalise cette année-là. C’est l’achat d’un 370 Turboleader, les transports TFM (Transports Frigorifiques Mortas) viennent de naître.

Les premiers voyages se font principalement en primeurs sur la Vallée du Rhône et la Suisse, avec des affréteurs locaux, avant d’avoir de nombreux clients.

Les Transports TFM ne cesseront alors de s’agrandir.

De nouveaux camions viennent compléter le parc. TFM comptera jusqu’à 11 ensembles, c’est une entreprise à taille humaine qui a toujours sû conserver une ambiance familiale.

Dans les années 90, c’est le temps où les voyages deviennent essentiellement internationaux. Les départs se font toujours principalement en primeurs depuis Perpignan ou la Vallée du Rhône, mais aussi parfois depuis Murcia (E). Les destinations sont toute la France, la Belgique, les Pays-Bas, l’Allemagne, l’Autriche, la Suisse, et parfois l’Italie. Les retours sont variés, du congelé aux produits frais. Une petite part de l’activité se fait aussi en distribution de supermarchés.

Depuis le début de l’entreprise, André a toujours cumulé les fonctions : chauffeur, patron, dispatch, mécano.

Les week-ends sont entièrement consacrés à l’entretien des véhicules avec son père Aimé.

En 1997, la cour est trop petite pour accueillir tous les camions. Un terrain contigü plus grand est acheté pour pouvoir garer tout ce petit monde sans difficulté.

Au début des années 2000, la conjoncture difficile et les difficultés pour le transport longue distance obligent TFM à recentrer son activité sur le régional.

Ainsi, les destinations deviennent moins lointaines.

Aujourd’hui, la majeure partie des transports se situe dans un grand quart sud-est. Mâcon, Perpignan, Nice, Toulon ainsi que la Suisse sont devenus les nouveaux terrains d’activité de TFM. Les primeurs sont les principales marchandises transportées. Une petite part de la clientèle est faite de livraisons de supermarchés.

En 2000, André crée une nouvelle société, en plus de l’activité des transports TFM.

C’est AMAO, une société de location de tracteurs routiers.

La demande est forte en ce domaine, l’entreprise fonctionne à plein régime.

AMAO loue actuellement 11 tracteurs à différents transporteurs.

Le Grand-Prix du Castellet a toujours été un moment particulier chez TFM.

Il était inconcevable de ne pas y aller pour tous les passionnés de camions que comptaient cette entreprise. Il aurait été encore plus incongru de ne pas y aller en camion, autant pour André que pour les chauffeurs, car c’était avant tout la grande fête des camions.

Mais il y avait bien sûr des préparatifs incontournables, comme par exemple repeindre un carénage éraflé ou installer des feux supplémentaires avant le départ.

La fièvre et l’excitation s’emparaient de toute l’équipe dès la semaine précédent le départ et montaient crescendo. Pour ce week-end spécial, les voyages étaient donc autant que possible pour le sud-est, afin qu’une fois vide, les 3 ou 4 camions descendus soient présents au plus tard le samedi midi. Ceux qui avaient un voyage prévu pour un autre endroit descendaient en double avec un autre. Personne ne ratait ce rendez-vous annuel, sauf exception. Si un nouveau tracteur était rentré dans l’année, il était évidemment de la fête, un peu comme un rite initiatique pour lui. Une sorte de baptême d’entrée chez TFM en quelque sorte ! Une fois sur place, une des traditions était d’être toujours au même endroit que les années précédentes. C’était sous les pins, au bord du lac qui se trouve à gauche après l’entrée. Un peu comme une place réservée d’année en année, en quelque sorte.

Si vous êtes déjà allé au Castellet, peut-être vous souviendrez vous d’être passé devant « le camping TFM » ? Tout était prévu pour le ravitaillement et était entreposé dans une remorque groupe en marche. Barbecues et repas à l’ombre des pins faisaient bien sûr partie des habitudes incontournables. Une autre remorque était aménagée en dortoir provisoire afin que ceux qui n’avaient pas leur tracteur présent puissent dormir confortablement, ainsi que parfois des amis venus également faire la fête. Toute cette équipe retrouvait sur place d’autres copains travaillants chez d’autres transporteurs.

La fête allait bon train durant ce grand week-end.

C’était la grande fiesta du Castellet. Bernard et Christophe ont été présents chez TFM dès sa création. Ils ont vécus parfois des moments durs comme toute entreprise peut avoir à en traverser. André tient ici à souligner leur investissement total et l’abnégation particulière dont ils ont fait preuve pour l’aider, lui et la société, à maintenir le cap. De ce fait, des liens particuliers unissent André à Christophe et Bernard

Et encore des photos !!

Renault Range T

Volvo FH IV