A ce jour il existe 5 Strator français . Le concessionnaire hollandais depuis 10 ans transforme des IVECO cabine avancée en IVECO à capot , tous moteur de puissance différente et de toutes configurations : 6×4 6×2 8×4 ……. Pour tout les pays européens qui nous entourent . Mais la France est différente des autres pays européens . IL faut en France pour les poids-lourds, une homologation française .
Le premier Strator français est celui des transports Galtier . L’ingénieur français salarié d’IVECO France à mis deux ans pour enfin homologuer un Strator . Aujourd’hui en France , seul est homologué un Strator avec un moteur de 570 chevaux en 4 roues et 5,10 mètres d’empattement !!!!!!
Ce mois de juin 2017 , avec le vendeur IVECO de Valence 26 départ de Assieu 38, il est 3 heures du matin . Destination Born Hollande , 800 Kms de route à bord d’une Fiat 500 4 portes diesel . Premier arrêt : AIRE de la Maxe , non loin de Nancy pour prendre la taxe routière poids-lourd pour le Luxembourg et la Hollande . Un chauffeur du coin nous indique un itinéraire bis pour éviter les bouchons au Luxembourg . Vers 10 heures 30 arrivé chez le concessionnaire IVECO à Born . Le vendeur qui voulait convoyer le Strator jusqu’à la frontière française le sort du garage et juste sorti de la porte l’abandonne et me le confie . Le capot le perturbe ……….. Bon il faut prendre la box Belge pour payer les kilomètres parcourus sur les routes de Belgique . J’avais noté une station de carburant à Maastricht . GPS programmé j’ai quand même raté une bretelle de sortie de l’autoroute urbaine pour rejoindre la dite station . Mon vendeur rentre dans la station et demande pour la box Belge . L’automate est dehors a répliqué le tenancier , sympa comme un flamand en colère . Mon équipier vendeur tape les coordonnées sur l’écran de l’automate , pour finalement avoir l’information suivante : votre véhicule est exonéré de taxe . Oui il a une immatriculation provisoire . On s’est séparé la , le vendeur est parti pour Toulouse ou il est arrivé dans la nuit , et moi j’ai continué mon chemin jusqu’à Assieu 38 après une nuit de repos.
Une pièce spéciale , le A4 photocopié ou il y a différents Strator . C’est le seul cadeau de bienvenue que j’ai eu en Hollande lors de la réception du Strator .
Le plus long a été l’obtention de la carte grise qui avait été mal remplie, resultat des courses, dossier déposé le 11 décembre 2017, carte grise enfin arrivée le 1er fevrier 2018…
Lundi, 5h00 , le temps n’est pas franchement de la partie en ce matin , le roi du Evian-Paris à deja pris la route ,
tant pis je boirais mon jus ulterieurement , donc nous voila sur les routes de Bresse du Sud , la route est
bonne , pas de traignos . 4h15 après nous voila rendu au peage de Fleury en bière . Une tite 45 interrompue
par l’arrivée d’un ancien collegue de chez Asotrans .Coupure finie , on enquille la 104 because suis en adr
donc le parcours jusqu’à destination se fait sans trop d’encombres , St Ouen vidé go to Calais pour prendre
le ferry en fin d’apres midi . L’embarquement est légèrement long re because adr , arrivé à Douvre city plage
on enquille aux douanes ou le prix du parking est exagéré .
Mission m’a été confiée d’aller livrer un moteur de machine qui vient de Tunisie pour révision , l’adresse semble
simple d’accès sur le plan mais la réalité est tout autre. Bref tant bien que mal je me radine dans un espece de
zoning proche d’Eathrow , un des gars speak french correctly ce qui aide grandement à la manoeuvre , une fois vide
comme le dirais Papy Daniel ( mon investissement à perte vu que je et nous bossons pour lui assurer sa retraite )
donc le vieux disait: » on mets les roues dans l’autre sens et feu » . La roue jusqu’au prochain client est longue
mais longue , la M40 la M6 , ah Birmingham non en fait laisse tomber cette ville que je suppose charmante , la traversée
de ce haut lieu de l’embouteillage anglais reste perilleux même en heure creuse , hop hop hop , on avance,du coté de
Preston les panneaux annoncent le salage des routes , allez c’est tipar on guette , arrivé a Tebay je me rends a l’adresse
indiqué sur le cmr il est presque 17h30 , je tente si je peux vider c’est bonnard sinon , de l’autre cote de la route
un truckstop recommandé par Régis , le client me vide , petit coup de fil au St siège pour savoir si j’ai un imperatif
pour livrer Aberdeen ( destination finale de ce voyage que tu prends le temps de lire et je t’en remercie ) , Julie indique
non , donc on peut s’arreter au Truckstop , pour une 11h bien méritée . Le prix du parking est de 13£ ce qui me
laisse reveur quand tu sais que c’est minimun une 20taine de £ . ( sur les services ) .
Après une bonne nuit de sommeil , je tire les rideaux pour m’appercevoir que ? tu l’as deviner la neige s’est pointée
tranquilou milou milou , la M6 degagée jusqu’à Carlisle , après c’est totalement different une seul voie de pratiquable
mais ca le fait , une longue file se forme , je n’ose doubler , choix rudement intelligent car apres quelques kilomètres
la situation se transforme en bouchon , on prend son mal en patience , on avance péniblement vers la capitale Ecossaise
Glascow se dresse devant nous , M74,73,80 et pour finr M9 jusqu’a Stirling ( au lieu de bataille pour l’independance Ecossaise
à une époque ou je n’apparais pas dans l’histoire ) , sur la A9 la neige recommence de tomber mais de maniere abondante et elle
tient ,je reste zen mais j’en mène pas large , les paysages defillent et sont à couper le souffle tellement c’est beau surtout
avec la neige , on pourrait limite se croire sur des routes scandinaves , Perth , on fini par arriver à Dundee , le ciel est plus
clément , oh mais que vois je , non du soleil , ca rechauffe l’ambiance , tchiquit tchiquit aille aille , je m’emballe pardon
la route est en plein milieu des champs c’est chouette comme quand tu traverses la Champagne , arrivé a un certain moment de ce periple
mes yeux appercoivent la mer , pour info c’est le mer du Nord , ca me fait penser à l’adriatique quand on descendaient sur Ancone Pescara
par la A14 , on ammorce la descente sur Aberdeen , la traverse de cette charmante bourgade est quelque peux pénible , direction les Highlands
mais je m’arreterai bien avant , le zoning est grand et sent le neuf ( doit pas être si vieux que ça ) derriere l’aéroport , trouvé le client ok ,
trouver l’entree des artistes c’est autre chose , un tour au bureau et une sympathique dame m’aiguille , le receptionnaire me fais rentrer sur le site
casque et tous le tintouin sont nécessaires pour vider , je me plie de bonne grace , une fois tout fini , le préposé au dechargement me demande
si j’ai besoins de quelque chose , de l’eau chaude pour mon thé ou autre , juste ca , ca fait plaisir qu’il y ait encore des endroits ou on te respecte
ou tu n’es pas pris pour un cleb’s , je le remercie chaudement , et hop on repart dans l’autre sens car dans la matinée Julie m’avais envoyé un probable rechargement mais fallait voir avec le deja nommé Régis , aussitot dit aussitot fait , je trace direction Grangemouth , je n’aurais pas assez d’heures pour y aller , je consulte la carte un service à Kinross ( entre Perth et Dunfermline ) je trouve une place sur ce petit parking , je fonce m’acquitte du prix du parking , a mon retour je tombe sur un Breton fort sympa de chez Guisnel , on papote un bon moment , il s’apelle Gilou , d’ailleurs si jamais il me lit je le salue bien .
Je prends la route direction Grangemouth , le trafic est intense mais fluide , j’arrive pour 8h chez le client qui me fait attendre 8h30
pour prendre en compte mon chargement , je charge mes ibc , Julie me dis de redescendre direction Calais , arrivé a Uddington , Julie via sms
stop est une ramasse a faire sur Ayr ( cote ouest ) ,ne connaissant pas la fiabilitée des petites nationales , j’opte pour un retour en arriere
Glascow-Kilmarnock-Ayr-Maybole , c’est fou comment les paysages peuvent variés dans ce joli pays , ainsi que le temps , le trajets est plaisant,
arrivé sur zone , le client m’indique qu’il ne reouvre pas avant 13h30 , ce qui me permets de callé ma 45 sous une douce pluie fine , le chargement realisé avec talent je repars direction Ayr d’ou je prends une superbe nationale etroite et sinueuse ,ou les camions Ecossais roulent pleine bille ,
je reste zen , je rechope la M74 et je rerespire , arrivé sur Carlisle nouveau sms emanant du Saint siege pour me donner une nouvelle ramasse
sur Manchester si possible avant 18h , ca me parait tendu cette histoire , je roule et advienne qui pourra , je finis par arriver au service sur Lancaster
avec 4h30 de conduite , sms a Julie , ok pour demain matin le chargement .
En ce jours heureux et plein d’allegresse comme le chantait les Ludwig , je prends direction Manchester , M6 et M61 , M60 je chope ma sortie mais tout est en travaux , j’arrive apres une magnifique marche arriere et a contre main chez mon client tant bien que mal , le client est sympa et c’est dans la joie que je charge mes caisses pour Vénissieux ( ma sweet banlieue ou j’ai grandis ) , papiers en mains je repars en direction de B’gham , puis Oxford , Londre et sa M25 apres ce n’es plus qu’une formalité pour rejoindre Folkestone ou je prends le shuttle pour Calais ,arrivé en france je fini mes heures pour echouer a l’air d’Urvilliers
Mais cette fois ci je n’aurais pas le plaisir de redescendre avec mon comparce de chez T.F.M.O . Petit coup de file au Roi du Evian Paris pour l’avertir de mon retour demain dans l’après midi , on prend toujours plaisir a bavarder avec les gens qu’on aime et lui en fait partis . Heureux de ce fait je m’endors avec des images de mon periple plein la tete.
Je repars dans le froid mais de bonne heure et de bonne humeur pour rentrer en Bresse , j’ai bien préciser à Guigui que quand je rentre le café ; je le veux prêt ! Car depuis que je me gare chez lui , je reclame une machine à café sur le parking et des sanitaires , mais comme c’est un »patron » il me dis que non je lui coute bien assez cher comme ça . Je roule sur Reims , Chalons , St Dizier , Chaumont , une fois l’autoroute reprise je ne quitterais qu’a Tournus ( capitale de la casserole ) , Cuisery et je finis par debarquer vers 13h30 au parking ou vous savez quoi ?
Guigui m’avais gentillement decapsulé une biere , le week end etait commencé ……
C’est grace à la participation d’anciens chauffeurs de la Stouff, des routiers nostalgiques de la trop courte aventure de cette entreprise que ce dossier a pu voir le jour.
La plupart des anciens de la Stouff, sont aujourd’hui retraités, plus de 30 ans ont passé et les souvenirs sont restés intacts. Aussi, nous esperons que cette page suscitera l’envie chez d’autres anciens, de partager leurs photos, textes ou autres documents. Nous souhaitons ainsi compléter cette rubrique au fil du temps.
C’est en 1972, que Philippe Stouff, alors co-fondateur de la SAVAM, rachète la société Trans’Mib, spécialisée dans le transport de meubles.
Cette société est très rapidement rebaptisée STOUFF INTERNATIONAL.
A cette époque, le Moyen orient est un eldorado qui attire bon nombre de transporteurs. Les ports étant saturés, la demande de transport routier est très forte, la STOUFF se lance dans l’aventure du Moyen orient en novembre 72.
Le parc est alors principalement constitué de camions remorque bachés, grands volumes, essentiellement des BERLIET GR280 mais aussi des SAVIEM SM300 un peu moins appréciés de par la fragilité de leurs boites à vitesse.
L’extension du parc est telle que la STOUFF recrute à tour de bras, afin d’assurer les transports. Elle recrute malheureusement bon nombres de chauffeurs inexpérimentés, qui abandonnent leurs attelages parfois même dès l’Italie ou se le font…. « Voler ». Certains ensembles finissent dans le ravin, dépouillés ensuite par les autochtones.
A cette époque florissante, la STOUFF loue même une villa à Teheran pour ses chauffeurs bloqués sur place. Pas mal d’entre aux, utilisent alors les camions de la société pour effectuer des transports intérieurs et compte tenu du prix du litre de gazoil (2 centimes), arrondissent largement leurs salaires.
Les Stouff ont connu des moments de gloire, notamment en assurant la livraison de préfabriqués aux sinistrés d’un tremblement de terre, à la lisière du Kurdistan. Prioritaires aux douanes, ils alignent alors les 3500kms du tour en une dizaine de jours. Evidemment, vous l’aurez compris, il y avait peu d’heures de sommeil en cours de route!
Mais, en 1976, c’est une banale modification administrative qui sera la cause du dépot de bilan de l’entreprise.
En effet, cette nouvelle mesure, sensée eviter des fraudes aux taxes en cas d’abandon du véhicule, exigeait du transporteur, une somme de 15000FF par camion. Sachant qu’à cette époque la STOUFF compte 440 ensembles, la somme est colossale.
Les carnets de commandes sont pourtant pleins et malgré la pression des principaux clients, l’appui et les promesses des banques, malgré la mobilisation et la manifestation des routiers, bloquant l’accès au tunnel du Mont Blanc, tout ça n’y changera rien, la STOUFF sera condamnée à la fermeture.
Certains chauffeurs apprendront la nouvelle alors qu’ils sont encore loin et une poignée d’entre eux abandonneront alors leurs vehicules sur place.
Ainsi s’achèvent quatre années d’un essor formidable, enlisé à jamais dans les sables de l’administration.
Voilà les photos de Raymond dit le « fusillé » (suite à un voyage en Turquie dans le Tahir). Il habitait à l’époque Annemasse et est maintenant dans les Deux-Sèvres (79). Il y a travaillé environ 18 mois juste avant la fermeture. Vous pourrez decouvrir quelques photos des derniers jours de vie de la Stouff. Photos du bloquage du Fayet ou les chauffeurs se sont pris des pierres par leurs colleges devant l’autoport du Mont Blanc et du siege social à Annemasse.
Les magnifiques photos d’Henri Cardone….
Christian Piochaud a travaillé aux Transports STOUFF à partir de 1973 sur l’Italie en régulier, il avait un camion remorque Berliet 280 ch.
En Mars 1975, à la suite du premier choc pétrolier, il a pris la route vers l’IRAN qu’il a fait jusqu’en AOUT 1975. Ensuite, il a continué sur les routes du Moyen Orient mais dans une autre entreprise.
1973 en France
en route pour l’Iran 1975
Le chameau y pue de la gueule
les routes de Turquie en sable et boue
pas des routes des chemins
1982
1983
1981
1982
1984
souvenir de la police Iranienne
sur la route de l’Iran 1975
Tahir 1975
Sur le pont du Bosphore
Les fameuses routes en Turquie
vers l’Iran 1975
toujours le fameux Tahir
2007
vers l’Iran 1975
village en Iran 1975
Voilà les photos de Patrick Stouff, fils de Mr Philippe STOUFF, qui a travaillé lui même quelques temps dans la société et qui a eu l’amabilité de nous faire parvenir ses clichés. Mr Stouff père coule aujourd’hui une retraite paisible et aura 80 ans en septembre.
Blocage du Montblanc
Blocage du Montblanc
Blocage du Montblanc
Blocage du Montblanc
Blocage du Montblanc
DAF 70m3
Au Moyen Orient
Magirus
Magirus 120m3
Magirus Deutz
Magirus Deutz
Stouff MIB
Daf dans les années 60
Magirus Deutz
Sur les routes du Moyen orient
L’album de JP de brevannes
Pierre, surnommé Pierrot le savoyard, a roulé pour la maison de 1970 a 1975 en inter. Europe seulement…..des regrets !!! bien sur, il aurait aimer faire au moins une fois le Moyen-Orient… Mais parfois, on a des choix a faire…la famille OU la route !!!
1971 camion remorque Magirus
1ère semi dans cette grande maison
Attelage Stouff
1972 chargement pour l’Angleterre
1972 Mont Blanc
1973 Reportage publicitaire pour le SM 340
1973 devant mon QRA
1974 Angleterre
1974 Barcelone
1974 Barcelone
1975 Porto
1975 Porto
1974 frontière d’Irun
direction Porto
Amen…
Fier moi?…. Non Heureux!
Poulailler de luxe, la triste fin d’une belle aventure
Pause, parfois cela nous arrivait
Dechargement très « hard », je prends des photos au cas ou…
Dechargement de balles de papier à Lucca en Italie
Triste fin pour cette remorque
la première carte de » visite » .. une relique !!
la première carte de » visite » .. une relique !!
L’album de Jean François LLos
J’ai fait environ 3 ans à la Stouff, le camion en photo n’est pas le mien, sur le mien il y avait devant coté chauffeur 2 pieds + une inscription » la moelle ».
J’ai fait les 3/4 de mon activité au Portugal où j’ai été en location chez un transporteur inter portugais » LASEN ».
J’avais pas mal de potes de la Stouff à Montgeron 94, moi j’habitais à Vincennes.
Un de mes meilleurs amis était Maurice Auguy dit »l’auvergnat », en quittant la Stouff il a été à son compte chez le transporteur »Giraud », malheureusement il est décédé. Je venais de temps en temps sur Annemasse passer de bons moments. J’étais souvent au restaurant à Coulonges sous Salève.
L’album de Jean-Louis
Voici des photos de la Stouff, sur les transports pour le tremblement de terre de LICE en 1975. On parle beaucoup de la Stouff comme quand j’y étais, mais personne ne la voit jamais, c’est toujours « on m’a dit » ou « on a vu », alors j’espère que ces photos feront la joie de tous ceux qui regardent ce site, ce sont mes plus belles années de routier.
frontiere bulgare ou les gens poussent les voitures pour economiser l’essence
le mont ARARAT en Armenie ou s’est echouée l’arche de NOE après le deluge selon la bible
le cireur de sabots
Mon camion
Sur la route entre Ankara et Adana
Le cul un peu de travers
On s’y met à deux
Les stigmates du tremblement
Impossible de sortir tout seul
Toujours de la gadoue
L’auvergnat toujours grand prince
Des remorques qui se couchent
Moi, avec 32 ans de moins
Chacun se reconnaitra
L’auvergnat
Ensemble nous sommes passés au tribunal en yug. NIS pour une sombre histoire de bagarre, moi 2 jours, lui 1 mois de prison et retour sans barbe
Quand meme du bon temps…
BAZAGRAN la frontiere entre la turquie et l’IRAN, c’est un entonnoir, tout le monde se retrouve là, c’est la tour de BABEL. Apres avoir traversé DOUGOBAYAZIT, dernier village TURC, tu as sur ta gauche, le mont ARARAT et l’ARMENIE devant toi un immense plateau et l’Iran. La file de camions! Tu attends ton tour, bien sur pas de toilettes, rien pour te laver et tu es bien content d’avoir des provisions. Les turc eux, passent en contrebas de la route et bataillent dans la boue. Un petit gars avec une carte de visite du transitaire ramasse les papiers « TRANSMONDIAL », tu fais confiance. La nuit, si la file avance, personne te reveille et tu te retrouves derriere. Pour passer la frontiere, un porche en haut d’une cote, c’est vraiment une frontiere naturelle, ça frotte sec avec les turcs. Passé la frontiere, tu redescends et il faut trouver une place pour se garer.
Une fois les formalites terminées, tu prends la route et ce qui fait le plus drole, plus un trou, des bandes blanches, tu comprends qu’ici ils ont de la monnaie et c’est plus tranquille.
la sortie d’iran
des files de camions
un arc en ciel sur cet immense plateau
les gosses
chez BERNIS apres la stouff, mon pote CHRISTIAN avec le margnat village, ça aide
la pub saviem
A la douane
Sur la route, un peu de tout !!
Les photos de Christian Turcutto
Bonjour, voici les photos prises entre 1973 et 1976. Je roulais surtout sur les routes du moyen orient (Iran, Turquie, Syrie, Irak) sans oublier l’Italie et le Portugal et une partie de l’Europe (Angleterre, Allemagne, Autriche, Belgique…)
Sur les photos, on peut y voir des collègues comme Jean (avec sa barbe), Patrick Merle… et bien d »autres.
C’était le bon temps!
Quelques coupures de presse de Christian Turcutto :
Si l’évocation des mots Bedford, Ford, ERF, Foden fait surgir une petite chaleur dans le bas ventre, c’est que vous aimez les camions moches mais costauds et que vous aller aimer ces 17 nouvelles photos envoyées par Wim, Uwe, Samu88, Hekel67 ! Cliquez ici !!
http://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/142
Le ministre des transports de l époque (Georges Sarre, je crois, à vérifier) avait envoyé les chars pour tirer les camions qui bloquaient et on avait pu voir des scènes comme celles-ci .
A l epoque, Pierre voulait rouler et ça l’avait profondément choqué de voir un gendarme pointer un pistolet contre un conducteur Vialle.
C est pour ça qu’il a gardé cette photos, prise vers Feyzin.
Vous avez aimé l’histoire des transports Rynart, moi aussi.
Voici, l’épilogue de la saga Rynart en cliquant là :
Bonne lecture et oubliez pas vos passeports !!!
Le matin du 27 janvier 2018, Abdul met en route son Daf et sa citerne, à Ouagadougou au Burkina Faso. Destination, Tema le port pétrolier du Ghana pour y charger 45.000L de carubrants. Les papiers sont en règle, il faut demarrer.
Premiers kilomètres et premiers passages difficiles, et au passage, il croise un magnifique Scania 143
Premier arrêt indispensable, à la gare routière de Ouaga ou il rempli ses reservoir à ras bord à la Shell. Ici, le gasoil coute 526 f cfa soit 0.8019euro.
Après avoir pris le péage 8h 30 mn…. Enfin prêt pour la rase campagne direct frontières Burkina Faso. Ghana
Après quelques heures de conduite nous voilà au dernier poste frontaliers de la gendarmerie burkinabé, Douane burkinabé La dernière juste avant le Ghana.
Police burkinabé Dernière poste juste avant le Ghana
La traversée du dernier poste frontaliers du Burkina Faso police :
Dès ici mon nom est (freshman)ET un minimum d’anglais es souhaiter pour tous camionneur étrangers
L’essentiel est de se faire comprendre
Bienvenue au Ghana
Douane et police du Ghana ; en n’attendent le laisser passer de la douane du Ghana une pose s’impose …pas de parking pour les camions entrant donc bien serré au bord de la route …(park well )
Tout est en règle :
Première ville du Ghana : Paga Signification de Paga en langue locale =crocodile sacrer et ça existe !!!
Après savoir attendu plus de quatre heures à la frontière, Pour un laissée passer Délivrer par la douane du Ghana enfin prêt pour le Ghana profond Mais Ils fait déjà tard 19h36mn ici donc un bon bain, Un bon repas suivi d’un bon dodo n’est pas à refuser La suite c’est pour demain matin bonne nuit !!!
28/01/2818 deuxième jour de mon parcours Déjà à 5h j’étais sur pied Le toilette, Un petit café et un peu D’echange de f cfa en cidis la monnaie du Ghana je pouvais commencer à rouler directions kumassi. Des Check point de la douane vu de ma cabine Je reconnaît que après l’obtention du laissé passer délivré par la douane du Ghana à la frontière, pour les check point ça va pas vite.
Mais la traversée de certaine ville reste un peu compliquée Quand le taxi et le routier doit faire ami ami c’est souvent pas facile, ici c’est Kitampo.
Après 725 km parcouru Me voilà enfin à kumassi….21h 00mn ici.. La suite c’est pour demain matin bonne nuit
Le 29/01/2018, comme c’était prévu l’escale à kumassi était dans le planning depuis Ouagadougou…. Donc ma journée d’aujourd’hui consistait à suivre le bon déroulement des réparations qui était plus axer sur les systeme de freinage…… Garniture des fer à dos de la semi, patin du disque du tracteur et quelques serrage de part et d’autre bref la journée d’aujourd’hui n’a pas suffit à gérer le tous donc je reste encore pour une deuxième nuit à kumassi… La suite c’est pour demain matin
Pour ma journée hier Rien de concret, juste attendre le mécano qui a passé toute la journée d’hier à chercher pour achat des tambours de la semi et ce n’est qu’aujourd’hui dans l’après-midi qu’il est enfin revenu avec 5 tambours neufs pour remplacer les vieux usés qui servait de frein depuis 1993…… Maintenant prêt à reprendre la route direction Tema pour mon chargement.
Le 01/02/2018 pour cette journée déjà à 3h je Quittais kumassi pour Tema. Et à 10h je traversais la ville d’Acrra réputée pour ses bouchons interminables et ces marchands ambulants qui profitent de ces bouchons pour se faire un peu d’argent avec les automobilistes. Et à 11h30mn je t’ai bien garé dans le parking de tema, bon de chargement déposé …. Maintenant tous ce que j’ai à faire, c’est de m’ armer de patience en n’atendent mon tour pour le chargement.
02/02/2018 Pour cette journée déjà à 7h le chargement commençait à tour de rôle et ce n’est que vers les 10h que j’avais accès aux poste de chargement…… Le chargement dure juste une heure donc à 11h30mn j’étaisi encore garé au parking mais cette fois ci bien charger de 45000 litres d’essence . maintenant j’attends les papier pour pouvoir enfin reprendre la route direction Ouagadougou.
Le 03/02/2018 Ma journée d’aujourd’hui commença vers 3h du matin pour une circulation plus fluide à Accra… vers les 11h30 gros bouchon à kumassi et il a fallu Deux heures pour traverser la ville, puis cap sur thakiman et titampo.
18h bien garé dans un petit village du nom de (babato) pour la nuit… Ils me reste encore près de 400km pour atteindre la frontière. La suite c’est pour demain matin bonne nuit.
Pour cette journée du 4 fevrier,a 04h je quittais babato et vers 10h je traversais (tamale) l’une des grandes villes du Nord Ghana. Mais juste 30km après tamale,un peux crevés et il a fallu 1h pour réparer… Et à 21h21mn Bien garé à la douane de Paga, la traversé c’est pour demain matin pour un pays plus francophone…
Le 05/02/2018 la journée commence par un réveil un peu tard (7h)car l’administration du Ghana commence le travail à (8h). Déclaration en douane et salle d’attente 8h30mn, et vers les 11h ont traversait la frontière.
Et à 12h bien garé à la douane burkinabé pour les formalités d’usage.. Maintenant tous ce que j’ai à faire es de patienter en attendant le convoi sur ouaga.
Des photos prises à la douane de Daloa ville frontalière du Burkina Faso
le 06/02/2018 8h00mn enfin libéré par la douane du Burkina Faso, un grand convoi de plusieurs camion sous bonne escorte douanière Direction Ouagadougou. Une heure après ont traversait la ville de (Pô), Et 30mn après la ville de Pô je payais le péage.
Et vers les 11h30mn ont pouvait enfin voire la ville de Ouagadougou
Mais pour nous citernier du Burkina Faso, voir la ville de Ouagadougou n’est pas synonyme de bien garé ils faut traverser la ville et ressortie de la ville vers l’ouest et parcourir encore 40km avant d’arriver au dépôt de la sonabhy situer à (bingo) petit village à 40km à l’ouest de Ouagadougou.
Donc à 13h30mn bien garé au dépôt de la sonabhy, à n’attendant mon tour de dépotage, repos de quelque jours à la maison car c’est selon l’ordre d’arrivée des camions.. La vidéo c’est la ville de Ouagadougou..