Berliet GLB 5R à vendre

Romain vend son Berliet GLB 5 R , moteur tournant , se déplace par ses propre moyens , freins fonctionnels , cabine relativement saine , plateau bois à refaire , chassis extra long (7m) , pas de carte grise . Prix 500€ , à prendre sur Perpignan avec un porte char.

Contact  : 06 10 51 75 24

 

 

Hommage aux anciens, Marius Chauzal

Le grand-père d’Adrien26, Marius a été chauffeur chez Ladreyt, il a pu retrouver certaines de ses photos.

Les transports Ladreyt ont été crée en 1902 par Célestin LADREYT. Cette société plus que centenaire n’a cessé de se developper dans des domaines variés du transport tels: le déménagement, le stockage, la location des boxes, et le garde-meuble.

Détails techniques : Philippe Derruder

Transports Allemand – Rumilly (74)

L’histoire des transports Allemand remonte au début du siècle dernier.

Etroitement liée au developpement économique de la haute Savoie, cette société sera revendue dans les années 90 à Bourgey-Montreuil. Une fois n’est pas coutume nous vous presentons d’abord les photos les plus anciennes, qui ont été recueillies grâce à André Chevrier et Jean-Loup Ferlay, superbes images que nous avons plaisir à vous faire partager. Merci à Luc, pour son coup de main !

Nous esperons vivement que bientôt, nous pourrons étoffer ce dossier, n’hésitez pas à nous contacter !

Christhain CATHELIN par l’intemediaire d’André Chevrier nous a fait parvenir sa collection de photos concernant la maison Allemand, et nous le remercions vivement!

Les photos du Julien

Tracteurs en Weppe 2018

C’est à l’initiative de l’association TEW (tracteurs en Weppe) que s’est déroulé sous un soleil magnifique l’édition 2018 dans la proche banlieue Lilloise. Elle attire de nombreux visiteurs curieux de découvrir les matériel agricoles du passé. L’occasion pour les plus jeunes de voir comment se passait le travail dans les campagnes autrefois par le biais de diverses animations.

L’exposition réunit aussi pas mal de camions anciens, restaurés par des passionnés.

Pas d’hésitations, cliquez – ici pour découvrir les magnifiques photos de Luc !

KODAK Digital Still Camera

Mise à jour BERLIET

Histoire de bien terminer ce magnifique week-end ensolleillé, une bonne et belle mise à jour BERLIET, avec 26 nouvelles photos signées, Uwe, ChrisNL, samu88, Xavier !
On clique ici et faites de beaux rêves !!

Transports BOUVAREL

Réalisé par Kinoroute et SMX.

Un grand merci à Jean-Loup et Christophe Bouvarel pour nous avoir si gentiment reçus.

Photos : Famille Bouvarel, Bernard Romanat, Jean-Pierre Clément, Madame Collin, et SMX.

Textes : J-L Bouvarel et SMX.

 

 

Collecte des photos et buveur de cafés  : Kinoroute

L’ entreprise de transports Bouvarel a été créée en 1933 par Mr Gaston Bouvarel. Le départ de l’activité transports s’est fait par l’acquisition d’une remorque bétaillère pour l’acheminement du bétail. Gaston Bouvarel conduisait lui-même son véhicule. Il embaucha pour l’aider divers conducteurs, dont Mr René Robert qui lui resta fidèle toute sa carrière puisqu’il prit sa retraite au delà de 65 ans, après avoir travaillé près de 40 ans au sein de l’entreprise.

Avec le développement de l’industrie, le transport s’est développée avec elle. C’est alors que sont apparues les semi-remorques. Avec l’arrivée de son fils Jean dans la société, l’entreprise a prospéré. Avec l’apport d’industries dans les régions Valentinoise et Romanaise, de représentants travaillant pour diverses sociétés qui l’alimentait en fret, les axes de transport se sont portés sur la région Parisienne, le Nord, et surtout la Bretagne (spécialité à cette époque de l’entreprise) qui comptait à ce moment là bon nombre de conserveries alimentaires. Les véhicules chargeaient dans la région, livraient et rechargeaient en conserves pour alimenter les grossistes, qui eux-mêmes approvisionnaient les commerces de proximité nombreux en ce temps là. Les grandes surfaces n’existaient pas.

Les chargements et déchargements se faisaient à la main, les moyens modernes tels qu’élévateurs ou transpalettes électriques étaient très peu répandus. Les entretiens des véhicules s’effectuaient sur la Place St Pierre où Gaston Bouvarel possédait un café, ou dans la rue par Mr Romanat (les bureaux de l’entreprise se trouvaient à côté du dit café). L’entretien carrosserie s’effectuait chez Mr Descombes Rue Victor Faisant, où pour pouvoir rentrer avec un ensemble routier, il fallait être un conducteur chevronné.

L’acquisition d’un bâtiment servant de garage et d’un autre servant de petit dépôt succint (se situant où se trouve actuellement l’usine Vuitton ont servi d’outil de travail pour déposer les marchandises et faire l’entretien des véhicules un peu plus confortablement (si on peut le dire ainsi). Le travail mécanique était assuré toujours par Mr Romanat et son fils Bernard qui exploite depuis toujours à la suite de son père un garage automobile Rue Danthony à St Donat.

Les Transports Bouvarel utilisaient en complément à Charmes / Herbasse un quai prêté par un conducteur, Mr Jean-Pierre Ginot, ce qui facilitait grandement la manutention des marchandises puisqu’il y avait la possibilité d’y faire rouler des chariots, d’abord à main, puis plus tard électriques.

Le temps passant, l’entreprise personnelle s’est transformée en société et a continué doucement son développement. Les axes ont changés, la Bretagne petit à petit a disparue de son champ d’action pour laisser place à d’autres destinations, définies par de nouveaux clients.

En 1980, l’acquisition d’un terrain en zone artisanale a permis la construction de locaux neufs comprenants un garage, un quai de déchargement ainsi qu’une station de lavage et a donné la possibilité de regrouper tous les véhicules sur un même site.

 

En Septembre 1997, l’entreprise a rejoint le groupe Bert basé à St Rambert D’Albon d’où est gérée l’exploitation, toujours par Christophe et Jean-Loup.

Le dépôt de St Donat reste en activité, les quais et le parking sont toujours utilisés, alors que l’atelier est lui fermé, ainsi que la piste de lavage et le bureau.

En 2007, les Transports Bouvarel comptent 31 chauffeurs : 12 en zone longue, 7 en zone courte, et 12 en relais sur une ligne.

Jean-Loup Bouvarel.

Transports DEBEAUX

Durant près de 80 ans les camions des transports Debeaux ont sillonné les routes d’Europe. C’est avec émotion que Roger Debeaux nous a résumé cette épopée du transport routier français.

Ce dossier n’aurait sans doute jamais vu le jour sans la précieuse aide de Jean Dejean, qu’il en soit une nouvelle fois remercié, un grand merci également à Robert Chastang, Luc, Lilo et à ceux qui voudront bien chercher dans leurs archives les photos à venir des transports Debeaux…. Merci également à Tony, Laurent, L’Ardechois, Caroto, Alex, Alain…

Si vous souhaitez ajouter des photos sur ce dossier, n’hésitez pas à nous les faire parvenir, par mail : sitefdr@gmail.com ou courrier postal.

Dès la sortie de la première guerre mondiale, Joseph Debeaux démarre une activité de transporteur, il fonde sa société dans son village, à Livron dans la Drôme aux portes de la Provence. Son activité se résume à des transports de matériaux et de mâchefers pour le compte du chemin de fer, il circule ainsi sur sa commune avec ses 3 chevaux et 2 chars.

En 1920, les chevaux rentrent aux écuries, et le premier véhicule de la société entre en scène, il s’agit d’un vénérable Saurer essence, avec des roues à bandages et à transmission à chaîne. La cabine est ouverte à tous les vents, fort de ce véhicule, il diversifie sa clientèle, tout en maintenant ses activités en transports de matériaux. Très vite un Berliet CBA équipé d’une benne à manivelle vient renforcer la flotte, afin d’effectuer d’importants travaux de voirie sur la commune de Livron. Joseph, quant à lui, ne tiendra jamais le volant d’un de ses camions.

Durant la seconde guerre, les camions sont réquisitionnés par l’armée Allemande, basée à Mallissard petit village à l’Est de Valence. Ainsi, Roger l’aîné, et Pierre effectuent durant la journée des transports pour le compte des Allemands, essentiellement, des transferts de troupes ou d’ouvriers à l’aide de laissez-passer. Ils en profitent pour noter les points minés et autres pièges tendus aux résistants, qu’ils approvisionnent en vivres, la nuit sur le Diois et le Vercors, et leur transmettent les informations recueillies la journée. Ils prennent d’énormes risques, mais la jeunesse et la motivation du maquis fait le reste.

L’histoire s’accélère :

A la démobilisation, l’entreprise reprend le cours normal de ses activités. Le parc est agrandi en faisant largement appel aux camions rachetés au domaine, et le parc est des plus hétéroclite : GMC, Panhard, Mercedes et Renault. C’est à l’époque le garage Pinassaud qui vielle au bon fonctionnement de la mécanique, soumis à rude épreuve, les transports se sont diversifiés, les camions tournent avec du transport à la demande et son chargés avec des marchandises les plus diverses, beaucoup de fruits de la région, et retour avec des jus de fruits, et bien entendu, les matériaux, engrais ; Le rayon d’action reste régional, voire grand régional. Avec l’arrivée des GLR Berliet, Debeaux effectue alors au début des années 50, 2 allers retours en primeurs entre St Malo et Livron dans la semaine. Un attelage camion-remorque GDR faisait du Paris en messagerie, il laissait sa remorque aux Messageries Nationales à Paris, et partait vider le porteur sur Rouen. Equipé en gazobois, ce véhicule emportait une trentaine de sacs, mais il fallait réapprovisionner en route ! Avec 125cv, il ne fallait pas compter ses heures. Il y a alors une petite dizaine de chauffeurs, et Roger s’occupe des rechargements depuis le bureau de la maison familiale.

Au milieu des années 50, l’entreprise déménage au Nord de Livron, et l’entretient est désormais réalisé par des mécanos et carrossiers « maison ». Dans le même temps l’entreprise grandit, et se diversifie, elle reprend une petite entreprise de 2 camions avec leurs chauffeurs qui desservent Le Diois au départ de Beaucaire ou St Etienne pour Casino ; Ils reprennent aussi Fauriel, grains et fourrages. En 1959, afin d’augmenter la charge, Debeaux achète ses 2 premières semi-remorques tractées par de superbes TLR Berliet, qui sont affrétés pour Vacher de Romans. L’entreprise se développe alors sur l’international avec un UNIC 150cv Camion-Remorque pour convoyer des « métiers » à destination de Berlin, ils rechargent du fil en Belgique pour St Clair de la tour (38).

A l’assaut de l’Europe :

Un coup d’accélérateur au développement de la société sur l’international est donné dès l’arrivée massive des TR250 cabine « Relax » qui desservent alors la Suède, la Grande Bretagne, l’Italie. Tous les samedis, ce sont jusqu’à 15 camions qui montent simultanément en direction de l’Angleterre chargés avec des pommes. Dans le même temps, Volvo avec ses fameux F88 pointe son nez sur le parc très vite suivis par les TR260.

 

La maison Debeaux développe aussi ses trafics en pulvé, d’abord avec des « tétines » pour le transport de ciments, puis avec les premières pulvés à vérin, puis en reprenant les transports pulvé Fraysse, la société affiche un bon nombre d’ensemble, ils assurent 10 rotations par semaine pour SIPLAST entre Mondoubleau et Livron. Les bennes ne sont pas en reste sur la longue distance, ils chargent du riz vrac en Camargue qui est alors emballé en Italie.

Quant aux bâchés, ils rechargent souvent du plastique en Belgique ou des patates dans le Nord, pour toute l’Italie. Afin de mieux optimiser les retours, une entreprise est reprise à Armentières, et une à Rouen.

Au début des années 80, les transports Baboin de Serves/Rhône, spécialisés en benne, passent sous le giron Debeaux, ainsi que les transport Jury, quant à eux, spécialisés en transports de produits chimiques développe l’activité de l’entreprise dans ce secteur, les destinations finales sont souvent fort lointaines du paisible village de Livron, puisqu’on pouvait croiser des « Bleus » jusqu’en Pologne, Roumanie, Finlande etc…

Le parc se modernise, les TR280 sont remplacés par des R310, puis 340, arrivent aussi des Volvo F10, IVECO 190-30, G290 Renault etc… Dans le même temps, une politique ambitieuse est mise en place pour diminuer la sinistralité, les conducteurs doivent respecter le 80, et sont payés à l’heure, ce qui est loin d’être courant à cette époque.

Dans la continuité de Roger Debeaux, c’est Bernard Jouvet qui prend les rennes de l’entreprise et ne cesse de la développer, la notoriété de l’entreprise n’est plus à démontrer, les changements de véhicules sont alors nombreux et rapides. Malheureusement, Bernard décède dans un accident de la route en Espagne, alors que la société devait se développer et s’implanter dans le pays.

C’est le groupe Transalliance qui reprendra le flambeau, en 1993, l’entreprise compte alors 500 tracteurs, 600 semi et pas loin de 800 employés.

2018, Repas des anciens Debeaux, plus d’infos cliquez ici

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Les Cavaliers de la route

Un moment de détente avec un épisode des Cavaliers de la Route, délit de fuite !

L’occasion de voir de belles images de la N6 et de magnifiques camions d’époque. Mais tout est bien qui finit bien !!

Mise à jour Berliet

Si comme moi vous avez un faible pour la marque à la locomotive, alors vous allez kiffer sa mère cette mise à jour BERLIET qui arrache tout avec 23 superbes photos d’époque envoyées par Domi81, Uwe, ChrisNL, Hekel67, Pat56, MichelCosolo !
Pas une seule nanoseconde à perdre et cliquez ici !