Je voulais rendre hommage à mon pere Aimé, plus souvent appellé Mémé ou Sandalette (regardez ses pieds..), qui fut chauffeur durant toute sa carriere, dans des entreprises comme Dentressangle(26), Ramel (01), Sciaqua(84) ou encore Chatain(26). Il est à la retraite depuis une petite dizaine d années. C’est grace à lui que j’effectue ce metier avec passion depuis 20 ans déjà !
C’est dans les années 50 que nait la société Georges Dentressangle, en ardèche, à Vocance.
Les camions, bleus à l’origine, opèrent en grand régional et transportent principalement du coke en benne. C’est sous l’influence de Mr Faure concessionaire Berliet que Georges Dentressangle installe la société à St Vallier pour se rapprocher de la Vallée du Rhône en 1964. Ce qui est bon pour le transporteur est forcement bon pour le concessionaire de camions qui lui cède un terrain mitoyen au sien, sur lequel on trouve aujourd’hui une zone commerciale à la sortie nord du village.
L’essor escompté n’est pas immediatement au rendez-vous, et les Dentressangle ont du mal à joindre les deux bouts dans un monde de requins. L’activité du transport de Coke n’est pas au beau fixe, il faut se diversifier.
En 1979, Norbert Dentressangle prend les renes de la société et son nom s’affiche en blanc sur fond rouge sur les camions. Thérèse, sa mère restera encore de longues années au recrutement des conducteurs. Au début des années 80, les transports Dentressangle se specialisent dans le transport de pommes vers la Grande Bretagne et les clients ne cesseront de se multiplier. Les rachats d’entreprises et surtout le portefeuille de clients. De petite société familiale regionale, ND passe assez vite au rang de grand groupe européen et avale tout sur son passage.
Il comprend très vite qu’il faut proposer des solutions au clients et se lance aussi dans la logistique, en offrant une prestation « globale ». L’entreprise entre en bourse en 1994. Après l’absorbtion de Christian Salvesen et TDG, ND agit en situation de quasi monopole en Europe, ce sont près de 12.000 camions qui roulent aux couleurs rouge. En 2015, XPO, un discret opérateur americain s’offre Norbert Dentressangle pour la somme de 2 milliards de $…
Le nom disparait petit à petit des attelages au profit de XPO, il était donc temps de creer cette page ou nous avons essayé de trier les nombreuses photos de toutes époque triées par marques !!
C’est toujours les meilleurs qui nous quittent en premier, ce dossier rend hommage à Patrice Rose, disparu au début de l’année 2018.
Mon gout pour le métier m’est venu grace à mon oncle qui était chauffeur à la STIP à Rouen. Il roulait avec des Willème. Je profitais de mon jeudi de libre pour l’accompagner (quand il était d’accord).
J’étais attiré par la route, la liberté, j’avais envie de voyager et ne pas avoir de chef sur le dos.
J’ai commencé à rouler à l’armée en 1965.
Dans le civil, j’ai commencé par faire de la messagerie avec un Saviem SG2, puis un Mercédès 1319 ou je faisais du Annecy- Chambery. Durant cette période je ne pensais qu’à une chose : partir loin. Un beau jour, mon patron me fait remplacer un collègue pour aller en Grèce. Moi qui n’étais jamais sorti de France, j’étais partagé entre deux sentiments : la joie de partir et l’angoisse du trajet. Finalement, je suis tombé sur des gars super qui m’ont mis le pied à l’etrier.
Après ce voyage, j’ai vraiment commencé à aller loin. Ce n’est pas finalement le nombre de kilomètres qui me faisait plaisir, c’était avant tout l’ambiance, la fête et les copains.
Voici la carte d’Europe ou figurent les endroits les plus éloignés de chez moi (St Bonnet-69) ou je me suis rendu en camion :
A Kirkaldy (GB) j’ai livré du plastique.
En Suède, je ne me souviens pas du nom de la ville, c’était à 200km au nord de Malmö, j’y ai livré de la poudre de fer.
COIMBRA (P) J’ai livré des balles de coton qui venaient d’Italie.
MOSCOU (RUS)J’ai livré des éléments de stockage pour un entrepot L’Oréal en construction.
A BASSORA (IRAK), J’ai livré des cuves vides.
Quelques combines de linards :
On achetait en France des revues pornographiques, on les revendait 10 fois leurs prix aux philippins qui travaillaient sur les chantiers en Irak.
En Yougoslavie on échangeait du café contre les faveurs des filles yougoslaves. On l’achetait 20 Frs le Kilo, il valait 450 Frs la-bas. Ceci explique cela.
En Irak, on allait dans les chantiers Dumez. A la base vie, on prenait 800 litres de gasoil que l’on échangeait contre une bouteille de pastis. Arrivés en italie, on encaissait la différence en liquide avec la carte de gasoil.
Mes débuts en camion avec un GMC.
En Yougo avec mon pote Yvon, qui est chez RIAND
En haut du col, en allant sur Kalamata (GR), dans le Péloponèse. J’ai coulé une bielle, je laisse refroidir le 88.
A Nîs, je suis bloqué à cause des touristes (les allemands à moustache). Je fais la gueule.
Mon F88, en Grèce, avec une semi qui n’est jamais allée en Iran avec moi.
Pause café à Théssalonique (GR), gueule de bois de 3 jours!
Chargement de conserves de fruits pour la france : Le Grec me charge, seul, en une 1/2 journée 800 cartons de 20kg. A Marseille, il faut la journée complete pour decharger avec 10 bonhommes.
Au port du Pirée (GR), je rebache.
Mon pote le Yéti au Londra Camping. (TR)
Chargement d’accoudoirs de fauteuils pour BUT, en Yougo.
Mon DAF et moi, entre Zagreb et Belgrade. (YU)
Dans la neige en Yougo, 5 jours plus tard il faisait 30° à Bagdad.
Adana en Turquie.
Le Londra Camping, en plein effort, avec le Yéti.
Déchargement de peaux de vache à Istambul (TR) dans le quartier des tanneurs, et ça pue.
Bloqué en Turquie avant le col du Bulu. -30°.
Grosse chaleur, pause café avec des Chauffeurs Suisses de chez Friedericci.
Un fort en Irak.
Déchargement à l’hopital de Bagdad. Pour trouver le chantier, un taxi me fait faire 3 fois le tour de la ville. Je refuse de payer, et c’est le directeur de l’hopital qui paye la note.
Station service avec cireur de chaussures.
A Douvres avec cet Iveco-Unic, je fais de l’Espagne Italie Portugal.
En 1984, je rentre chez Norbert Dentressangle, c’est à cette période que je rencontre Alain26.
Mon unique dimanche bloqué en Angleterre avec mon superbe G290.
Mon R340, avec mon chien, à la maison.
Avec ce Volvo, je fais Angleterre-Italie.
Enfin au volant d’un VRAI F12!!!!!
Moscou : Le dépot provisoire de l’Oréal.
La Place Rouge.
A la douane de Moscou, c’est franchement crado.
Toujours à la douane, avec des Tchèques.
Le Globetrotter, d’un collègue qui nous a accompagné jusqu’à Moscou, lui continuait bien plus loin…
Une gare routière, en Russie.
Lors de mon voyage au Québec.
Un couscous pour feter les retrouvailles avec Alain26, Brigitte (la femme à phil26)et Nelly (la femme à alain).
Les éléments étentiels pour réussir la traversée du Moyen-Orient, des papiers en règle, et le bakshish au milieu du passeport. Quand on a compris ça, on a tout compris.
Mes amis de la route…
parking du telex hotel à Ancara au petit matin avant le depart
Les rhonatrans que tout le monde enviais secrètement ils passaient peut-être dix jours à attendre que leur semi soit vide Le comité d’accueil Français au Londra en quelque sorte (a suivre)
Irak Fallugah : dans la chaleur et la poussière qui se glisse partout , plus les mouches dans la journée les moustiques voraces la nuit
Depart le dimanche matin après une dure soirée avec les copains , ici en Slovenie
Avec Mr Plaisant la pause café en Yougo Je suis avec le nouveau T-chirt du Londra (pas peux fière le mec) et blouson en direct du souk
Enfin un peut de fraicheur soirée cool au Londra avec les rhonatrans: de face Denis dit « le cowboy » , loulou , moi et un gars de chez lompech*
petite pause sur une plage en Grèce sur la route du retour
Londra Istambul :les femmes et les hommes out les monde à faire la bouffe j’ai masquer le visage des femmes (surtout la mienne) pour ne pas avoir d’ennuis avec les divorces et les droits à l’image
Tous ne rentraient pas à la maison
En ballade au grand bazar à Istambul
principale occupation au Londra : La BOUFFE
Memorable voyage de ma fille pour ses quatorze ans nous avons fait un tour au Bazar !!!!
De passage au Canada je fais la differance entre ce bijoux et la cabine de mon G290 Duplex à part la couleur !!!
D’autres souvenirs :
Chargement en vrac d’accoudoirs de fauteuils à Leskovac Yougo
Future autoroute !!! mais quand ???
Mon pote , Patrick l’Irlandais
Bouchon en Yougo (encore un accident)
La région des Météors en Grèce
leur seul bien pour toute la famille
Serge (dit Bouboule) qui en ce moment à de gros problèmes de santé ( je pense bien à toi et je salut ton courage)
Un instant de détente à Kavala (GR) de face Vagabond de dos le Mongole
Pause détente à la frontière Bulgare-Turc , avant la ruée vers les bureaux de douanes
Istanbul
Une pose au Londra de face Loulou et Richard (aujourd’hui disparu) les Rhonatrans et un Lompech
La sortie de Belgrade , la chaussée était déformée = résultat
Quelques épouses au Londra
Attention aux fous (ravitaillement en carburant pour l’Irak privé de pipe-line pour cause de guerre Iran-Irak)
Après une dure soirée , le réveil !!!
Parking carré en Yougo , ici avec « gueule Brûlée » la locataire des lieux
Un instant de solitude
Discussion entre ceux qui y vont et ceux qui en reviennent sur l’état des routes , les monde en douane et les nouvelles des copains
Ouvriers Turc , la corvée de charbon (tout à la main comme les Romains)
A droite un routard de retour d’Afganistant en stop ,à gauche un Carry (chercher l’erreur??)
Il faut remonter en 1845 pour trouver les origines de cette entreprise, c’est en effet à cette époque que Jean Frappa crée son atelier de charronage à St Symphorien de Mahun en Ardèche, s’en suivra une seconde génération de charrons.
En 1924, Léonce Frappa, formé chez Floirat à Paris et artisan, reprend l’entreprise familliale et s’oriente logiquement vers la carrosserie : L’entreprise TUBACIER (Carrosserie Frappa) est née.
Léonce Frappa
Il déménage alors sur Annonay (07) berceau des transports, ville emblématique en matière d’innovation, qui vit naître la première montgolfière et les inventions de Marc Seguin comme le premier pont suspendu ou le premier bateau vapeur en 1825, le fameux moteur Gnome, moteur d’avion aux célèbres records mondiaux, ou encore les célèbres autocars de l’entreprise Besset devenue RVI et actuellement IRISBUS.
Le lieu est idéal et TUBACIER s’y fait une place de choix. Pendant la guerre, l’entreprise dépose un brevet et monte des gazogènes sur des voitures et des camions.
Nous voilà en 1946, cela fait déjà un siècle que les générations Frappa se succèdent. La période d’après-guerre est propice aux grandes réalisations, l’entreprise décide alors de construire une usine, tout près, à Davézieux (07), une usine qui étend ses entrepôts peu à peu et qui réalise tout ce qui se fait en matière de carrosserie.
Il faut compter à l’époque, pas moins de 4000h de travail pour réaliser un « Bernard ». Un véritable travail d’orfèvre où chaque ouvrier à sa spécialité. Chaque pièce de tôle est façonnée avec un art dont chacun garde jalousement le secret.
Bâti sur une Peugeot 203, ce corbillard est un véritable chef d’oeuvre
La caisse de cet autocar sur base d’un chassis Bernard a nécessité des milliers d’heures de travail, tous les éléments de carrosserie sont réalisés à la main, les arrondis des ailes sont façonnées entièrement au marteau.
Même si nous y pensons rarement, les techniques frigorifiques sont extrement importantes dans ce type de transport.
Le transport de viande froide bénéficie lui aussi de l’immense expèrience frigorifique de l’entreprise Frappa :-))
Dans les années 60, l’usine voyait sortir de ses ateliers un véhicule par semaine, soit une cinquantaine de véhicules par an. A l’époque, il n’y avait pas de devis et le week-end, on fêtait allègrement avec les clients, la sortie d’usine du véhicule. Bien que ce soit leur jour de repos, les ouvriers étaient présents pour l’évènement et les pourboires qu’ils recevaient alors, leur permettaient de partir à la mer. Inutile de préciser qu’à l’époque, les clients étaient généreux.
En 1963, TUBACIER devient FRAPPA, et c’est en 1965 que Francis Torre, gendre de Léonce Frappa, intègre l’entreprise. Son beau-frère dirige l’atelier et lui apprend le métier. L’énergie et l’ambition de la jeunesse lui font entrevoir de nouvelles opportunités et perspectives pour la société, Léonce Frappa a alors 66 ans, il passe donc le flambeau à ce gendre ambitieux et prometteur.
Francis Torre
Jusqu’alors les carrosseries Frigo étaient montées en tôle et laine de verre sur Chassis bois, c’est en 1970 que Francis Torre, visant la pérennité de l’entreprise, décide alors de la spécialiser dans le frigo polyesther : C’est le passage à l’isotherme.
Ce fût une véritable révolution au sein des ateliers, tant de savoir-faire allait se perdre, tant d’artisans aux mains d’or allaient subitement devoir laisser leur art si brillamment maitrisé, pour s’initier à de nouvelles techniques. Le pari était pour le moins périlleux et cette reconversion ne se fit pas sans grincement de dents. Mais il fallait savoir anticiper les besoins et assurer l’avenir, les employés eurent vite compris où était leur intérêt et se lancèrent donc dans l’aventure de la formation à cette nouvelle technologie.
Rehausse de toit pour ce G260 des déménagements Hermann
Rehausse de toit pour ce G260 des déménagements Hermann
Une bétaillère sur chassis Bedford
Julien Torre
En 1997, Francis Torre bien que toujours présent au siège de l’entreprise, a lui-même passé le relais à son fils Julien Torre Frappa, nous voilà donc à la sixième génération.
En 2001, l’entreprise se développe à l’internationale et voit la création de deux filiales : Frappa Italia et Frappa Maroc.
En 2005, la société a investi dans une nouvelle usine toujours à Davézieux, à 500m de la première, 18.000m² de batiments couverts, de quoi exploiter au mieux les possibilités et les compétences de l’entreprise qui compte à ce jour 120 employés. Il faut aujourd’hui compter moins de 200h de travail pour faire une semi.
Début 2007, les bureaux ainsi qu’une partie des ateliers ont déjà été transférés dans les nouveaux locaux. A terme, cette nouvelle usine devrait voir sortir de ses ateliers environ 4 véhicules/jour. A l’heure actuelle, Frappa, c’est: la carrosserie, la construction, la réparation et la location de véhicules industrielles frigorifiques, cette entreprise est aujourd’hui l’une des premières de sa branche.
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Les ateliers, le coeur de l’entreprise
Frappa est l’une des rares à posséder son propre atelier de fabrication de panneaux isothermes, on y trouve aussi un atelier de ferrage où l’on réalise tous types d’accessoires de carrosserie, un atelier de peinture, un atelier de fabrication plancher (pavillon et face avant), un atelier de montage, un autre de finition ou l’on s’adapte à chaque demande individuelle. Sans oublier, bien entendu, un atelier frigoriste ou l’experience de l’entreprise dans ce domaine, leur permet de réaliser le montage et la maintenance de tous types de groupes.
Mr Frappa en bleu à droite, au milieu le directeur commercial Mr Luquet de St Germain
L’atelier Frappa à la fin des années 30. Les ouvriers sont de véritables artistes, au savoir-faire jalousement gardé
Mise en place du toit d’un frigo à l’aide du palan.
Dans les années 80, on prépare un chassis TITAN, marque disparue aujourd’hui. Aujourd’hui les chassis des remorques sont en général des Merker, ou LECI Trailer.
On voit ici, l’épaisseur du « sandwich » de la cloison, qui a bien diminué de nos jours.
Sotrajimex
Sotrajimex
Sotrajimex
Sotrajimex
Sotrajimex
Le frigoriste maison, met en place un groupe Thermo-King.
Bien que la standardisation soit à l’honneur, les clients ont toujours des demandes très particulières, ici, un porteur Bi-température, équipé de rayonnages. Ce véhicule est l’héritier de plus de 100 ans de savoir-faire.
CARROSSERIE :
L’ensemble de la carrosserie est composé de panneaux de type sandwich qui isolent aussi bien du chaud que du froid. Le materiau utilisé est insensible aux influences chimiques comme mécaniques, au résultat, il n’y a aucun joint apparent, ni pont thermique et leur robustesse est considérable. Les planchers resistent aux passages intensifs des charriots élévateurs, les caisses correspondent aux normes les plus strictes en matière de règlementation frigorifique. Il existe également tout un tas d’options particulièrement bien pensées. L’entreprise Frappa tient compte des besoins spécifiques de ses clients et par son experience, s’adapte avec facilité à leurs demandes particulières.
On voit dans cette galerie, l’évolution de l’esthétique et du niveau de finition des véhicules.
La réalisation du camion remorque est sans doute l’une des plus contraignantes, mais aussi bien souvent la plus réussie esthéthiquement. Il faut jongler avec les règles des limitations de longueur et obtenir la plus grande surface de chargement possible. On rencontre de moins en moins de camions remorque sur nos routes, il y a aussi de moins en moins de conducteurs pour savoir les manier. Moins souples d’utilisation que les semi par les transporteurs, ils ont à notre grand regret une facheuse tendance à disparaitre.
Renault R340, Transports BUFFAT – Les Vergers du Val d’Ay
Scania 142 Bonaldi Fruits
Scania 142 Bonaldi Fruits
Volvo F12 Jean Veray
Renault AE Transports MANI
Renault AE Transports MANI
Un florilège de 130 semi-remorques de la carrosserie FRAPPA, beaucoup de transporteurs ont disparu ou changé de main.
Iveco Turbo 190-30 Transports Pratelli
Scania 141 et Scania 142 Mighirian
Scania 141 Mighirian
Renault R390 Mighirian
Renault R390 Mighirian
Mercedes 1935 MAS D’AUGE
Mercedes SK 1944 MIKO
Mercedes 1935 Navarro
Renault G290 Norbert Dentressangle aux couleurs de Jacques Onona
Renault G290 Norbert Dentressangle aux couleurs de Jacques Onona
Renault R340 Norbert Dentressangle pour la Compagnie Fruitière
Renault R340 Norbert Dentressangle pour la Compagnie Fruitière
Renault R340 Norbert Dentressangle pour la Compagnie Fruitière
Renault R340 Norbert Dentressangle pour la Compagnie Fruitière
Volvo F12 du Comptoir Rhodanien de Tain l’Hermitage
Yoplait
La Flèche Cavaillonaise
Iveco Turbo Transports Navarro
Scania 142 Zeraschi
Renault R310 Transports Navarro
Volvo F88 Labbey de Vienne
Volvo F12 Perin Pichon
Mercedes SK 1944 MIKO
Scania 141 Dumont
Porteurs :
VUL :
Les carrosseries « sportives » : Du Véhicule d’assistance pour rallye, en passant par des caisses préparées pour le DAKAR, Frappa a aussi équipé Michelin pour distribuer dans les meilleures conditions ses pneus lors des competitions automobiles.