Ambiance Espagne, 109 photos

Envie d’évasion, envie d’ailleurs et de vacances sans que ça vous coute un rond !? On a la solution, avec ces 109 photos Ambiance Espagne, signées Pierre-Eric, Mich07 ici, un clic, un café olé : https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/espagne

Une semaine 14 bien cool pour El Samu

Une semaine bien sympatoche et variée avec le Vosgien et son FH4b. Des photos bien choisies pour retracer le périple de la semaine 14, avec même un mini sondage que vous pourrez trouver ici, et oui, faut chercher, sur FDR on branche son cerveau ici : https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/au-fil-des-semaines

Felix 47 photos

Felix 47 photos https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/felix-2 En 1972 Félix López Cuéllar a acheté son premier camion pour transporter des produits alimentaires (principalement du vin, des jus, de l’huile, des produits laitiers) en Espagne et à l’étranger. Située en plein centre de l’Espagne à Socuéllamos (Ciudad Real). L’entreprise familiale croit à un bon rythme. A la fin 2023 Transportes Félix exploite une flotte de plus de 130 camions-citernes, compte plus de 150 employés. C’est Panalon le voisin de Vilarobledo qui reprend la société, tout en conservant les installations de Socuellamos

EXIT, 68 photos

Exit, 68 photos : https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/exit C’est au début des années 60 que commence l’aventure des transports EXIT. Originaires d’Alcoy au sud de Valencia, ils ont dès le départ accompagné les industriels locaux pour exporter leur production. La région d’Alcoy regorge d’industries et de fabriques familiales dédiées aux jouets, chaussures et autres articles ménagers. Proches aussi de Valencia, ils ont aussi rapidement misé sur l’exportation de fruits et légumes vers toute l’Europe. Aujourd’hui, l’entreprise est entrée dans le giron de la Espada, pour le meilleur ou le pire ?

Les transports Padrosa, plus que centenaire

Padrosa, 54 photos : https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/padrosa Plus que centenaire, l’histoire des transports Padrosa est des plus originales. Le jeune Pere Padrosa est employé par Benet Deusedes qui possèdes des carrioles et des cheveaux. Depuis toujours, la difference d’écartement des rails des voies ferrées est une bénédiction pour les transporteurs routiers. A l’aide d’une carriole il rejoint la gare du Boulou ou de Figueras ou il charge, paille et autres fournitures pour la Catalogne, principalement pour les militaires. A ses 15 ans, en 1923, Benet Deusedes, riche et veuf offre sa société à Pere Padrosa à la condition qu’il prenne soin du propriétaire jusqu’à sa mort.
Il change le nom de l’agence en « Transportes Generales Pedro Padrosa », et obtient à 16 ans le 26e permis de conduire de la province de Gerone. Il finit ainsi par se concentrer sur le transport du charbon de bois des forêts jusqu’aux magasins de Figueres ou par se charger exclusivement de l’approvisionnement des casernes militaires situées à Castell de Sant Ferran, que l’on longe sur l’AP7 aujourd’hui.
A la sortie de la guerre civile son parc de camion est des plus hétéroclytes et réparé avec les moyens du bord. Il élargit son rayon d’action vers le sud ou il charge des tuiles à La Bisbal d’Emporda et revient avec des vins et de l’huile d’olive. A la même époque débutent les premiers voyages internationaux vers la Belgique.
La frontière française reste un réel frein au commerce dans les années 50, Padrosa crée une société de transit : InterEuropa qui tente de faciliter les passages en douane. Mateu & Mateu, Tradisa, profitent également de ses services. C’est grâce à un mariage en 1961, que s’implante dans les Pyrenées Orientale une délégation Padrosa.
L’arrivée du carnet TIR en 1963, facilitera un peu les opérations douanières. Si aujourd’hui, tout le monde connait les grues et dépanneuses Padrosa, elles viennent de l’époque ou Padrosa avait en charge de récuperer des tracteurs agricoles en gare du Boulou. Le transfert vers les camions depuis les wagons n’était pas simple, une grue était bien plus appropriée même si les douaniers français voyaient d’un mauvais oeil cette grue immatriculée à Gerone.
Toutefois, la position hors EU, permet à Padrosa de livrer du materiel electronique, des téléviseurs jusqu’à Moscou dès les années 1970, une véritable prouesse. Parc et personnels ne cesseront de croitre pour atteindre 400 personnes dans les années 2000. L’ouverture de l’Europe vers l’EST sera toutefois fatale aux transports Padrosa qui cessent leurs activités de transport international en 2012 après un lent déclin, et se concentrent sur des marchés plus porteurs et variés. Grues, transports exceptionnels, et parkings sécurisé. L’aventure familiale continue !

Source elmercantil, historiatransportcat

Trota 110 photos

 Trota, 110 photos https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/trota C’est en 1958 que l’entreprise Trota démarre son activité à Lérida. Aidé par son père, Francesc Trota se dédie aux transports de fruits. La région de Lérida irriguée par l’Ebre, produit des pommes, des poires, des pêches qu’il faut bien acheminer. Le succès est au rendez-vous, le parc de camions grandit rapidement. En 1985, l’entreprise devient AT Trota, avec les couleurs que l’on voit toujours aujourd’hui. Très vite l’entreprise se tourne vers l’international. Les chargements autour dans les nombreuses cooperatives fruitières de la région se font avec des rippeurs, faute d’entrepôt logistique. Rendez vous est donné, dans un bar de la région avec le transporteur, et le rippeur guide le chauffeur, le charge, autre époque, autre méthodes.

En 2005, ils s’installent CIM Lleida et regroupent toutes leurs activités. Comme beaucoup de transporteurs espagnols, les effectifs explosent rapidement, avec des filiales en Roumanie. L’entreprise se spécialise également dans la logistique, les produits frais mais reste très présente dans les coopératives de la région de Lérida, toujours à capitaux familiaux. Elle est très impliquée dans la vie locale de Lérida.

Belzunces, 76 photos

Belzunces, 76 photos  https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/belzunces   Fondée par Antonio et Juan Belzunces dans les années 50 avec transport à l’origine d’amandes et de céréales. Au début, le transport était effectué avec un Pegaso 140, à l’époque le premier de la province d’Almería. Les premieres années de l’entreprise ont été avec 4  camions avec semi-remorques bâchées. En l’an 2000, une étape importante à retenir est le prix de « l’homme des transports de l’année » décerné par le sous-secrétaire du ministère des Travaux publics. Devenus spécialisés en transports frigorifiques, 60 ans plus tard, c’est toujours un Belzunces à la tête de l’entreprise forte de 120 attelages aux couleurs imanquables.

El Mosca, 131 photos

El Mosca, 131 photos    https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/el-mosca   El Mosca compte aujourd’hui 1200 véhicules et emploie autant de personnels, repartis sur toutes l’Espagne, le Portugal et le Royaume-Uni. Leur aventure a débuté pourtant bien modestement au tout début de la sinistre guerre civile espagnole en 1936. El Mosca est alors fondée à Molina de Segura par José Antonio Hernández et Fuensanta Castellón. Equipés, d’un chariot et d’une mule, ils chargent des marchandises diverses entre Molina et Murcia, distantes d’une quinzaine de kilomètres. Ils sont très vite épaulés, dès leur plus jeune âge par les enfants de la famille, et suivent l’évolution des producteurs de fruits et légumes locaux. Après des années d’efforts et de lutte, le premier vrai  camion de la société est acheté en 1960, un camion de 8t, qui leur permet de desservir un secteur géographique plus vaste en Espagne. Devenus de vrais ambassadeurs de la région Murcienne, ils se concentrent sur l’activité des fruits et légumes frais et des conserves. Dès 1975, ils ajoutent une corde à leur arc en proposant à leurs clients des liaisons vers les îles Baléares et Canaries Il faut attendre 1992, pour que El Mosca, passe les frontières, puis se concentre quelques années plus tard sur le transport frigorifique international de fruits et légumes, avec la création de Mosca Murcia (avec sept  camions) et Mosca Marítimo. Avec la 3e génération, l’entreprise se consolidait dans le secteur du transport et du stockage de marchandises à travers sa division terrestre, qui couvre à la fois le territoire national et l’Europe, et maritime, qui couvre les entrepôts nationaux, internationaux et douaniers ; la division aérienne, quant à elle, a été lancée en 2019. GO GLOBAL !

Campillo Palmera, 123 photos

Campillo Palmera, 123 photos     https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/campillo-palmera    Les frères Campillo achètent leur premier camion en 1954. Installés dans la banlieue de Murcia, ils se tournent logiquement vers les transports de fruits et légumes dont la région regorge. En 1963, ils sont les premiers espagnols à débarquer à Dublin en Irlande. Comme beaucoup de transporteurs espagnols, les couleurs de leurs véhicules restent toujours les mêmes et ne font pas la fortune des graphistes de la région ! Avec le temps, ils ont diversifié leurs activités, groupage, stockage et ouverts quelques agences, à Sofia, Tanger et Vicenza. Régulièrement, on ajoute des photos dans cette rubrique, si vous en avez, n’hésitez pas !!!

Luis Simoes, 128 photos

Luis Simoes, 128 photos   https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/luis-simoes  Alors adolescent Luís Simões transporte des fruist et légumes avec une carriole dans les années 30 sur les marchés alentours de Lisbonne. En 1948, il obtient son permis de conduire et achète son premier  camion Dodge et très rapidement, il diversifie son activité avec le transport de materiaux, puis de céréales en vrac au début des années 60. L’entreprise familiale devient un acteur important du transport Portugais. Dans les années de la révolution, l’entreprise opte pour la location de véhicule afin de mieux adapter sa flotte à la demande de la clientèle, lui permettant de coller aux plus près au marché local, une division transports exceptionnels est aussi crée. Une grave crise de la construction touche le Portugal dans les années 80 et mettent à mal les finances de la société, on dit qu’il ne faut pas mettre tous ses oeufs dans le même panier, Luís Simões décide de ne jamais avoir plus de 20% de son business dans le même secteur d’activité. Le secteur de la logistique se developpe dans les années 90 avec des bases installées aux 4 coins de l’Espagne, avec là aussi des branches variées, depuis l’alimentaire en passant par les déchets et l’automobile. Très discrète, l’entreprise jouit toujours au bout de toutes ces années de sa réputation de sérieux.