Essai R310 Renault par SMX

le Renault R 310 par SMX

7332 XZ 38 m’a promené partout d’Avril 1990 à Avril 1993, ce fut mon 2 ème camion, et j’en garde un excellent souvenir …

Mécanique :

6 cylindres 12 litres, Turbo Intercooler, 310 chevaux.

Boîte de vitesses B 9 sans relais.

Suspensions mécaniques à lames de ressorts.

Cabine :

Dans les tons de bleu (les premiers modèles étaient de couleur sable), l’ensemble était très agréable à l’oeil.

Moquette sur le capot moteur et sièges en velours, bleus également.

La couchette était légèrement taillée « en V », ce qui peut surprendre.

Cette cabine était plutôt vaste pour l’époque, et assez agréable à vivre, malgré un manque cruel d’espaces de rangement : on trouvait une valisette sur le capot moteur et un espace assez étroit sur le haut du pare-brise. C’est tout ! Il ne fallait pas avoir trop d’affaires en R 310 …

Les 2 pare-soleil à enrouleurs au-dessus de chaque portière et 2 au-dessus du pare-brise étaient efficaces.

Aucune option ne venait égayer le quotidien, pas même les vitres électriques.

Le volant était réglable au moyen d’une énorme vis qu’il fallait rebloquer une fois le réglage effectué, mais la position de conduite me plaisait beaucoup.

Le siège était suspendu au moyen de compas mécaniques dont la dureté se réglait au moyen d’une molette. Pas de risque de fuite d’air à ce niveau !!

Pas de Webasto.

Pas de clim.

Pas de coussins d’air.

Aucune option.

Pas de limiteur de vitesse …

Tableau de bord :

Le tableau de bord, rectiligne, était assez complet et lisible.

A noter qu’il était dépourvu d’intermittence d’essuies-glaces, c’était position normale ou rapide, c’est tout !

Il y avait un interrupteur de préchauffe pour chaque démarrage à froid.

Pour changer les ampoules, il suffisait de déclipser les cabochons en plastique pour y avoir accès. Pour les manos, 4 vis à défaire, et le tour était joué.

Il comportait un vide-poche en place centrale + 2 vide-poches sur la droite, de contenance moyenne, juste assez pour quelques bricoles.

Le levier de vitesses était assez imposant, mais je n’avais que la B 9. C’est à dire 8 vitesses seulement, sans relais. Dur dur dans les côtes et les faux-plats.

Au quotidien :

Les 2 réservoirs à gasoil était reliés par durites et 2 robinets qu’il fallait tourner ensemble pour passer d’un réservoir à l’autre.

Le réglage du ralentit se faisait par une molette sous le volant.

Au ralenti, il émettait un « tof-tof-tof » caractéristique et agréable à l’oreille. Inoubliable !

Lors de démarrage par grand froid, une intense fumée blanche et opaque se dégageait de l’échappement, et envahissait rapidement tout le parking.

De plus le moteur ratatouillait pendant plusieurs minutes et il fallait le tenir un peu dans les tours pour ne pas qu’il cale.

Lorsque le ventilateur se mettait en route, il faisait un tel bruit qu’on eu crû l’avoir à côté de soi !

A chaque tanguage de la cabine, les articulations émettaient un petit couinement aïgu. Sur plusieurs centaines de kms, on eu pu penser avoir un pinson comme passager clandestin !

Très cruel manque de puissance.

En conclusion :

Le R 310 était rustique comparé aux camions actuels, mais il était fiable et ne m’a jamais laissé en rade. A part l’entretien courant, aucune panne à signaler.

 

Prise en main du Renault T520

Renault t 520 € 6 : Une belle bête je trouve mais suis pas objectif j’aime tous les camions !
Déjà avec le magum il y avait quelque chose de top et on y retrouve les même sensations très appreciable avec 4 suspensions de cabine le tangage est bien présent pour ceux qui n’ont pas l habitude on a l impression de se coucher à chaque virage cette version est plutôt bien achalendée :
Des rangement en veux tu en voila, pas moins de 15 espaces de rangements fermés autant de vide poche à droite à gauche + 2 coffres en dehors 7 prises 12 et 24 v dont une super bien placée dans le placard cantral du haut pour le micro ondes.

Comme son grand frere celui ci possède le salon table et fauteuil pivotant bref tout pour les vrais solitaires. Un ptit point noir : sans doute la couchette u peu petite avec moins de 80 de large  » non j ai pas dit que c’etait po bien  »


Voici la fameuse boite à vitesse auto et manue : très bien placée bien que la premiere fois que l’on voit ça, on se dit : « c’est quoi tous bazar ? »


La part contre c’est la meilleure invention de tous les temps :  » l’intarder  » freine plus de 50 tonnes lancées jusque 15 km/h ( ineficace en dessous dommage ) sans toucher la pédales de frein. Helas lourd et cher, mais beaucoup de mecanos vous le diront : beaucoup le possedent peu l’utilisent.


Ambiance de nuit plutot sympa

Une très belle experience ou j ai eu beau chercher partout : derriere devant dessus dessous …etc un mythe est tombé pas trouver le vélo, je dirai même une belle réusite

De bien belles sensassions on sent toute l’experience des suédois sous la cabine :
– Aucune peine à monter les côtes même sans trop soliciter l’acceleration
– Très combatif à pleine charge j’en suis encore impréssionné !
Pour les finitions on sent quand même que c’est du franco français des ptits bruits partout et tout le temps mais la je dit et au passage :
Merci patron je veux le même ….

 

ZINGG Frucht

La société des transports Zingg à Hedingen près de Zurich en Suisse a été fondée en 1968 par M. Werner Zingg. Il a débuté avec 4 camions Saurer et à l’époque la devise de l’entreprise était transports en tous genre. Au début des années 70 l’entreprise s’est spécialisée dans le secteur des fruits et légumes. En 1975 le premier semi-remorque frigorifique est apparu et il s’agissait d’un Scania 111 avec le nouveau logo ZINGG FRUCHTEXPRESS HEDINGEN. Les années qui suivirent ont été marquées par la création de lignes régulières d’Espagne et du Sud de la France à destination de la Suisse et d’une augmentation très conséquente du nombre de véhicules. Lors du 25ème anniversaire, la société comptait 50 collaborateurs et maintenant ce sont plus de 130 employés fixes et auxilliaires qui travaillent chez Zingg transports. Aujourd’hui le parc de véhicules comprend: 92 Semi remorque, 9 Camion-remorque et 8 Camion-solo et les 7 principaux constructeurs européens sont représentés au sein de l’entreprise. La maison Zingg affrète également un train sur lequel sont chargés 15 Semi-remorques tous les jours entre le Nord de la Suisse et la frontière italienne et vice-versa pour la traversée des Alpes et qui sont ensuite attelés et acheminés par la route chez les clients. Actuellement la maison Zingg transporte en Suisse tous les produits frais tel que viande, fromage, fruits et légumes et les primeurs en provenance d’Espagne,France et Italie.

Par Patrick

Quelques photos d’Yves Balleneger

3 photos qui représentent une maquette de la maison Zingg, du dépot et de 60 véhicule, chaque véhicule est un modèle unique et cette maquette a été créee par 2 employés qui ont consacré plus de 1000 heures de travail.

Transports BOUVAREL

Réalisé par Kinoroute et SMX.

Un grand merci à Jean-Loup et Christophe Bouvarel pour nous avoir si gentiment reçus.

Photos : Famille Bouvarel, Bernard Romanat, Jean-Pierre Clément, Madame Collin, et SMX.

Textes : J-L Bouvarel et SMX.

 

 

Collecte des photos et buveur de cafés  : Kinoroute

L’ entreprise de transports Bouvarel a été créée en 1933 par Mr Gaston Bouvarel. Le départ de l’activité transports s’est fait par l’acquisition d’une remorque bétaillère pour l’acheminement du bétail. Gaston Bouvarel conduisait lui-même son véhicule. Il embaucha pour l’aider divers conducteurs, dont Mr René Robert qui lui resta fidèle toute sa carrière puisqu’il prit sa retraite au delà de 65 ans, après avoir travaillé près de 40 ans au sein de l’entreprise.

Avec le développement de l’industrie, le transport s’est développée avec elle. C’est alors que sont apparues les semi-remorques. Avec l’arrivée de son fils Jean dans la société, l’entreprise a prospéré. Avec l’apport d’industries dans les régions Valentinoise et Romanaise, de représentants travaillant pour diverses sociétés qui l’alimentait en fret, les axes de transport se sont portés sur la région Parisienne, le Nord, et surtout la Bretagne (spécialité à cette époque de l’entreprise) qui comptait à ce moment là bon nombre de conserveries alimentaires. Les véhicules chargeaient dans la région, livraient et rechargeaient en conserves pour alimenter les grossistes, qui eux-mêmes approvisionnaient les commerces de proximité nombreux en ce temps là. Les grandes surfaces n’existaient pas.

Les chargements et déchargements se faisaient à la main, les moyens modernes tels qu’élévateurs ou transpalettes électriques étaient très peu répandus. Les entretiens des véhicules s’effectuaient sur la Place St Pierre où Gaston Bouvarel possédait un café, ou dans la rue par Mr Romanat (les bureaux de l’entreprise se trouvaient à côté du dit café). L’entretien carrosserie s’effectuait chez Mr Descombes Rue Victor Faisant, où pour pouvoir rentrer avec un ensemble routier, il fallait être un conducteur chevronné.

L’acquisition d’un bâtiment servant de garage et d’un autre servant de petit dépôt succint (se situant où se trouve actuellement l’usine Vuitton ont servi d’outil de travail pour déposer les marchandises et faire l’entretien des véhicules un peu plus confortablement (si on peut le dire ainsi). Le travail mécanique était assuré toujours par Mr Romanat et son fils Bernard qui exploite depuis toujours à la suite de son père un garage automobile Rue Danthony à St Donat.

Les Transports Bouvarel utilisaient en complément à Charmes / Herbasse un quai prêté par un conducteur, Mr Jean-Pierre Ginot, ce qui facilitait grandement la manutention des marchandises puisqu’il y avait la possibilité d’y faire rouler des chariots, d’abord à main, puis plus tard électriques.

Le temps passant, l’entreprise personnelle s’est transformée en société et a continué doucement son développement. Les axes ont changés, la Bretagne petit à petit a disparue de son champ d’action pour laisser place à d’autres destinations, définies par de nouveaux clients.

En 1980, l’acquisition d’un terrain en zone artisanale a permis la construction de locaux neufs comprenants un garage, un quai de déchargement ainsi qu’une station de lavage et a donné la possibilité de regrouper tous les véhicules sur un même site.

 

En Septembre 1997, l’entreprise a rejoint le groupe Bert basé à St Rambert D’Albon d’où est gérée l’exploitation, toujours par Christophe et Jean-Loup.

Le dépôt de St Donat reste en activité, les quais et le parking sont toujours utilisés, alors que l’atelier est lui fermé, ainsi que la piste de lavage et le bureau.

En 2007, les Transports Bouvarel comptent 31 chauffeurs : 12 en zone longue, 7 en zone courte, et 12 en relais sur une ligne.

Jean-Loup Bouvarel.

Transports DEBEAUX

Durant près de 80 ans les camions des transports Debeaux ont sillonné les routes d’Europe. C’est avec émotion que Roger Debeaux nous a résumé cette épopée du transport routier français.

Ce dossier n’aurait sans doute jamais vu le jour sans la précieuse aide de Jean Dejean, qu’il en soit une nouvelle fois remercié, un grand merci également à Robert Chastang, Luc, Lilo et à ceux qui voudront bien chercher dans leurs archives les photos à venir des transports Debeaux…. Merci également à Tony, Laurent, L’Ardechois, Caroto, Alex, Alain…

Si vous souhaitez ajouter des photos sur ce dossier, n’hésitez pas à nous les faire parvenir, par mail : sitefdr@gmail.com ou courrier postal.

Dès la sortie de la première guerre mondiale, Joseph Debeaux démarre une activité de transporteur, il fonde sa société dans son village, à Livron dans la Drôme aux portes de la Provence. Son activité se résume à des transports de matériaux et de mâchefers pour le compte du chemin de fer, il circule ainsi sur sa commune avec ses 3 chevaux et 2 chars.

En 1920, les chevaux rentrent aux écuries, et le premier véhicule de la société entre en scène, il s’agit d’un vénérable Saurer essence, avec des roues à bandages et à transmission à chaîne. La cabine est ouverte à tous les vents, fort de ce véhicule, il diversifie sa clientèle, tout en maintenant ses activités en transports de matériaux. Très vite un Berliet CBA équipé d’une benne à manivelle vient renforcer la flotte, afin d’effectuer d’importants travaux de voirie sur la commune de Livron. Joseph, quant à lui, ne tiendra jamais le volant d’un de ses camions.

Durant la seconde guerre, les camions sont réquisitionnés par l’armée Allemande, basée à Mallissard petit village à l’Est de Valence. Ainsi, Roger l’aîné, et Pierre effectuent durant la journée des transports pour le compte des Allemands, essentiellement, des transferts de troupes ou d’ouvriers à l’aide de laissez-passer. Ils en profitent pour noter les points minés et autres pièges tendus aux résistants, qu’ils approvisionnent en vivres, la nuit sur le Diois et le Vercors, et leur transmettent les informations recueillies la journée. Ils prennent d’énormes risques, mais la jeunesse et la motivation du maquis fait le reste.

L’histoire s’accélère :

A la démobilisation, l’entreprise reprend le cours normal de ses activités. Le parc est agrandi en faisant largement appel aux camions rachetés au domaine, et le parc est des plus hétéroclite : GMC, Panhard, Mercedes et Renault. C’est à l’époque le garage Pinassaud qui vielle au bon fonctionnement de la mécanique, soumis à rude épreuve, les transports se sont diversifiés, les camions tournent avec du transport à la demande et son chargés avec des marchandises les plus diverses, beaucoup de fruits de la région, et retour avec des jus de fruits, et bien entendu, les matériaux, engrais ; Le rayon d’action reste régional, voire grand régional. Avec l’arrivée des GLR Berliet, Debeaux effectue alors au début des années 50, 2 allers retours en primeurs entre St Malo et Livron dans la semaine. Un attelage camion-remorque GDR faisait du Paris en messagerie, il laissait sa remorque aux Messageries Nationales à Paris, et partait vider le porteur sur Rouen. Equipé en gazobois, ce véhicule emportait une trentaine de sacs, mais il fallait réapprovisionner en route ! Avec 125cv, il ne fallait pas compter ses heures. Il y a alors une petite dizaine de chauffeurs, et Roger s’occupe des rechargements depuis le bureau de la maison familiale.

Au milieu des années 50, l’entreprise déménage au Nord de Livron, et l’entretient est désormais réalisé par des mécanos et carrossiers « maison ». Dans le même temps l’entreprise grandit, et se diversifie, elle reprend une petite entreprise de 2 camions avec leurs chauffeurs qui desservent Le Diois au départ de Beaucaire ou St Etienne pour Casino ; Ils reprennent aussi Fauriel, grains et fourrages. En 1959, afin d’augmenter la charge, Debeaux achète ses 2 premières semi-remorques tractées par de superbes TLR Berliet, qui sont affrétés pour Vacher de Romans. L’entreprise se développe alors sur l’international avec un UNIC 150cv Camion-Remorque pour convoyer des « métiers » à destination de Berlin, ils rechargent du fil en Belgique pour St Clair de la tour (38).

A l’assaut de l’Europe :

Un coup d’accélérateur au développement de la société sur l’international est donné dès l’arrivée massive des TR250 cabine « Relax » qui desservent alors la Suède, la Grande Bretagne, l’Italie. Tous les samedis, ce sont jusqu’à 15 camions qui montent simultanément en direction de l’Angleterre chargés avec des pommes. Dans le même temps, Volvo avec ses fameux F88 pointe son nez sur le parc très vite suivis par les TR260.

 

La maison Debeaux développe aussi ses trafics en pulvé, d’abord avec des « tétines » pour le transport de ciments, puis avec les premières pulvés à vérin, puis en reprenant les transports pulvé Fraysse, la société affiche un bon nombre d’ensemble, ils assurent 10 rotations par semaine pour SIPLAST entre Mondoubleau et Livron. Les bennes ne sont pas en reste sur la longue distance, ils chargent du riz vrac en Camargue qui est alors emballé en Italie.

Quant aux bâchés, ils rechargent souvent du plastique en Belgique ou des patates dans le Nord, pour toute l’Italie. Afin de mieux optimiser les retours, une entreprise est reprise à Armentières, et une à Rouen.

Au début des années 80, les transports Baboin de Serves/Rhône, spécialisés en benne, passent sous le giron Debeaux, ainsi que les transport Jury, quant à eux, spécialisés en transports de produits chimiques développe l’activité de l’entreprise dans ce secteur, les destinations finales sont souvent fort lointaines du paisible village de Livron, puisqu’on pouvait croiser des « Bleus » jusqu’en Pologne, Roumanie, Finlande etc…

Le parc se modernise, les TR280 sont remplacés par des R310, puis 340, arrivent aussi des Volvo F10, IVECO 190-30, G290 Renault etc… Dans le même temps, une politique ambitieuse est mise en place pour diminuer la sinistralité, les conducteurs doivent respecter le 80, et sont payés à l’heure, ce qui est loin d’être courant à cette époque.

Dans la continuité de Roger Debeaux, c’est Bernard Jouvet qui prend les rennes de l’entreprise et ne cesse de la développer, la notoriété de l’entreprise n’est plus à démontrer, les changements de véhicules sont alors nombreux et rapides. Malheureusement, Bernard décède dans un accident de la route en Espagne, alors que la société devait se développer et s’implanter dans le pays.

C’est le groupe Transalliance qui reprendra le flambeau, en 1993, l’entreprise compte alors 500 tracteurs, 600 semi et pas loin de 800 employés.

2018, Repas des anciens Debeaux, plus d’infos cliquez ici

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Mise à jour Renault

Avec 218 nouvelles photos, inedites et cadeau !!
Alors si pour vous Renault rime avec « R » et « CBH » vous allez être VRAIMENT gatés… Mais rassurez-vous, y a aussi du Range avec AD Blue qui brille, y a même une rubrique Estafette !
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Un immense merci aux contributeurs : Cordoba580, Jaka, Samu, Mich, Pat56, Tophe, Uwe, Xavier, Malibu12, Denis, Chouchen13, ChrisNL, Yassine

Mise à jour RVI

On est gatés pour ce début 2018 !
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