France Routiers N°21

Si vous ne savez pas à quelle sauce accompagner votre poisson ce vendredi, j’ai la solution, accompagnez le avec la lecture de cet incroyable N°21 de la revue France Routiers avec un sommaire plus que réussi, avec en guest star l’essai du Scania V8 142 des transports Transak, un dossier sur le cascadeur Bataille, les routiers d’Amazonie, bref, que du bonheur, plus des pubs devenues extraordinaires !

Bonne lecture, joyeuses fêtes, pont pont, pont viaduc, et bon courage si vous bossez. Merci Pat56 pour le scan, merci pour vos clics sur nos bannières, la bise !

 

400 Nouvelles photos SCANIA avril 2019

Pour survivre, l’homme doit en moyenne absorber 2350 calories, pour entretenir son corps et son cerveau, à celà, il faut ajouter une quantité minimum d’eau 1,5L, 80% des hommes consomment également au moins une fois dans la semaine du porno sur internet, ce qui est vital pour eux.:love: :love:
Il est également médicalement prouvé que pour survivre, l’homme a besoin de mater des photos de SCANIA, sans quoi, il peut parfois être pris de malaises, tremblements et autres delirium tremens. :protester:
Prescris sans ordonnance médicale, FDR à la solution avec les 400 photos SCANIA ajoutées aujourd’hui, oui, 400 et sans le faire exprès, pile poil, encore un mystère, sans théorie du complot ! :o :o :o
Voici donc 400 photos envoyées par Bata25, l’Ardechois et son 110, Jason DL, Mich, Tophe, Cordoba580, Bjorn, Samu88, Luc Perrin, Blum29, David Houche, Yohan, Pierre Leduc, Jaka, Tibal Vincent :vague:

http://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/9

Les Transports Transak de Sarreguemines

Frédéric, dit Moustique57, authentique mordu du V8 Scania, a passé une grande partie de sa carrière de chauffeur routier au sein de la société TRANSAK de Sarreguemines en Moselle. Par le biais du site www.fierdetreroutier.com il a fait le choix de nous confier une partie des ses photos personnelles, afin de rendre hommage à son ancienne entreprise aujourd’hui disparue.

Crée en 1974 par Michel Akhverdoff, la société aura jeté l’éponge en 2000, il est a noter, que les V8 Scania de l’époque, étaient déjà en echapement libre….

Pilote de rallyes automobiles amateur, Michel Akhverdoff troque son Alpine Renault berlinette contre un Saviem SM 260 et crée à 57 Grosbliederstroff son entreprise tout d’abord spécialisée dans le transport de glissières d’autoroute, il se diversifiera ensuite vers les marchandises générales. L’entreprise s’agrandira en faisant l’acquisition d’un Berliet TR280, d’un Volvo F89 et N12 de Scania LB 140 et 141 v8, de deux Mercedes 1932 v10 ainsi que de Daf 2805.

Fidèle aux Scania v8 141 et 142 au départ, ce ne sera qu’au millieu des années 80 que Volvo s’imposera majoritairement dans l’entreprise avec un parc de F12 Globetrotter, apres avoir eu trois Renault R310. La société va alors s’installer dans la Z.I. de 57 Sarreguemines en Moselle. A l’époque, les gros clients sont : les caillebotis Goettmann, les enduits Solor-VPI , les pneus Continental, le contre plaqué Agepan et les piéces auto en retour.

Et c’est l’apparition des Volvo F16.470 et F12.400 de deuxième génération. Il y aura aussi un Mercedes 1948 v8, deux magnifiques Scania 143.470 Jubilé, deux 143.500 v8 , quatre Renault AE 500 v8 Magnum ainsi que d’autre véhicules. Suite à des campagnes publicitaires choc ,l’entreprise acquièrera de nombreux marchés dans toute l’europe en particulier en Scandinavie, dans les pays de l’est (d’ou nous rapporteront de la porcelaine et des C.D), en Italie et Espagne entre autre. . Apres avoir racheté Straumann à Colmar le transport exeptionnel, Davotrans et Viking les spécialistes de la scandinavie, Henry les déménagements et Sarrat pour le vrac, de nouvelles sociétés se constitueront tel que Pac-Inter sur le 77, Aktrade, Transak-Sud à Nimes, Transka pour la RFA, et enfin Transak Trutnow en Tchéquie. De plus, l’entreprise optiendra un tres gros contrat en benne T.P. avec les mines H.B.L. pour vider les bassins de décantation de plusieurs millions de m3. de schlam. Ce travail durera de nombreuses années et sera effectué avec des tracteurs Mercedes 2636 v10 , véhicule inexistant en France, ils sont d’ordinaire prévus pour l’export vers l’Afrique, la Russie ou le Moyen-Orient.

Avec l’apparition des Volvo FH16.520 et FH12.420 carrénés et équipé finition niveau 3 ( siéges cuir et ronce de noyer ) , la flotte ak adoptera dès le début , les pneus larges à l’avant ( 385/65 X 22,5 ) alors qu’à l’époque tous les fabricants de pneus et les transporteurs le déconseillent et en rigole. Il y eut aussi une vingtaine de M.B actros 1843 méga-space mais qui ne firent pas de vieux os. Ce furent les plus belles années de transak.

Malheuresement les bonnes choses ont une fin et ce fut le cas pour transak qui jeta l’éponge en septembre 2000. Le négoce poids-lourds occasion ne marche plus car tout le monde achéte du neuf, la réglementation et la durée de travail deviennent de plus en plus draconiène, certains de nos gros clients ferment et il y eu certainement trop de « chefs et sous-chefs  » qui coutèrent cher à l’entreprise. Méme si les temps furent difficiles parfois, la majorité d’entre nous en garderont un tres bon souvenir .

Les transports MUNSTER du 42, prirent la relève sur certaines lignes, mais trés peu de chauffeurs ont suivi cette société.

Transak était une entreprise ou l’ambiance fut tres bonne et conviviale pour la plus part d’entre nous. Il y avait un coin cuisine ou patron et salariés se cotoyait dans une bonne humeur , méme parfois chaude. De nombreuses sorties ou fétes organisées et payées par l’entreprise, des stages de karting, de F3 à Magny-Cours. Le patron nous prétait les véhicules pour célébrer des mariages, pour les défilés et les trucker-festival, ou méme les véhicules pour des travaux privés à domicile ! Les plus fervants d’entre nous assistaient chaque année aux Grands-Prix camion du Castellet, du Mans, de Nogaro et Dijon-Prénois en France, et au Nurburgring en RFA ou Zolder en Belgique . De plus, Lutz Bernau avec son M.A.N de compétition courra un moment aux couleurs de transak . Mais l’une des plus belle fétes fut certainement celle des 20 ans de transak, avec l’édition d’un super C.D. Heureusement que nous avons encore les photos de cette époque et maintenant un site comme « fierdetreroutier » pour péréniser tous ces moments là.

Spéciale R560 Iberica Liner Aurenico

Un shooting signé Mich07 sur le terrain de jeu du Scania R560 IBERICA LINER des transports Aurénico !

A ne pas manquer, cliquez ici !

http://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/1286

R560 Aurenico

353 nouvelles photos Scania

Ce week-end, je vous ai proposé des mises à jour de marques disparues, et j’ai bien compris que ça plaisait pas à tout le monde, c’est NORMAL.

Alors, pour vous remettre de vos émotions, voici 353 nouvelles photos Scania de OUF ! Bien sûr vous y verez du S, du R, mais aussi (et ce sont mes préférés) des Série 3 Streamline, des série 1 même !!!

Il faut saluer chaleureusement les contributeurs des 4 coins de l’Europe et même du Maghreb : Rui, Mich07, Ptitdud, Samu88, Blum29, Pierre70, Cordoba580, Jaka, Anthony, Bjorn, JP74, Larage, Luc Lefevre, Sellig, Uwe, Turbo, Chris NL

N’attendez pas une seconde de plus, on quitte ses chaussures, on se met au volant du griffon, et on clique ici !

http://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/9

Transports TLR – Livron (26)

André Espeisse, est le fils d’Alfred, routier chez Borel. Après des études de topographie, l’avenir de Dédé est tracé, il participe à de gros chantiers sur la vallée du Rhône, c’est nottement lui qui implantera l’A7 au niveau de Livron-Loriol, il ignore à ce moment là, qu’il batira sa réussite sur ce bout d’asphalte. Sportif, il va travailler tous les jours à vélo parfois à 30km de son domicile (et rentre même à midi pour manger), et le samedi il enchaine les match de rugby. C’est à la suite d’un match ou il s’est blessé, qu’il décide de partir à l’aventure et de s’installer à son compte dans le transport en octobre 1967.

Nous avons démarré notre affaire avec la Grenobloise. On faisait du TIR : Autriche, Italie, Danemark, Suède, Allemagne et Benelux. On transportait pas mal pour Caterpillar. A ce moment-là, nous arrivions déjà à faire 2 allers/retours sur la forêt noire en Allemagne ou même Linz en Autriche, avec nos FIAT 643 (porteur et 619 semi)..

Nous avons commencé sans le téléphone, il fallait se déplacer à la poste du village, nous sommes resté comme celà les 2 premières années d’exploitation.

A partir de mars 1972, nous avons participé au développement des transports Debeaux, avec 2 , 3 puis 4 camions affrétés en permanence chez eux. Notre porteur Fiat a été revendu au profit d’un Berliet 250.

Au fur et à mesure de la multiplication des agence en France chez Debeaux nous avons laissé tomber car, les agences telles que celle d’Armentières dans le nord favorisaient leurs chauffeurs et affrétés, si bien que nous perdions du chiffre d’affaire.

Dans le même temps ou nous développions notre affaire, nous avons participé aux grands travaux de la vallée du Rhône, comme la centrale nucléaire de Cruas, et divers chantiers comme le desenclavement du village de Marcols les eaux en Ardèche.

Avec le Berliet 6*4 et le TR260, nous avons fait les betteraves pour Beghin, et j’ai cédé par la suite mes contrats, à Serge Vidil, et moi, j’ai récupéré les siens chez Intermarché…

Dans les années 70, Renault et UNIC organisaient des concours, mais je n’ai jamais gagné, j’ai été 6e….

Alors même que je viens de laisser tomber les chantiers, je developpe les contrats Intermarché. C’est une aubaine à cette époque : 12 camions tournent pour la base de Loriol, ils nous obligent tout de même à nous équiper de G290 « pigeonnier », nous allions jusqu’à Dole, et faisions pas mal de km. Mais au fur et à mesure de l’ouverture de nouvelles bases, les circuits se sont réduits.

En 87, mon fils Fabrice obtient son permis C, et nous avons attaqué la ligne TFE sur Strasbourg et Paris. Au départ avec un R340 et un F12. J’ai recuperé aussi un 88 chez Intermarché sur l’instance d’un de mes chauffeurs (Alain26) pour qu’il fasse de l’Angleterre chez ND. Las des mauvaises habitudes de ND nous avons par affreter nous mêmes nos camions.Au fur et à mesure que nos chauffeurs Intermarché goutaient à la ligne que nous démarrions sur l’italie avec de la feraille, ils ne voulaient plus tirer les palettes et les chariots, 2 d’entres-eux ont même tout plaqué pour s’installer dans le 05, ah!!! ces bergères!

Nous développions donc le trafic entre la vallée du Rhône et le nord de l’Italie, via les routes des chèvres, Gap, Briançon, Montgenevre, été comme hiver, et 2 A/R semaine, avec 6 camions qui tournaient simultanément sur la ligne. Nous n’avons connu qu’un seul accident sur le Montgenevre avec notre plus ancien chauffeur, qui heureusement s’en est tiré avec une bosse!

Par la suite, j’ai eu une offre d’achat, j’ai tout revendu, mes chauffeurs ont suivi l’acheteur du 06. J’ai juste conservé un benne pour m’occuper en régional. Peu de temps après, un incendie criminel à ravagé 4 de mes 10 camions, dont 1 neuf, encore pas immatriculé, ni assuré. On cherche toujours le coupable. Financièrement on a bien dérouillé, ma santé aussi en a pris un rude coup, je n’ai plus pû travailler pendant 8 longs mois. Je tiens à remercier le directeur de Debeaux qui est venu à notre secours au moins moral, Volvo nous a bien aidé aussi, les clients, notre famille et nos amis. Par contre je n’ai pas repris ma carte de la FNTR qui sait prendre l’argent des cotisations mais vous oublie lorsque vous êtes dans la panade.

Composé essentielement de DAF, les camions TLR continuent aujourd’hui encore les allers retours réguliers pour le compte de la STEF entre Nice, Avignon, Athis Mons et Strasbourg.

Le transport de marbre chez Marty avec David

Depuis 1957, les camions des transports Marty de Lacrouzette dans le Tarn sillonnent les routes de France et d’Europe, ils sont spécialisés dans le délicat transport de marbre, ce qui demande une haute technicité et de l’organisation.

David a intégré la société en 2018. Il prend en charge des remorques dans le Tarn qu’il livre dans le Massif Central et la région Rhône Alpes.

Bien que très physique, ce job à l’avantage de ne pas avoir de longues heures d’attente comme dans les grandes bases. Il livre beaucoup de particuliers, c’est à lui de gerer ses livraisons. Que le client soit là ou pas, il dispose de tous les outils utiles pour effectuer ses livraisons. Il peut ainsi livrer très tôt le matin ou tard le soir. Du coup, il rentre tous les vendredis, il est heureux de travailler pour les transports Marty, qui sont une belle entreprise familiale ou il se sent bien, ou le respect est de rigueur, des patrons en OR !

Pour livrer, les camions sont équipés de hayons, transpalette éléctrique et bien sûr d’un diable. Beaucoup de destinataires sont heuerusement équipés de chariots élévateurs, qu’ils n’hésitent pas à laisser à disposition des chauffeurs Marty lorsqu’ils sont absents.

Alors, si vous êtes mort, souvenez vous que la plaque de marbre qui est au dessus de vous a probablement été livrée par un Marty ! C’est génial non ?

Nouvelles photos Scania, du s, r, 143, 142 Norvège Danemark Portugal Espagne France

Les mise à jour SCANIA, c’est un peu comme les sites X ; tout le monde se garde bien d’avouer y aller, mais mieux ne vaut pas aller fouiller dans les historiques de vos ordinateurs et de vos téléphones.
Alors aujourd’hui, faites votre coming out, avouez que vous êtes raides dingues !
Et surtout, ne manquez pas celle ci, qui vous emmenera en Norvège avec Bjorn, au Portugal avec Carlos, au Danemark dans les années 90 avec Uwe, au Maroc avec Yassine, les Balkans avec Jaka et un peu partout en France et en Europe avec Tophe69, Pierre Leboulanger, Wim, Laurent, Blum29, Ptitdud, Adrian

Alors, couchez les enfants et cliquez ici !!!

http://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/9

 

L’essai du Scania 112 Intercooler

Un test réalisé grandeur nature et sans trucage par Anthony Maillard en 2006

Pour la petite histoire : Ce Scania 112 Intercooler de l’année 1987, est mon premier camion attribué. Il totalise plus d’1 million 700’000 km. Je l’ai eu au mois d’octobre 2006, et pour le moment je roule toujours avec. Je serai certainement le dernier chauffeur a avoir ce camion… en 7 mois j’ai fait 20.000 kilomètres ( uniquement en comptant celui là)

Mécanique
Moteur Scania DSC11, 11 litres, intercooler et environ 340 cv

Boite 10 vitesses Scania (2×5)

Freins a tambours sans ABS et tout ce bordel, mais avec des sifflements persistants.

Simple frein moteur sur échappement

Le moteur avec le frein moteur démonté

Le matin quand il fait froid, il ne rechigne pas a démarrer. il part du premier coup, mais il fait une fumée blanche immense. On n’y voit plus rien a 20m autour de camion. Autrement, juste a mettre en marche, et même après un long week end, il n’y a pas besoin de faire monter l’air, il est toujours au maximum. Le moteur est a mon avis le point fort de ce camion. J’ai l’impression que chargé ou vide il tire la même chose. Il faiblit très peu face a la charge, mais en dessous de 1500 tours rien ne se passe. de 1500 a 1700 tours, il est a son couple maximal. A 90km/h je suis a 1700 tours, et pourtant la consommation (moyenne depuis que j’ai ce camion) est a 28 litres au 100, ce qui est très raisonnable, surtout au vu de certains poids que je traine… Mais ce qui me plaît le plus a ce moteur, c’est le bruit J une vraie mécanique, pas de électronique ni de Turbocompound de la-mort-qui-tue. Dans les tunnels en montés, si je laisse tomber a 1500 tours et que je reprends chargé, c’est un bourdonnement qui couvre tous les autres bruits.

La boite de vitesses est bien étagée, dans la plupart des cas mes 10 rapports me suffisent.

Par contre, ce que je regrette, c’est l’absence de Telma, j’ai juste un frein moteur sur échappement. Il ne retient vraiment pas grand chose. Il faut anticiper a fond, sous peine de devoir tout le temps freiner ( et encore faire plus siffler ces freins) Au début ça me faisait chier de pas avoir de Telma, mais avec le temps je me rends compte que c’est bien comme ça, ca apprend a conduite et bien anticiper le tout.

Cabine, vie a bord…..

En premier lieu, je vais parler du plus important a mon avis dans la cabine : la position de conduite. Elle est digne de la réputation de Scania, même que c’est un camion avec suspension intégrale a lames, j’ai encore jamais ressenti de fatigue due a une mauvaise posture. le volant peut se régler presque horizontalement, sur aucun autre camion c’est possible a ce point. Les matériaux utilisés pour la cabine sont de bonne qualité : même avec 2 pieds pour tourner le volant sur le tableau de bord, ça tient ça ne vibre pas, bref c’est la solidité nordique. Question « espace » c’est autre chose. Il y a 3 petits casiers au dessus du pare brise, un bar (euh non un bac) au milieu et un rangement sous la couchette… c’est assez peu, mais pour y dormir 4 fois par mois c’est bien assez. La couchette est amincie bien sûr, mais j’ai jamais eu mal au dos en me levant le matin. si je devais passer régulièrement des nuits dedans je mettrais un matelas. Par contre, en hiver la nuit est froide. le Webasto y en a un, mais y veulent pas le changer, alors ben le matin des fois je me lève (enfin je me contorsionne) et je mets des pantalons gelés. Ca réveille !

La visibilité est bonne, les rétros sont suffisamment grands et ne tremblent pas du tout même au ralenti

Bien que ce soit un frigo, il est surtout utilisé pour les palettes normales. Comme on transporte beaucoup de vin, c’est bien pratique les cotes pour arrimer de côté. Dans l’ensemble la caisse est bien, juste un peu serrés pour certains trucs, et y a le frigo qui coince pour certaines choses. Le seul gros inconvénient vient du camion lui même : l’essieu avant est garanti a 6.5t, alors qu’a vide 6.2t y reposent…. pas vraiment pratique. par contre a l’arrière j’ai un essieu 14t. Spécial, et surtout emmerdant lors des contrôles.

Les ennuis

le seul truc qui a vraiment lâché, c’est la pompe de direction. ( a cause du surchargement de l’essieu avant je pense) puis le levier de vitesses. Ce n’était pas bien méchant, mais en pleine ville, avec juste un moignon pour passer les vitesses, choper le levier a côté pour mettre en haut le bouton et revenir… c’était marrant je riais tout seul de la situation.

Sinon rien a signaler
En résumé

Comme c’est mon premier camion, et attribué en plus il aura forcément une place a part. C’est un camion suffisamment confortable pour faire 450 kils par jours sans fatigue, il a un beau bruit moteur, agréable a travailler, et qui me le rend bien, il ne m’a jamais laissé au bord de la route ( pour la pompe direction j’ai pu rouler jusqu’au garage) Et quand on l’entend arriver, les mecs au dépôt font « Tiens voilà Anthonyiiiiiiii ».

note globale « objective » 6/10 car il est quand même plus tout jeune. Voilà mon premier essai…