FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Février 2017 Partager sur Facebook
  • Photos
  • Posage chez TFE, non STEF, enfin TFE
    Y a du lourd chez Fred
    Avec Ju68 à la Grande Borne
    On a la classe, ou on l'a pas avec Lionel et Didier
    Tarare
  • Jeudi 9 Février 2017
  •  

    Qui dit RDV à 7h, dit levage à 6h. Il fait frisquet ce matin, il va me falloir du courage pour parcourir les 100M qui me separent du cabanon du gardien, j'ai pas un métier facile. Je finis par trouver du courage pour aller m'inscrire à 6h50 vu que j'ai RDV à 7h. Le gardien me donne un BIP, impecc je vais encore glander un peu, mais voilà, pendant que je marche pour retourner au camion le machin bipe. Je pensais à un bug, mais voilà que 2 minutes plus tard le bip rebipe, je peux donc aller me mettre en place pour decharger les 26 palettes d'oeufs de Paques qui feront le joie de nos futurs obèses d'enfant grâce à Nutella. Comme j'ai du Fillon, je suis au quai voisin de celui des emballages, du coup j'ai pas à bouger pour reprendre les EPAL vides. Je ramène tout ça dans la capitale de la Drôme chez TFE Valence, un coup de tampon en bas à droite et banzai !

    De là, je vais chez Fred faire le plein de blocs en beton pour passer la semi aux mines qui sont juste à côté, et en plus il y a personne ça va donc super vite, si bien que quand je ramène les blocs il est juste 10h, on va dire que ce matin ça a été plutôt efficace. Bon, ça n'a pas servi à grand chose étant donné que je recharge à Chassieu en tout début d'après-midi. En remontant je rattrape Ju68 qui va sur Mions, comme on est pas des sauvages on s'est arrété se faire un mimi vite fait à la Grande Borne (du reste je l'ai jamais vu la grande borne). Vu qu'on a tous les deux une grande conscience professionelle, enfin, surtout lui, on traine pas, je me radine à 11h30 à Chassieu, mais c'est sans espoir pour ce matin.

    Du coup, à la reprise on est 3 Duarig au chargement, Lionel, Didier et moi, chacun pour des destinations exotiques, pour ma part ce sera Les Sauvages et justement ça tombe bien j'aime bien le coin. Je charge des cuves vides promises à la destruction. Je debarque à 16h15 à l'usine, c'est marqué en gros 16H fin des opérations, il ne reste que le boss de la boite qui finalement me dit qu'il va vider partant du principe que ce qui est fait n'est plus à faire ! J'avoue que je partage un peu cette façon de voir les choses, du coup j'ai plus qu'à aller me poser laborieusement à Chasse pour l'entretien du groupe demain matin. Lyon est un vaste bordel à passer ce soir, il pleut, l'A43 est coupée entre Lyon et St Quentin Fallavier, bref c'est comique, pour une fois je suis pas pressé du coup ça me fait rigoler.