Carnet de bord de Septembre 2014 | Partager sur Facebook |
6h30 ce matin, je degage du parking ou il a fortement plus cette nuit, il fait presque frisquet ce matin... C'est l'heure ou tout le monde décolle en même temps, ça roule pas mal, mais ça rame, perso je m'en fous je suis pas pressé. Il y a des specialistes que j'observe de loin sur l'A31 pour emmerder les collègues, y a des claques qui se perdent. Je me pose à La Maxe histoire de prendre un café et la MAUT vu qu'il y a une borne ici, comme ça, c'est fait. Le gerant de la station est pas du genre locace, on dirait qu'il porte toute la misère du monde sur ses épaules. Et si ça se trouve, il la porte en vrai !
Après Thionville ça bouchonne carrement, je pense qu'on devrait rebaptiser Luxembouchon tellement c'est affreux le matin ici. A côté, de moi, il y a le bus, ligne 300, super moderne, joli et tout, avec 3 pelés dedans, mais bien entendu, ceux qui polluent ce sont les camions, pas ces gens qui se cognent 3h de bouchons par jour seuls dans leurs bagnoles pour aller tafer au Lux. Enfin, ici ou ailleurs, c'est pareil, tout le monde est égoïste. C'est finalement sous un franc soleil que je debarque au Nurburgring, placé face à la piste, et à côté des clefs à choc de Pirelli, on est bien là... Journée tranquille finalement sous le soleil de Nurburg et fin de soirée à Adnau avec Uccio et mon chef Arthur autour d'un schnitzel. De retour au circuit on retrouve pas les pass de la bagnole pour rentrer, le gardien est un vicelard qui a un rictus en nous disant de degager séchement, quand après avoir retourné la voiture au boss on finit par retrouver le pass, on peu à notre tour être désagréables.