FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Novembre 2018 Partager sur Facebook
  • Photos
  • C'est la panique de bon matin !
    Vallée de la Drôme, 0 kayaks
    La maison Royer fait du tourisme
    Le Pouzin
    Les affrétés de l'extrème
  • Lundi 26 Novembre 2018
  •  

    Qui dit demarrage tard dit bouchons pour sortir de St Peray, en même temps pour aller vider le premier à 8h à Valence, j'allais pas non plus partir à 2h du matin, je me suis donc jeté dans les bouchons à 7h30, c'est bien la misère. En plus il pleuvasse on se croirait un lundi de fin novembre. 10 minutes pour vider le premier, je contourne la capitale de la drôme via les chemin que je prenais avec ma Piaggio Vespa pour aller à Bourg lès Valence, il y a bien un quai de libre, mais je tombe en plein debriefing logistique, faut pas faire de bruit, y a un chef qui donne des consignes. J'ai écouté un peu, et ça m'a tellement saoulé que j'avais pas envie de laisser un CV. Dans le tas, y a un gars qui a eu pitié, il est venu me receptionner mes palettes, à moins qu'il se foutait completement de la réunion et a trouvé la bonne excuse pour s'esquiver.

    Plutôt que de remonter direct à Jarcieu, j'ai 12 IBC vides pour Cunéo à prendre à Die captiale du vin petillant drômois; moins bon que le St Peray mais tellement moins cher que le Champagne. A Crest il y a encore quelques gilets jaunes, bien marrants, un coup de klaxon et tout le monde est content. Il faut pas longtemps pour charger, c'est prêt, et j'ai plus qu'à descendre dans la Rhône Vallée à Montélimar capitale du carton plié. Après Crest je coupe par Cléon, c'est tellement plus classe que Loriol, ça roule tranquille pas chargé lourd ça va bien, je débarque en plein changement d'équipe à l'usine. Mais il y a pas grand chose à prendre, 6 palettes au sol, 3 destinations pour Barcelone. 

    Comme il reste un peu de place, je vais completer à St Julien en St Alban en terre ardechoise prendre 4 palettes pour Palamos. Pour traverser le village ça bloque encore pas mal, barbecue géant et traversée inopéniée de gilets jaunes, dans la bonne humeur aussi. Les 4 palettes se sont transformées en 2, et j'apprends que l'usine va s'aggrandir en accueillant la Sovoutri de La Voulte. Après ça, je remonte direct non stop à Jarcieu, faut pas que je traine Lionel attend mes palettes pour le 92 que j'avais chargé samedi à Perpignan. De tout ce que j'ai chargé, je ne garde que le Palamos, du coup de campe à quai parce que j'attends des palettes pour Polinya, alors avec Adrian on fait les chefs de quai pour faire passer le temps. Mes palettes arrivent à presque 20h, je serai resté 3h45 à quai, joli !! Vu qu'il y a rien qui presse de trop, je fais le crochet par la maison ça change rien au programme pour demain.