Carnet de bord de Mars 2019 | Partager sur Facebook |
5h30, c'est parti, il y a un vent de con affreux et froid. C'est un peu tôt pour être à 7h45 à Villefranche, mais c'est le bon créneau pour passer Lyon avant que ça m'enerve. J'arrive un peu avant 7h chez Bayer, le temps de s'enregistrer charger c'est presque 9h quand je repars avec un lot de palettes souillées à détruire, c'est pas lourd, das gut. Entre temps ça s'est reveillé c'est bien merdique pour sortir de là. Pour descendre j'ai été bien sage, par l'A46, RDV à 10h30 à Salaise, juste le temps de prendre le café à Roussillon, personne à l'usine, je rentre direct, à 11h c'est plié.
La suite se situe à Anneyron, je charge un direct foulée pour Belleville, pfouah. Il faut donc repasser Lyon. En partant à midi pile d'Anneyron, ça fait passer Lyon heure creuse, go Tunnel, ça fait encore gagner 10 minutes ce qui me laisse le temps de prendre la douche, manger à l'Aire des Chères, la seule peinarde que je connaisse dans le coin, je cale ça en 35 minutes chrono, pile à l'heure du coup à St Jean d'Ardière, là, ça vide super rapidos. Comme je m'en doutais, je vais à Thoissez charger ce qui rentre pas dans le camion de Patrick, il a beau avoir un V8, il peut pas tout prendre !
Finalement, je repars à 16h, je me suis bien occupé, j'ai arrosé mes rolls, ça fait gagner du temps au préparateur, et moi, arroser je sais faire. La descente de Rilleux est closed, il y a dû y avoir un big carton, et de toutes façons, j'étais décidé à couper à travers champs par St Quentin Fallavier et Cours et Buis. Je me radine à Anjou, 18h20, juste le temps de vider et me garer, au même endroit qu'hier, mais je peux caler une 11. Demain rebelote, ça remonte sur Villefranche, la semaine va être longue je sens.